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    Le Nom de la Rose
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    522 critiques spectateurs

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    evariste75
    evariste75

    151 abonnés 168 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 juillet 2024
    Mes goûts ont manifestement évolué ! À sa sortie, en 1986, j'avais adoré ce film, découvrant notamment Sean Connery sous un angle nouveu... Aujourd'hui, ce film m'insupporte, en raison précisément de la mauvaise prestation de Sean Connery, son humour " British " totalement inapproprié à l'atmosphère médiévale et monastériale que ce film est censé donner... scénario gore et incohérent, prétentieux et verbeux...
    Michael78420
    Michael78420

    45 abonnés 1 441 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juin 2024
    Plongé en plein Moyen-Âge, en 1327 pour être précis, le spectateur du XXIe siècle découvre avec effroi le poids de la religion et de l'inquisition. Les moines gardent un lourd secret qui, s'il était révélé, feraient s'effondrer l'édifice mis en place pour tenir les masses en place et les maintenir dans une vie de misère. Même les contradicteurs risquent leur vie : "Celui qui conteste le verdict d'un inquisiteur est coupable d'hérésie." Quant à la condition de la femme, on la devine au travers de cette réplique : "Plus amère que la mort est la femme, dit l'ecclésiaste." Guillaume de Baskerville (interprété par l'excellent Sean Connery) mène une enquête éclairée, faisant fi des obscurantismes de son temps. Une enquête pour élucider des morts subites doublée d'une quête pour découvrir un livre caché depuis des siècles : le second tome de la poétique d'Aristote, qui traite notamment de comédie. Perdu ou plutôt caché pour mieux maintenir les peuples dans l'ignorance tandis que les représentants de l'église s'écharpent (le ventre plein) sur une question : "Le Christ possédait-il la robe qui le vêtait ?" Le Pape Jean, en Avignon, attend la réponse à cette douloureuse question, et confirmera les mises à mort décidées par l'inquisiteur Bernardo Gui (F. Murray Abraham) aussi impitoyable que craint. Le film se termine sur cette étrange incrustation dont la traduction en français m'échappe : "stat rosa pristina nomine, nomina nuda tenemus." Revu en 2024, soit trente-huit ans après sa sortie, Le Nom De La Rose n'a pas pris une ride. Jean-Jacques Annaud a signé là une merveille à voir absolument.
    Totoloinloin
    Totoloinloin

    8 abonnés 301 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 mai 2024
    Long, pénible, ennuyeux, sans intérêt, mou, aucun rebondissement, acting de second zone, oubliable et aux oubliettes.
    NotThatYouThink
    NotThatYouThink

    39 abonnés 268 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2024
    “Le Nom de la Rose” est un bijou de mise en scène, tant le travail au niveau de la lumière, des plans ; l’approche est incroyable et permet avec peu de chose de créer une véritable atmosphère, glauque, brute et médiévale. Le long-métrage est axé autour des croyances religieuses et de la foi où l’église se retrouve mêlée à une succession de meurtres étranges. Sean Connery campe en tant que Guillaume de Baskerville, un franciscain, enquêteur et philosophe à ses heures perdues ; avec l’aide de Adso (Christian Slater) qui pose les questions de la manière dont le spectateur pourrait se les poser lui-même ; de la découle plusieurs thème autour de la foi, de l’emploi du rire dans la religion, de l’amour et différente valeur de la vie. Le long-métrage est dur et violent dans l’ensemble. “Le nom de la Rose” propose également une des scènes d’amour les plus sensuelles de l'histoire du cinéma entre Adso et une inconnue (Valentina Vargas) (appelée la diablesse par les croyants de l’abbaye). Par sa consistance et son rythme, le long-métrage propose quelque chose de fort bien construit ; même s’il manque peut-être de modernité à présent, il n’en reste pas moins un classique du genre.
    OUISTITI 17300
    OUISTITI 17300

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mai 2024
    Le Nom de La Rose est un Film Absolument Culte de Jean-Jacques Annaud avec Sean Connery, Christian Slater, Michael Lonsdale, Ron Perlman. C'est un Véritable Chef d'œuvre je préfère le Film au Roman d'Umberto Éco. C'est un plaisir de redécouvrir ce film en version remasterisée.
    James Lecinet
    James Lecinet

