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Les Derniers Parisiens aurait pu être un film de rage, de colère. Il est tout le contraire. À la manière de romanciers du XIXème siècle, le duo de réalisateurs semble faire le constat, doux et amer, de la fin d’un monde, de la fin d’une époque.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Leur personnage principal, pas tout à fait honnête, pas complètement filou, force la sympathie au milieu de ses semblables cherchant à subsister dans un univers qui se réduit progressivement.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
POUR : L’équité figurative qui règne dans "Les Derniers Parisiens" s’étend jusqu’au chien trottinant seul, filmé en travelling, et lègue au cinéma quelques petits personnages inoubliables, tels, sur les deux versants de la légalité, le vendeur de CD et de tee-shirts à l’effigie de Thomas Sankara qui navigue de porte en porte, et Bak le vendeur de baskets qui navigue à vue entre boutique en dur et site Internet.
Hamé et Ekoué signent un premier long métrage maîtrisé de bout en bout de quelque côté qu’on l’aborde, en terme d’images, d’ambiance, d’interprétation et de dramaturgie, sans complaisance ni revendication. Seulement un sentiment de vérité, juste et poignant. Respect.
Reda Kateb et Slimane Dazi incarnent, avec une force intérieure incandescente, ces frangins dont les aspirations sont écrasées par le rouleau compresseur du système...
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Il passe dans ce film une poésie âpre, une énergie folle, une charge d'émotion brute. On est chez les cailleras, les escarpes, les tire-laine, dans les bas-fonds d'un quartier électrique : c'est du Francis Carco hip-hop. Surtout, le film a une qualité rare : de la soul. De l'âme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Pour leur premier long-métrage, Mame et Ekoue, fondateurs du groupe de rap La Rumeur, réalisent une plongée haletante dans un Pigalle des voyous, des bars et de la nuit en pleine mutation.
Ce qu'ils montrent, c'est qu'à rebours de tous les discours sur le refus de s'intégrer, les habitants de Paname issus de l'immigration ne sont, certes, ni des anges ni des démons mais à tout le moins de Parigots pur jus.
(...) en choisissant d’observer ce "Mean Streets" faubourien au niveau des joueurs de bonneteau, le film aborde avec élégance, sinon poésie, la question d’une forme de survie citadine contenue jusque dans son titre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Véritable close-up, cette tragédie moderne de frangins de banlieue qui voulaient s’en sortir, consacre deux réalisateurs. Grâce à eux, jamais Pigalle la Blanche n’a eu de si belles couleurs…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Avec une écriture aussi précise que triviale, le duo élève ce faux film de gangsters - plein de bruit et de fureur mais dénué d'armes automatiques - au rang de puissante tragédie familiale où perce une infinie mélancolie.
Réda Kateb, Slimane Dazi et Mélanie Laurent composent « Les derniers Parisiens », éclairant la distribution de ce beau premier long-métrage mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Un climat de menace latente hante le film, qui avance sans cesse au bord de la tragédie. Entre gouaille populaire, naturalisme et violence rentrée, la Rumeur définit déjà un chemin singulier dans le cinéma français.
L'ambition mesurée des réalisateurs dans leurs choix de mise en scène les amènent parfois à faire preuve d'une timidité qui prive certainement le film de la belle ampleur à laquelle il pouvait prétendre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Entre drame familial et histoire violente de petits malfrats, un film qui vaut surtout par l’atmosphère populaire d’un quartier mythique qu’il arrive à capter..
On retrouve ici les tares de tout un cinéma français naturaliste, sociologique, psychologique, apeuré à l’idée de s’aventurer vers le cinéma de genre. (...) Heureusement, il y a Reda Kateb et Slimane Dazi. Deux sacrées gueules avec leurs yeux pochés.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Ce premier long métrage écrit et réalisé par Hamé et Ékoué, du groupe La Rumeur, est porté par un épatant Reda Kateb, croque joliment le Pigalle contemporain, malgré quelques pesanteurs dans l’écriture.
Crépusculaire par définition, le film fonctionne bien dans sa partie documentaire, un peu moins quand il essaie de poser des enjeux dramatiques. Et au milieu de ce chaos surnage l'acteur intemporel Reda Kateb.
Un film noir, sur la violence du monde, et pourtant sans crime au sens propre. Sans autre victime que des caïds amateurs, appelés à devenir des laissés-pour-compte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Faute de dialogues dignes de ce nom, le récit bientôt se délite et se noie sous les soubresauts d’une caméra portée. Est-ce si compliqué de choisir un axe de prise de vue ? N’est pas cinéaste qui veut.
Passant à la réalisation, les rappeurs Hamé et Ekoué saisissent l’agonie d’un quartier menacé par la normalisation, mais échouent à y implanter une fiction convaincante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Bande à part
Les Derniers Parisiens aurait pu être un film de rage, de colère. Il est tout le contraire. À la manière de romanciers du XIXème siècle, le duo de réalisateurs semble faire le constat, doux et amer, de la fin d’un monde, de la fin d’une époque.
20 Minutes
Leur personnage principal, pas tout à fait honnête, pas complètement filou, force la sympathie au milieu de ses semblables cherchant à subsister dans un univers qui se réduit progressivement.
