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    Le Nom de la Rose
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    Fabien S.
    Fabien S.

    543 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2022
    Un pur chef d'oeuvre avec Sean Connery et Christian Slater adapté du roman d'Umberto Ecco par le cinéaste français Jean-Jacques Annaud. Un petit bijou de cinéma.
    Jeune Ras
    Jeune Ras

    9 abonnés 469 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 décembre 2021
    Beau film. Le scénario est grandiose et les acteurs impeccables. Un classique à voir et revoir. L’image est très belle
    Om3arbi
    Om3arbi

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    5,0
    Publiée le 29 septembre 2021
    1. Synopsis

    An 1327. Dans une abbaye bénédictine du sud de l’Italie, un moine, nommé Guillaume de Baskerville et tout fraîchement dépêché sur place, est chargé d’enquêter sur une disparition aussi mystérieuse qu’inquiétante. En effet, un des moines est retrouvé mort et le mystère plane autour de sa disparition. Pour parvenir à sa quête, celui-ci sera accompagné de son élève, Adso, un jeune débutant dans la foi et complétement dévoué à suivre à la lettre les conseils de son mentor. À eux deux, ils devront alors arpenter les couloirs sombres et poisseux de ce lieu inquiétant et tenter de percer les mystères qui voudront bien s’offrir à eux.

    "Personne ne nous impose de savoir. Il le faut, un point c'est tout, fût-ce au prix de mal comprendre"

    2. Amour ≠ Haine

    Dans l’imaginaire collectif, quand on s’imagine un lieu sain, on pense immédiatement à un lieu chaste, bordé d’amour, couvert de magnifiques vitraux et ouvrant chaleureusement ses portes à la lumière du seigneur. Un lieu pur, dépourvu de tout pêché, portant en son sein des membres unis, ayant tous le même but commun, c’est-à-dire la foi. Encore plus inconsciemment et dans un processus de généralisation, les premiers mots qui nous viennent à l’esprit quand on parle de religion peuvent être divers et variées mais sont, dans la plupart du temps, des mots plutôt joyeux et qui inspirent confiance. On peut en effet penser à des mots tels que : prières, dévotion, confessions, Dieu et une pléthore d’autres. Une palette de mots plus encourageants les uns et que les autres et renvoyant souvent à une notion de beauté, d'immaculé, empli d’amour et prônant la fraternité.

    Cependant, dans notre cas de figure, c’est diamétralement l’opposé. C’est comme si toutes les conventions qu’on avait pu connaître auparavant s’étaient inversées. Comme si tout ce qu’on avait appris n’étaient que mensonges et totalement aux antipodes de ce que notre esprit avait pu imager en conséquence. Comme si on venait tout droit d’atterrir dans un monde parallèle, rempli de crasses, de haine, d’abominations et de toutes sortes de personnages occultes. Un monde où le rire, le progrès et la littérature contemporaine n’ont pas leurs places et où les moines pratiquent un enseignement strict et rigoureux. Un lieu où la hiérarchie religieuse règne d’une main de fer et où les religieux sont à la botte de ceux qui les plafonnent. Un lieu vil, sale et dénué de bon sens. Un lieu que l’on ne souhaiterait même pas à son pire ennemi et qui n’inspire aucune confiance. Un lieu où le démon rôde, joue à domicile et est quasi omniscient et omnipotent...

    "Laisse parler ton coeur, interroge les visages, n'écoute par les langues..."

    3. Gloire ≠ Misère

    Le parfait exemple de ce que devrait être la gloire envers Dieu, est représenté ici par un homme nommé Guillaume de Baskerville. Incarnation de la réflexion, du progressisme et de la foi en l’humanité, il est, avec son cher compagnon Adso, qui d'ailleurs à bien de la chance, la seule lueur qui puissent inspirer paix, confiance et prospérité au sein de ces murs. Il est aussi celui que certains pères appellent fils alors que ça devrait être tout l’inverse. Il est celui qui incarne l’espoir, l’intelligence et qui est la seule âme assez compétente pouvant mettre un nom sur cette menace ô combien pesante. Le seul ayant les capacités d’éclaircir les zones d’ombres et le seul pouvant éradiquer la misère de cette abbaye avec sa foi inébranlable et ses méthodes aussi pragmatiques que remarquables. Le seul vrai garant de la gloire et de la parole du seigneur. La seule lueur, le seul espoir.