    17 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 mai 2024
    excellente intrigue ; on est dans l'ambiance et on peut comprendre ce qu'était l'inquisition ; Sean Connery est excellent
    mathieu leblanc
    mathieu leblanc

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 mai 2024
    Parce que Sean en tonsure bure jésus a encore plus la classe qu'en smoking vodka martini. Parce que la seule chose plus classe que lui c'est le polar. Brillant avec des ingrédients aussi humbles que du jus de citron, des traces dans la neige et de l'encre sur les doigts - élégance pure. Parce que peut être le meilleur mobile de tous les temps. Parce que les tronches de choux fleurs et les yeux de pigeon. La photo de brume de Delli Colli où mille gris se font alphabet de lumière. La bibliothèque labyrinthe belle comme un tableau d'Escher. Le synthé ténébreux et les cuivres suspendus d'Horner. Porque Salvatore is one of the best seconds rôles degli anni achtzig... Parce qu'un titre qui ne révèle la beauté de son secret qu'à la toute dernière seconde.
    dominique Manesse
    dominique Manesse

    1 abonné 88 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mai 2024
    Ce huis clos ressemble presque a une pièce de théâtre Les personnes sont plus ou moins hideux il y a une intrigue certe mais ça ne vole pas très haut quand même Sean Connery sauve Les meubles j'ai bien eu du mal a aller jusqu'au bout du film 2 heures 10 c'est long pour les fans d abbaye peut être
    gattaca
    gattaca

    7 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 avril 2024
    Le nom de la rose ,de 5 millions d'entrées au box-office en France,césar du meilleur film étranger.
    Qui a offert a Sean Connery l'un des ces plus beaux rôles au cinéma , dans Thriller médiéval sous l'Inquisition.
    Sont de retour après de longues années bloquées par des ayants droit, dans une version entièrement restaurée en 4K pour rendre hommage au chef-d'œuvre de Jean-Jacques Annaud.
    Rod Zam
    Rod Zam

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 avril 2024
    Un classique et un plaisir de voir Sean Connery dans ce rôle. Ambiance très sombre mais un regard sur le moyen âge au travers d'une enquête policière prenante.
    Marie Ml2808
    Marie Ml2808

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 avril 2024
    Excellent thriller dans une atmosphère oppressante et originale. Sean Connery en Sherlock Holmes religieux est phénoménal et Christian Slater en Watson de 20 et troublé par les règles de sa religion et le désir amoureux est très sympathique. Un must !
    ChristopheS.
    ChristopheS.

    6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 avril 2024
    Un des meilleurs polars des années 80, français de surcroit, et se déroulant au moyen âge !
    le film n'a pas vieilli
    Destropeurs
    Destropeurs

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 avril 2024
    N’ayant pas lu le livre, je ne parlerais que de mon point de vue concernant le film.
    Un film d’enquête dans un monastère dont l’idée n’est pas mal du tout. Ce film conduit le spectateur à s’improviser enquêteur et à remonter la piste du « Mal », malheureusement sa lenteur et sa longueur aura raison de son public.
    L’époque (l’inquisition médiévale) est bien mise en scène par le réalisateur Jean-Jacques Annaud. Un monastère austère et une absence de lumière, qui gâche parfois trop la visibilité… Des acteurs qui jouent bien, que ce soit le protagoniste principal Guillaume de Baskerville (Sean Connery) ou le bossu Salvatore (Ron Perlman).
    Concernant la musique aucun souvenir intarissable ne vous restera après le film. Malgré le fait qu’elle puisse bien se marier avec l’ambiance morose du monastère elle n’en reste pas moins dénué d’intensité et apporte plus un appui à la longueur et lenteur du film qu’autre chose.
    Pour résumé, une idée prometteuse, des bons acteurs, une ambiance bien placée mais un film trop long et mal rythmé auquel on ajoute une musique terne. En le remettant à son époque c’est un film correct mais qui, à mon sens, à mal vieillit.
    White Fingers
    White Fingers

