Note moyenne
3,5
27 titres de presse

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

27 critiques presse

Bande à part

par Pierre Charpilloz

Les Derniers Parisiens aurait pu être un film de rage, de colère. Il est tout le contraire. À la manière de romanciers du XIXème siècle, le duo de réalisateurs semble faire le constat, doux et amer, de la fin d’un monde, de la fin d’une époque.

La critique complète est disponible sur le site Bande à part

20 Minutes

par Caroline Vié

Leur personnage principal, pas tout à fait honnête, pas complètement filou, force la sympathie au milieu de ses semblables cherchant à subsister dans un univers qui se réduit progressivement.

La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

Cahiers du Cinéma

par Nicole Brenez

POUR : L’équité figurative qui règne dans "Les Derniers Parisiens" s’étend jusqu’au chien trottinant seul, filmé en travelling, et lègue au cinéma quelques petits personnages inoubliables, tels, sur les deux versants de la légalité, le vendeur de CD et de tee-shirts à l’effigie de Thomas Sankara qui navigue de porte en porte, et Bak le vendeur de baskets qui navigue à vue entre boutique en dur et site Internet.

Elle

par Alexandre Mouawad

Du Cassavetes à la francaise, filmé caméra à l'épaule, à hauteur d'humanité, qu'on ira voir pour s'encanailler et dont on ressortira bouleversé.

Franceinfo Culture

par Jacky Bornet

Hamé et Ekoué signent un premier long métrage maîtrisé de bout en bout de quelque côté qu’on l’aborde, en terme d’images, d’ambiance, d’interprétation et de dramaturgie, sans complaisance ni revendication. Seulement un sentiment de vérité, juste et poignant. Respect.

La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

L'Humanité

par La Rédaction

Reda Kateb et Slimane Dazi incarnent, avec une force intérieure incandescente, ces frangins dont les aspirations sont écrasées par le rouleau compresseur du système...

La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

L'Obs

par François Forestier

Il passe dans ce film une poésie âpre, une énergie folle, une charge d'émotion brute. On est chez les cailleras, les escarpes, les tire-laine, dans les bas-fonds d'un quartier électrique : c'est du Francis Carco hip-hop. Surtout, le film a une qualité rare : de la soul. De l'âme.

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Le Parisien

par Catherine Balle

Pour leur premier long-métrage, Mame et Ekoue, fondateurs du groupe de rap La Rumeur, réalisent une plongée haletante dans un Pigalle des voyous, des bars et de la nuit en pleine mutation.

Le Point

par Victoria Gairin

La Rumeur raconte avec force et poésie l'histoire de Caïn et Abel dans les rues de Pigalle.

Les Inrockuptibles

par Serge Kaganski

Ce qu'ils montrent, c'est qu'à rebours de tous les discours sur le refus de s'intégrer, les habitants de Paname issus de l'immigration ne sont, certes, ni des anges ni des démons mais à tout le moins de Parigots pur jus.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

Libération

par Gilles Renault

(...) en choisissant d’observer ce "Mean Streets" faubourien au niveau des joueurs de bonneteau, le film aborde avec élégance, sinon poésie, la question d’une forme de survie citadine contenue jusque dans son titre.

La critique complète est disponible sur le site Libération

Paris Match

par Alain Spira

Véritable close-up, cette tragédie moderne de frangins de banlieue qui voulaient s’en sortir, consacre deux réalisateurs. Grâce à eux, jamais Pigalle la Blanche n’a eu de si belles couleurs…

La critique complète est disponible sur le site Paris Match

Première

par Christophe Narbonne

Avec une écriture aussi précise que triviale, le duo élève ce faux film de gangsters - plein de bruit et de fureur mais dénué d'armes automatiques - au rang de puissante tragédie familiale où perce une infinie mélancolie.

Sud Ouest

par Sophie Avon

Réda Kateb, Slimane Dazi et Mélanie Laurent composent « Les derniers Parisiens », éclairant la distribution de ce beau premier long-métrage mélancolique.

La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest

Transfuge

par Ilan Malka

Un climat de menace latente hante le film, qui avance sans cesse au bord de la tragédie. Entre gouaille populaire, naturalisme et violence rentrée, la Rumeur définit déjà un chemin singulier dans le cinéma français.

Voici

par Lola Sciamma

Cette chronique d'un quartier par les rappeurs de La Rumeur rappelle le meilleur des polars indé américains des seventies.

Critikat.com

par Clément Graminiès

L'ambition mesurée des réalisateurs dans leurs choix de mise en scène les amènent parfois à faire preuve d'une timidité qui prive certainement le film de la belle ampleur à laquelle il pouvait prétendre.

La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

L'Express

par Christophe Carrière

Le film vaut surtout pour son casting, Reda Kateb et Slimane Dazi en tête.

Le Dauphiné Libéré

par Jean Serroy

Entre drame familial et histoire violente de petits malfrats, un film qui vaut surtout par l’atmosphère populaire d’un quartier mythique qu’il arrive à capter..

Le Figaro

par La Rédaction

On est loin de Scorsese et De Palma, mais Reda Kateb et Slimane Dazi sont très bien en frères amochés par la ville et la vie.

La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

Le Figaroscope

par Etienne Sorin

On retrouve ici les tares de tout un cinéma français naturaliste, sociologique, psychologique, apeuré à l’idée de s’aventurer vers le cinéma de genre. (...) Heureusement, il y a Reda Kateb et Slimane Dazi. Deux sacrées gueules avec leurs yeux ­pochés.

La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope

Les Fiches du Cinéma

par Thomas Fouet

Ce premier long métrage écrit et réalisé par Hamé et Ékoué, du groupe La Rumeur, est porté par un épatant Reda Kateb, croque joliment le Pigalle contemporain, malgré quelques pesanteurs dans l’écriture.

Studio Ciné Live

par Thomas Baurez

Crépusculaire par définition, le film fonctionne bien dans sa partie documentaire, un peu moins quand il essaie de poser des enjeux dramatiques. Et au milieu de ce chaos surnage l'acteur intemporel Reda Kateb.

Télérama

par Louis Guichard

Un film noir, sur la violence du monde, et pourtant sans crime au sens propre. Sans autre victime que des caïds amateurs, appelés à devenir des laissés-pour-compte.

La critique complète est disponible sur le site Télérama

Cahiers du Cinéma

par Laura Tuillier

CONTRE : Le film se construit sur une ambition démesurée qui l’emmène souvent au bord du ridicule.

La Voix du Nord

par Philippe Lagouche

Faute de dialogues dignes de ce nom, le récit bientôt se délite et se noie sous les soubresauts d’une caméra portée. Est-ce si compliqué de choisir un axe de prise de vue ? N’est pas cinéaste qui veut.

Le Monde

par Thomas Sotinel

Passant à la réalisation, les rappeurs Hamé et Ekoué saisissent l’agonie d’un quartier menacé par la normalisation, mais échouent à y implanter une fiction convaincante.

La critique complète est disponible sur le site Le Monde
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