    Malheureusement, quand on parle de gloire, il y a également la misère qui entre en jeu. De plus celle-ci n'est pas forcément religieuse. Elle peut également être matérielle. Si pénalisante à une époque comme celle-ci. Si insidieuse et pourtant juste au pied de cette abbaye maudite et déjà si sinistre. Elle est celle que tout le monde regarde mais que personne ne veut voir. Celle qui, de par leurs conditions notamment, condamne ces rébus de la foi qu'on pourrait qualifier de vagabond au statut d’hérétique et justifie le peu de considération qui peut être adressé à leur égard. Celle qui les condamne à leur triste sort…

    Vivant du peu de restes de nourritures qui leur est balancée par les religieux comme on balancerait du pain à un pigeon et uniquement due à un acquit de conscience qu'on pourrait qualifier d'éphémère, ceux-ci vivent de pauvreté, de simplicité et de carence, que celle-ci soit religieuse ou purement pécuniaire. Ce qui est particulièrement étrange quand notre regard se pose sur eux, c’est ce sentiment de pitié qui nous habite. On est également tiraillé par cette facette de nous qui les envierait presque de ne pas être tombé dans les travers de la foi et qui leur permet de se contenter du peu que la nature a à leur offrir. C’est clair que quand on voit le physique et la manière de penser des différents pères de l’abbaye et ce que les horreurs de leur croyance, selon leur vision bien-sûr, ont pu bien leur apporter, ça donne pas forcément envie. C’est comme si la croyance avait attribué la laideur à ces hommes et les avait complétement détaché de leur condition humaine et de la réalité de ce monde. Comme si la religion était un fardeau et qu’il fallait l’éviter à tout prix…

    "Les simples ont quelque chose de plus que les docteurs, qui souvent se perdent à la recherche des lois les plus générales. Ils ont l'intuition de l'individuel"

    4. Beauté ≠ Crasse

    Au milieu de toute cette immondice, réside cependant une beauté unique et quasi ineffable. Une beauté autant dans sa symbolique que dans sa laideur. Une beauté des paysages, des décors, des costumes et de tous ces maquillages. C’est comme si toute la poisse que l’on pouvait s’imaginer avait atteint son apogée et que, soudainement, elle avait été élevée au rang art. Comme si tout cet amas de furoncles et de pus n’étaient finalement pas si laids et servaient à un tout. Ce tout, justement, c’est l’ambiance et , ici, elle est parfaitement maitrisée. Que ça soit dans l’apparence des personnages, leurs dialogues ou encore dans les silences de mort qui règnent dans l’abbaye, tout y est foncièrement abject et en même temps si magnifique à la fois. La beauté dans la laideur, le Ying dans le Yang, Dieu dans le Diable…

    "Je me sens peu sûr de ma vérité, même si j'y crois"

    5. Conclusion

    Finalement, je pense que c’est ça que j’ai le plus aimé dans ce film. On a vraiment l’impression d'être en constante confrontation avec une certaine sorte de dualité presque omniprésente, comme pour Adso d’ailleurs, qu'on sent sans cesse tirailler entre le respect de la foie et le péché de l’amour charnel, et c'est un peu comme si durant l'intégralité du métrage, on faisait face à une sorte personnification de l'oxymore. À chaque fois qu’on essaie de prendre position pour quelque chose, on arrive à trouver du bon dans son opposé. Comme si le manichéisme n’était plus aussi cloisonné et qu’on pouvait trouver de la beauté et du mauvais dans tout. Comme si tout ce qui avait été créé dans le monde l’avait été pour être apprécié. Comme si l’amour et la haine n’étaient finalement pas si éloignés...

    "Le rire tue la peur, et sans la peur il n'est pas de foi. Car sans la peur du diable, il n'y a plus besoin de Dieu"
    Bernard D.
    Bernard D.