    15 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 avril 2024
    « Le Nom de la Rose » est une œuvre cinématographique marquante dans le paysage du cinéma français, reconnue pour sa capacité à immerger le spectateur dans l'atmosphère d'une abbaye du 14ème siècle avec une fidélité historique remarquable. Le film se distingue non pas par l'usage d'effets spéciaux ou de rebondissements constants, mais par la qualité de sa reconstitution et l'ambiance qu'il parvient à créer, offrant une expérience immersive dans un cadre médiéval. L'intrigue, qui se déploie autour d'une série de meurtres mystérieux, bénéficie des performances notables de Sean Connery et Christian Slater, dont l'interaction enrichit le récit en explorant une dynamique professeur/élève pleine de nuances. Cette relation met en lumière la notion d'apprentissage réciproque. La mise en scène de Jean-Jacques Annaud contribue à instaurer une atmosphère sombre et prenante, adéquate pour ce thriller médiéval. L'utilisation d'une musique inquiétante de James Horner et la représentation d'une communauté monastique où le rire est considéré comme hérétique accentuent la tension et le sentiment d'oppression tout au long du film. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
    Theo
    Theo

    17 abonnés 896 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mars 2024
    "Le Nom de la Rose" de Jean-Jacques Annaud est une œuvre cinématographique qui s'immerge profondément dans les méandres du mystère médiéval, enveloppée dans une atmosphère à la fois sombre et captivante. Adapté du roman éponyme d'Umberto Eco, le film est un labyrinthe intellectuel et visuel qui invite à une réflexion sur la connaissance, le pouvoir et la foi.

    La performance de Sean Connery, incarnant avec brio le perspicace Guillaume de Baskerville, est indéniablement le pilier sur lequel repose le film. Sa présence à l'écran, alliée à la naïveté curieuse du jeune Adso de Melk, joué par un Christian Slater prometteur, crée une dynamique captivante, propulsant l'histoire à travers ses intrigues et ses rebondissements. L'interprétation des autres membres de la distribution, notamment celle de Ron Perlman en Salvatore, apporte une profondeur remarquable aux personnages secondaires, enrichissant ainsi la trame narrative.

    Sur le plan visuel, le film est une réussite incontestable. La reconstitution minutieuse de l'abbaye, conjuguée à la magistrale photographie de Tonino Delli Colli, transporte le spectateur au cœur de cette époque révolue, capturant avec une précision presque documentaire la vie monastique du XIVe siècle. La direction artistique et les costumes, soigneusement élaborés, ajoutent une couche d'authenticité et d'immersion qui est rarement atteinte dans les films historiques.

    Cependant, le film n'est pas sans ses imperfections. La complexité du récit, bien qu'admirable, peut parfois sembler accablante, laissant le spectateur désireux d'un fil conducteur plus clair à travers les méandres de l'intrigue. De plus, bien que le film excelle dans la création d'une atmosphère dense et immersive, il manque par moments de la finesse émotionnelle nécessaire pour établir un lien plus profond avec ses personnages. Cette distance émotionnelle empêche le film d'atteindre une résonance plus universelle, confinant son impact à l'intellect plutôt qu'au cœur.

    Enfin, la fidélité à l'œuvre originale d'Eco est à la fois une bénédiction et une malédiction. Le film réussit à capturer l'esprit du roman, mais dans sa transition vers le grand écran, certaines des nuances et des sous-textes qui rendent le livre si captivant se perdent. Cette fidélité stricte limite peut-être l'adaptation, empêchant le film d'explorer de nouvelles avenues ou d'apporter une nouvelle perspective à l'histoire.

    En somme, "Le Nom de la Rose" est une œuvre cinématographique magistralement réalisée, dotée d'une richesse narrative et visuelle qui en fait une expérience inoubliable. Toutefois, sa complexité et son manque de connexion émotionnelle plus profonde empêchent le film de transcender son matériel source pour atteindre une nouvelle hauteur. C'est une œuvre remarquable qui, malgré ses imperfections, demeure un incontournable pour les amateurs du genre.
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