Cahiers du Cinéma
POUR : L’équité figurative qui règne dans "Les Derniers Parisiens" s’étend jusqu’au chien trottinant seul, filmé en travelling, et lègue au cinéma quelques petits personnages inoubliables, tels, sur les deux versants de la légalité, le vendeur de CD et de tee-shirts à l’effigie de Thomas Sankara qui navigue de porte en porte, et Bak le vendeur de baskets qui navigue à vue entre boutique en dur et site Internet.
Elle
Du Cassavetes à la francaise, filmé caméra à l'épaule, à hauteur d'humanité, qu'on ira voir pour s'encanailler et dont on ressortira bouleversé.
Franceinfo Culture
Hamé et Ekoué signent un premier long métrage maîtrisé de bout en bout de quelque côté qu’on l’aborde, en terme d’images, d’ambiance, d’interprétation et de dramaturgie, sans complaisance ni revendication. Seulement un sentiment de vérité, juste et poignant. Respect.
L'Humanité
Reda Kateb et Slimane Dazi incarnent, avec une force intérieure incandescente, ces frangins dont les aspirations sont écrasées par le rouleau compresseur du système...
L'Obs
Il passe dans ce film une poésie âpre, une énergie folle, une charge d'émotion brute. On est chez les cailleras, les escarpes, les tire-laine, dans les bas-fonds d'un quartier électrique : c'est du Francis Carco hip-hop. Surtout, le film a une qualité rare : de la soul. De l'âme.
Le Parisien
Pour leur premier long-métrage, Mame et Ekoue, fondateurs du groupe de rap La Rumeur, réalisent une plongée haletante dans un Pigalle des voyous, des bars et de la nuit en pleine mutation.
Le Point
La Rumeur raconte avec force et poésie l'histoire de Caïn et Abel dans les rues de Pigalle.
Les Inrockuptibles
Ce qu'ils montrent, c'est qu'à rebours de tous les discours sur le refus de s'intégrer, les habitants de Paname issus de l'immigration ne sont, certes, ni des anges ni des démons mais à tout le moins de Parigots pur jus.
Libération
(...) en choisissant d’observer ce "Mean Streets" faubourien au niveau des joueurs de bonneteau, le film aborde avec élégance, sinon poésie, la question d’une forme de survie citadine contenue jusque dans son titre.
Paris Match
Véritable close-up, cette tragédie moderne de frangins de banlieue qui voulaient s’en sortir, consacre deux réalisateurs. Grâce à eux, jamais Pigalle la Blanche n’a eu de si belles couleurs…
Première
Avec une écriture aussi précise que triviale, le duo élève ce faux film de gangsters - plein de bruit et de fureur mais dénué d'armes automatiques - au rang de puissante tragédie familiale où perce une infinie mélancolie.
Sud Ouest
Réda Kateb, Slimane Dazi et Mélanie Laurent composent « Les derniers Parisiens », éclairant la distribution de ce beau premier long-métrage mélancolique.
Transfuge
Un climat de menace latente hante le film, qui avance sans cesse au bord de la tragédie. Entre gouaille populaire, naturalisme et violence rentrée, la Rumeur définit déjà un chemin singulier dans le cinéma français.
Voici
Cette chronique d'un quartier par les rappeurs de La Rumeur rappelle le meilleur des polars indé américains des seventies.
Critikat.com
L'ambition mesurée des réalisateurs dans leurs choix de mise en scène les amènent parfois à faire preuve d'une timidité qui prive certainement le film de la belle ampleur à laquelle il pouvait prétendre.
L'Express
Le film vaut surtout pour son casting, Reda Kateb et Slimane Dazi en tête.
Le Dauphiné Libéré
Entre drame familial et histoire violente de petits malfrats, un film qui vaut surtout par l’atmosphère populaire d’un quartier mythique qu’il arrive à capter..
Le Figaro
On est loin de Scorsese et De Palma, mais Reda Kateb et Slimane Dazi sont très bien en frères amochés par la ville et la vie.
Le Figaroscope
On retrouve ici les tares de tout un cinéma français naturaliste, sociologique, psychologique, apeuré à l’idée de s’aventurer vers le cinéma de genre. (...) Heureusement, il y a Reda Kateb et Slimane Dazi. Deux sacrées gueules avec leurs yeux pochés.
Les Fiches du Cinéma
Ce premier long métrage écrit et réalisé par Hamé et Ékoué, du groupe La Rumeur, est porté par un épatant Reda Kateb, croque joliment le Pigalle contemporain, malgré quelques pesanteurs dans l’écriture.
Studio Ciné Live
Crépusculaire par définition, le film fonctionne bien dans sa partie documentaire, un peu moins quand il essaie de poser des enjeux dramatiques. Et au milieu de ce chaos surnage l'acteur intemporel Reda Kateb.
Télérama
Un film noir, sur la violence du monde, et pourtant sans crime au sens propre. Sans autre victime que des caïds amateurs, appelés à devenir des laissés-pour-compte.
Cahiers du Cinéma
CONTRE : Le film se construit sur une ambition démesurée qui l’emmène souvent au bord du ridicule.
La Voix du Nord
Faute de dialogues dignes de ce nom, le récit bientôt se délite et se noie sous les soubresauts d’une caméra portée. Est-ce si compliqué de choisir un axe de prise de vue ? N’est pas cinéaste qui veut.
Le Monde
Passant à la réalisation, les rappeurs Hamé et Ekoué saisissent l’agonie d’un quartier menacé par la normalisation, mais échouent à y implanter une fiction convaincante.