    111 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 août 2021
    « Le Nom de la Rose » de Jean-Jacques Annaud (1986). Le pitch en est bien connu avec ce donjon aux escaliers labyrinthiques dignes de M C Escher, renfermant des livres interdits parfumés à l’arsenic. Dans cette abbaye bénédictine régie par Michael Lonsdale, très austère et où le rire est interdit, sont survenues plusieurs morts mystérieuses sur lesquelles Guillaume de Baskerville (Sean Connery) - érudit doté d'une logique extraordinaire - est venu enquêter accompagné d’un jeune novice, Adso de Melk (Christian Slater). Parallèlement, Guillaume de Baskerville reverra Bernardo Gui, grand inquisiteur, avec lequel il a eu de graves démêlés ayant eu l’audace de contredire un de ses jugements pour hérésie. Un légat du pape est également présent pour essayer de régler le conflit entre les Franciscains dont Guillaume de Baskerville est un des piliers, et les Bénédictins à propos de la richesse de l’église.
    Ce film magnifiquement dirigé et interprété, est basé sur le roman de fiction éponyme de Umberto Eco paru en 1980, qui témoigne de la puissance mystérieuse de l’église en ce début du XIVème siècle. Un grand succès avec près de 4 millions d’entrées en France ayant justifié le César du Meilleur film étranger et de nombreux autres prix. Un des chefs d’œuvre de Jean-Jacques Annaud.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    134 abonnés 3 060 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juillet 2021
    Un film méticuleux comme sait l'être Jean Jacques Annaud adaptation du roman d'Umberto Eco de 1980. Un style particulier d'enquête médiévale sur des morts en 1327 dans une abbaye du nord de l'Italie avec un personnage central incarné par Sean Connery: Guillaume Baskerville franciscain comme Guillaume D'Ockham savant théologien anglais (v 1285-1347) et enquêteur comme Sherlock Holmes référence au Chien des Baskerville. On peut aussi y voir une allusion au Roman de la Rose qui est une oeuvre poétique du XIIIe siècle. On voit aussi l'inquisition, l'obscurantisme médiéval et diverses péripéties plus ou moins triviales dans ce film aux allures initiatiques. C'est un film historique non chrétien, philosophique, artistique, humaniste et intellectuel. Ce qui est pointé du doigt ce sont les excès dans les croyances et dans les pratiques et tel un James Bond, le personnage central est avisé et mieux inspiré que tout les autres. Malgré son peu d'allégeance chrétienne on peut déceler quelques aspects qui annoncent le protestantisme à travers ces intellectuels qui ne pourront plus tolérer les abus religieux exerçant un grand pouvoir sur les personnes. Un peu comme si les franciscains authentiquement humains et modérés, François d'Assise est juste un peu avant, mort en 1226, avaient un temps freiné ce mouvement. Quelques générations après, les méfaits de nombreux dignitaires catholiques font émerger les Wyclif et Hus dans un premier temps.
    Arsenik67
    Arsenik67

    21 abonnés 798 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 avril 2021
    Un bon film a l'ancienne comme on les aime. Une enquete passionnante. Une periode noire. Des superbes acteurs.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 520 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 avril 2021
    Dans son Post-scriptum au nom de la rose de 1983 Umberto Eco fait allusion à la possibilité de filmer son roman. Marco Ferreri a dit un jour que ses dialogues sont cinématographiques parce qu'ils durent juste assez longtemps. Délibérément lorsque deux de ces personnages passent en conversant du réfractaire au cloître j'écris en tenant compte du plan et lorsqu'ils arrivent ils cessent de parler. Bien qu'il ait été un best-seller si riche en discussions complexes en allusions historiques et ecclésiastiques que beaucoup plus de gens l'ont acheté et lu Le nom de la rose est intensément visuel. Il est à la fois visuel et claustrophobe. Une rose est un labyrinthe ou la rose ici est le labyrinthe. L'ombre entre ses pétales mène à son centre. Annaud diminue la bibliothèque labyrinthique. La crise qu'il entraîne commence dès les premières pages d'Eco lorsque l'abbé présenté avec plus de sympathie et comme un homme plus sage que dans le film met au défi l'ingénieux Guillaume de déduire tout ce qu'il doit savoir sur la bibliothèque sans y mettre les pieds. Même si William échoue dans la mesure où il doit finalement entrer dans la bibliothèque et même y retourner. Comment des cinéastes des réalisateurs de films auraient-ils pu jeter ce défi merveilleusement holmésien. Peter Greenaway aurait pu construire tout le reste sur cette base. La difficulté d'entrer et la terreur proche de se perdre à l'intérieur de la bibliothèque apparaissent à peine dans le film. Je ne peux pas imaginer que ce film sera un jour remodelé et c'est peut-être aussi bien ainsi. Mais il aurait pu et dû être plus que ce film trop simple...
    stans007
    stans007

    23 abonnés 1 311 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 mars 2021
    La transposition réussie du chef-d’oeuvre d’Umberto Ecco. Reconstitution crédible de la vie d’une abbaye au XIIIème siècle, obscurantisme moyenâgeux et bonne prestation des acteurs restent les points forts de cet excellent film.
    Sean Connery au top en Sherlock franciscain.
    AdriBrody
    AdriBrody

