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LNKRDRN
2 abonnés
659 critiques
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3,0
Publiée le 27 mars 2024
Un film assez glauque.
L'ambiance/l'aspect "malsaine" du film est très bien mis en scène. Il y a un atmosphère où l'on a sans cesse l'impression que quelque chose cloche.
J'ai également aimé les super décors et les costumes qui jouent bien l'immersion dans le moyen âge.
Le film montre quand même bien le mode de vie des moines dans les églises qui s'avérait dure et inconfortable. Nous ressentons la difficulté de vie des personnages.
un des meilleurs films de Jean Jacques Anneau e également un des meilleurs Sean Connery. Le nom de la rose est un thriller nous plongeant dans le moyen age et ses croyances en pleine inquisition, le tout au milieu des différents courants de l'aglises un film dont on ne lasse pas
Revoyant ce film à la télé, 38 ans après sa sortie sur les écrans, je m'aperçois que j'avais presque tout oublié de l'histoire. Il ne me restait en fait que le souvenir de la très forte impression qu'il m'avait faite à l'époque, avec la certitude qu'il s'agissait d'un chef d'œuvre. Un véritable policier historique avec une dimension philosophique.
Le Nom de la Rose est un film réalisé par Jean-Jacques Annaud et sorti en 1986. Cette enquête au cœur du XIVème siècle est passionnante de bout en bout. Porté par un casting de très haut vol (Sean Connery incroyable en Guillaume de Baskerville, Christian Slater incarnant bien l'aspect candide et juvénile d'Adso, Michael Lonsdale etc.), le scénario pose très bien les enjeux du métrage, l'enquête qui se déploie à l'écran est fluide, intéressante, et surprenante jusqu'à la fin. La mise en scène est également très soignée : les décors sont sublimes et permettent d'instaurer une ambiance assez lugubre, inquiétante qui se maintient tout le long du film sans jamais retomber. L'unité de lieu ne se fait pas ressentir tant l'endroit choisi semble immense et rempli de possibilités. Le tout est souligné par une belle mais discrète musique de James Horner. Ce film ne vole pas son statut de "culte". Un grand film qui traverse les années. Un plaisir à voir et à revoir.
Avec cette oeuvre , adaptée du roman éponyme de l'écrivain Umberto Eco , Jean-Jacques Annaud réalisait là en 1986 un film sans aucune fausse note à travers ce thriller Médiévo-Religieux et une enquête prenante et palpitante de bout en bout ! Quant au casting où tous sont parfait , je me dois d’insister sur LA performance de Ron Perlman qui, dans ce vrai rôle de composition, touche du doigt l’excellence de l’interprétation dans la peau du "stupido" Salvatore !
Le film résiste très bien au temps,musique formidable, mise en scène inspirée et Sean Connery est impeccable ainsi que tous les moines. C'est un film à voir même si ça fait évidemment drôle de voir des moines bénédictins italiens parler anglais.
Une plongée vertigineuse dans l'Europe du Moyen-Âge, qui réussit ce qui paraissait impossible, à savoir porter à l'écran le livre somme d'Umberto Eco. Le résultat est majestueux et d'une qualité rare, que ce soit en termes de décors, de reconstitution, de musique que d'adaptation scénaristique, qui est particulièrement réussie. Sans doute mon film préféré de Jean-Jacques Annaud. Le film brille également par son casting : Sean Connery, dans un rôle tout sauf bondesque, Ron Perlman, Michael Lonsdale et F. Murray Abraham, dans une partition aussi marquante que celle qu'il tenait dans Amadeus. Un chef-d'œuvre.
Splendide. L'adaptation du roman d'Eco est excellente : bonne mise en scène, décors magnifiques et acteurs (dont Sean Connery dans son meilleur rôle à mon avis) au top.
Vu et revu quelques fois dans jeunesse, c'est à mon avis un des meilleurs films des années 80. Une sorte de thriller policier médiéval, mais tout à fait bien foutu et très crédible. Les acteurs et l'ambiance pesante de l'intrigue sont inoubliables. Le suspens et l'atmosphère sombre du Moyen-âge sont réussis. Encore une histoire prenante, comme souvent lorsque c'est inspiré d'un roman. Le livre est à conseiller aussi.
La ressortie en salle en février 2024 dans une belle version restaurée m'aura permis d'apprécier la beauté de cette épopée aux cœurs du Moyen Âge. Plus qu'une épopée, c'est avant tout une enquête aux multiples répercussions à laquelle nous vivons dans un environnement bien codifié et dogmatique.
En songeant à l'ensemble global de cette œuvre de fiction, il est clair de se dire qu'il s'agit d'un grand film. On est face à une mise en image réussie et marquante par un jeu d'acteur exemplaire mêlé à des décors qui paraîtraient authentiques. En somme c'est une immersion totale dans une période médiévale.
L'histoire entraînante se suffit à elle même où chaque petit élément est un supplément captivant pour le spectateur. Plutôt déroutant de prime abord de comprendre une telle vie moniale mais l'incarnation de ce duo venu en cette abbaye vient également nous éclaircir. C'est l'intelligence même d'un tel récit où l'on découvre des brides d'informations progressivement pour obtenir une histoire dense et claire en bout de chemin.
Regardez Ben Hur et vous verrez des gens beaux. C'est Rome, après tout! Au moyen-âge... tout le monde est moche! Evidemment! Le livre est sans doute brillant et le film l'illustre bien souvent. Cette mise en scène crasseuse de bout en bout finit néanmoins par lasser.
Un casting réussie excepté Slater qui est un peu fade. Après le personnage de Guillaume se révèle un peu trop parfait le rendant un peu énervant et superficiel. Il y a de bons thèmes musicaux pour un film connaissant des longueurs et utilisant quelques simplicités. Le scénario quant à lui est intrigant dès le début et s'avère une fois la conclusion faite, intelligent et vicieux. Pour une oeuvre qui au final offre une critique mais surtout une nuance non manichéenne de la religion.
Grand succès public et critique, " le nom de la rose" (1986), fait l'objet d'une ressortie opportune en salle.
Cette adaptation d'un roman du sémiologue italien Umberto Eco, repose sur une enquête qui se déroule au sein d'une abbaye de bénédictins en 1327 dans l'Italie du moyen âge. Des morts s'y succèdent, un franciscain tente de percer à jour le mystère.
Réflexion sur un fondement de la religion utilisé pour asseoir son pouvoir sur les hommes : la peur. Son antidote le rire sera donc ici combattu.
Le titre du film est volontairement obscur, sans doute pour illustrer les aspects cachés de la thématique abordée.
Avec le temps, cette réalisation de JJ Annaud a tout de même pris un coup de vieux ( selon moi) mais reste néanmoins un classique à connaître.
Dans sa rediffusion, Le nom de la Rose dispose d'une image magnifique. Le remaster est à un niveau où ce film aurait pu être fait... Hier. C'est techniquement réussi.
Sean Connery et Michael Lonsdale ont fait une grande prestation. L'histoire n'a pas pris une ride, à un point où on remarque que les débats de société sont toujours les mêmes (cela fait environ deux millénaires que nous disons : « Quelle époque de fou vivons-nous », depuis toujours que la société de la logique/scientifique est malmenée par celle de l'imaginaire).