Un film policier se passant au Moyen Âge, le spitch avait de quoi me plaire, et j'ai d'ailleurs beaucoup aimé le film qui dégage une atmosphère pesante et prenante.
L'enquête est intéressante, avec de nombreux rebondissements. Une jolie réflexion sur la peur qu'on pu entraîner des livres et les connaissances.
Au final je regrette une seule chose : l'histoire d'amour entre Christian Slater et la paysanne. On était pas venu voir ça, et elle est complètement inintéressante qui plus est.
Un très bon thriller policier, dont l'intrigue est malgré tout un peu vue d'avance spoiler: : le méchant est le monsieur avec la tête de méchant bien sûr !
Les interprétations des acteurs sont parfaites, l'histoire prenante de bout en bout.
Un scénario époustouflant dans une atmosphère lourde. La tension est palpable à chaque scène,vive ce cinéma-là. Une adaptation totalement réussie. J-J Annaud est en forme olympique.
Le nom de la rose ,de 5 millions d'entrées au box-office en France,césar du meilleur film étranger. Qui a offert a Sean Connery l'un des ces plus beaux rôles au cinéma , dans Thriller médiéval sous l'Inquisition. Sont de retour après de longues années bloquées par des ayants droit, dans une version entièrement restaurée en 4K pour rendre hommage au chef-d'œuvre de Jean-Jacques Annaud.
J'ai mis très longtemps avant de le regarder , je m'attendais à voir un ramassis de bondieuserie chiante , je me suis bien trompé. L'univers du Moyen âge est très bien représenté. Le nom de la rose est un film réellement palpitant , avec un très bon casting. Ne faites pas comme moi , n'attendez plus pour le regarder. (Copie d'une critique que je partage à 100%)
Un film saisissant par sa plastique. Une adaptation de grande qualité sur l'obscurantisme et la terreur. Grande interprétation des acteurs et une ambiance surprenante. Film passionnant.
spoiler: C'est l'histoire d'un Hercule Poirot en tonsure et robe de bure enquêtant sur des meurtres dont le motif laisserait interdit un génération Z
- Cette critique contient des spoilers -
Cette adaptation d'Umberto Eco s'appuie sur un scenario original dans lequel un moine et son apprenti enquêtent sur des morts inexpliqués survenus dans une abbaye isolée.
Ce polar médiéval m'avait marqué plus jeune et son revisionnage m'a confirmé sa force et sa maitrise. On est pris par le suspense de l'enquête policière, le charisme d'un Sean Connery magistral et surtout l'ambiance de ce cloitre plus étrange et malsain à chaque nouvelle scène. La réalisation appuie cette sensation d'écrasement, la caméra relevant fréquemment la tête vers les hautes tours de la forteresse.
Les dialogues sont également particulièrement réussis comme l'échange entre Baskerville et le vénérable Jorge sur le rire, propre de l'homme... comme le pêché. Ceux sur l'opposition de la raison à la foi religieuse paraissent aujourd'hui démodés même si une relecture vérité vs fake news ne parait pas absurde. The Name of the Rose est une charge continue contre l'église à la structure rigide, à l'opulence indigne et opposée au progrès.
"William of Baskerville: But what is so alarming about laughter? Jorge de Burgos: Laughter kills fear, and without fear there can be no faith, because without fear of the Devil there is no more need of God."
The Name of the rose m'a également plut parce qu'il célèbre la puissance des livres, capable de tuer, de déchaîner les passions et même de rendre exalté notre héro, force tranquille. Enfin, même si le mécanisme est usé et les protagonistes caricaturaux (l'inquisiteur), je n'ai pas pu m'empêcher de me révolter contre l'injustice et la condamnation d'innocents par un système arbitraire et implacable.
Une critique tout de même sur l'évidente misogynie de l'œuvre. Le seul personnage féminin est un visage et un corps davantage qu'un être humain et sa seule action consiste à s'offrir sexuellement en geignant comme une bête. On ne saura "jamais son nom" de celle qui n'aura même pas prononcé un mot, c'est peut-être très poétique mais c'est surtout très cxx.
Une brillante adaptation du roman de Umberto Ecco. Jean-Jacques Annaud signe un film de grande envergure servi par un casting royal. Les décors sont magnifiques et la reconstitution historique est criante de vérité. L'atmosphère mystérieuse et inquiétante de cette abbaye est parfaitement restituée. En l'an 1327, Le moine Guillaume de Baskerville (Sean Connery, excellent), mène l'enquête avec son jeune novice (Christian Slater) sur la morts étrange de plusieurs moines au coeur d'une abbaye bénédictine du nord de l'Italie. Nous sommes en pleine période d'inquisition et ces meurtres vont attirer l'attention d'un inquisiteur qui vient lui aussi mener son enquête à l'abbaye. Un thriller historique qui n'a pas pris une ride et reste un modèle du genre. A voir ou revoir sans modération.
Le film résiste très bien au temps,musique formidable, mise en scène inspirée et Sean Connery est impeccable ainsi que tous les moines. C'est un film à voir même si ça fait évidemment drôle de voir des moines bénédictins italiens parler anglais.