    9 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mars 2021
    Quelque peu déçu du Nom de la rose. Le scénario n'est pas particulièrement original, la seule originalité étant le lieu et la date, un thriller médiéval ce n'est pas courant, hormis ça, le film ne vaut pas particulièrement le coup d'oeil. Certes, le film montre une facette de la religion qu'on ne voit pas souvent ailleurs, et en cela le film est plutôt intéressant, mais pour ce qui concerne le côté thriller, c'est un raté.
    pixelmon 16
    pixelmon 16

    2 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 janvier 2021
    Dans ce thriller moyenâgeux de 1986, l'histoire se déroule dans une abbaye bénédictine en 1327 à l'apogée de l'inquisition. Les deux personnages principaux, le franciscain Guillaume de Baskerville et son élève Adso von Melk, mène l'enquête sur la mort de nombreux moines et les événements mystérieux se déroulant dans l'abbaye. Sur le papier, je m'imaginais un film ennuyeux et inintéressant, mais au final le film était très intéressant. Le principal aspect du film qui m'a marqué est l' atmosphère pesante qui est présente tout au long du film. L'arrivée dans l'abbaye est impressionnante, et une fois que les personnages y sont rentrés, on est comme enfermé avec eux, pris par l'histoire et l'intrigue. L'ambiance dépeint aisément le côté glauque et sinistre de l'abbaye et malgré quelques longueurs au début du film, on rentre facilement dans l'histoire. Parlons en de cette histoire, les personnages ont tous un rôle dans la compréhension de l'énigme et les différents éléments de l'enquête permettent une intrigue qui nous tiens jusqu'à la fin du film, avec des dialogues très subtil. La scène dans la bibliothèque, comparable à un labyrinthe était très prenante et on ressent le stress des personnages. Ce lieu est d'ailleurs très bien fait de par son côté obscur et mystérieux. Ce thriller est donc très réussi au niveau de l'atmosphère et aussi de par ses acteurs principaux, avec notamment le célèbre Sean Connery qui joue son personnage à la perfection.
    ddzf nono
    ddzf nono

    2 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 janvier 2021
    J'ai dur regarder le film pour mon cours de français et honnêtement il est nul à chier, j'ai été très déçu il n'y a aucune action et la qualité de l'image est vraiment merdique. Ne regardez pas bonne journée
    Bellerophon44
    Bellerophon44

    4 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 janvier 2021
    Je vais être assez bref, pas besoin de long discourt pour dire que ce film est un Chef d'Oeuvre, c'est un des meilleurs films que j'ai pu voir ! Tout est excellent : l'histoire, les personnages et leurs acteurs, la musique, tout est bien filmé du début jusqu'à la fin, l'énigme monte crescendo, On se rend conte de la vie à cette époque.
    Bref : Extraordinaire ! A voir et à revoir !
    Mister_Ed
    Mister_Ed

    3 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 novembre 2020
    Je me souviens d'avoir vu ce film étant jeune, il m'avait marqué (notamment la scène de sexe, mais pas seulement). Le revoir bien des années après m'a déçu je dois dire. J'ai eu l'impression de voir une comédie. Tout est très cliché. Les émissaires du Pape sont gras et les pauvres très pauvres, poussent leur bagnole les pieds dans la boue of course ! J'ai trouvé ridicule le pseudo-concile, on aurait dit une bagarre de bistrot entre ivrognes. Vous attendez pas à assister à des discussions théologiques approfondies ! Lonsdale que j'apprécie par ailleurs, semble sortir tout droit du tournage de Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ. La palme de l'incongruité revient à l'inquisition et son "grand inquisiteur" qui en fait des caisses, c'est digne des Visiteurs ! L'intrigue est originale, mais on a droit à la solution en plein milieu du film. Annaud a bossé avec des spécialistes du Moyen-Age, mais pas un semble avoir remarqué la statue de la Vierge du XIXème style Renaissance. Bref de la beaucoup de déception.
    Nico F
    Nico F

    206 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2020
    Chef d'oeuvre !! histoire, interprétation , images , .. tout est au top ! n'a pas pris une ride . A revoir
    Rolland P.
    Rolland P.

    2 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 octobre 2020
    Le plus grand film se déroulant pendant le moyen-âge. L'atmosphère est incroyable. Le scénario est vraiment captivant.
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