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Rémi 14
4 abonnés
33 critiques
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4,0
Publiée le 15 juillet 2023
un film magnifique de la vie d'un ado dans une famille fysfonctionnelle. chacun a ses secrets. et cet ado découvre la vie, entre les attirances du meme sexe, l'amour fou, l'amour vite, l'amour consommé, l'amour trahi. il granfit dans ce périple qu'est la vie. il ne peut qu'en sortir grandi.
4 561 abonnés
18 103 critiques
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1,0
Publiée le 11 juillet 2021
Moi et mon monde est une coproduction germano-autrichienne. Le scénariste et réalisateur est le relativement jeune cinéaste autrichien Erwa et cela a donné un film qui dure presque deux heures. Et c'était pénible à regarder indépendamment de la souffrance de tous les personnages de ce film c'est nous en tant que spectateur ayant des goûts cinématographiques qui souffrons le plus en regardant ce film. Commençons par le contenu à thème gay. Il existe de nombreux longs-métrages sur le thème de l'homosexualité mais le problème est qu'ils reposent entièrement sur le fait que le public s'intéresse aux personnages a leur histoire et a leur sexualité. Il y a plus de quelques scènes où ce film inclut des scènes de sexe sans intérêt ou de la nudité qui n'ajoute malheureusement rien à l'histoire...
Très joli film ! Le personnage principal est attachant & adorable, son contexte familial est intrigant & chaotique, sa première histoire d'amour fiche le frisson tant c'est naif et romantique et franchement j'ai passé un très bon moment devant ce drame familial sur fond de première histoire d'amour gay ! En plus la fin remue & détonne... bravo !
Adapté d'un best-seller en Allemagne, un film qui dresse le portrait d'un ado en quête d'identité. Un film attachant et délicat mais plombé par un scénario assez naïf et plat.
Le film est assez basique malgré un ton coloré. L'acteur principal joue juste et a une bonne bouille. Assez surprise par la liberté amoureuse dans cette famille. Ça ne me semble pas aussi simple et libéré dans notre réalité. 3/5
Bouleversant ! Je suis très ému par la fraîcheur de ce film qui gagne à être connu et reconnu . Une très belle réussite avec des interprètes magnifiques ! LOUIS HOFMAN est d’une beauté lunaire !
Malgré quelques scènes un peu longues et sans intérêt, Center Of My World est un bon film centré sur l'adolescence et la découverte de soi. Ce métrage représente bien notre actualité à nous, les jeunes. Mention pour les acteurs qui jouent excessivement bien.
Un scénario un peu confus, qui tente de faire tenir la romance gay et les secrets de famille dans un même film. Le résultat est un peu maigre, péniblement soutenu par des effets de mise en scène originaux mais parfois trop systématiques ou clipesques. Pour ce qui est de l’idylle, l’alchimie entre les deux garçons fonctionne très bien, mais tous ces flashbacks vers l’enfance et cette atmosphère de mystère permanent plombent un peu leur histoire, qui finit par passer au second plan. Restent une jolie sensibilité, la fraîcheur d’un film gay qui nous épargne la question du coming out et, surtout, d’excellents acteurs.
un portrait de l'adolescence, de la découverte de l'amour sur fond de liens familiaux qui se délient, jonché de secrets et par l'absence du père. un joli drame, au ton juste et finalement positif, mis en images avec une certaine grâce.
Le film montre un monde, celui du personnage principal, celui "du milieu" d'après le titre allemand, où il n'existe quasi que des femmes. Les hommes sont réduits à n'être qu'un père inconnu et absent, les amants interchangeables de la mère, le dernier de ces amants étant un bon tâcheron menuisier sans âme soumis à une reine-mère bien fanée, un fils ayant préféré abandonner toute virilité pour plutôt se faire gay, le seul mâle ayant encore un peu d'hormones étant à moitié gay lui aussi, et le plus mâle de tous étant un légume dans le coma. Parmi ces femmes qui dominent ce monde, il y a surtout celle qui a enfanté mais ne veut pas qu'on l'appelle "mère" et, face à elle, sa fille, le seul être qui essaie encore de se rebeller contre cet ordre mortifère. Je ne vois pas comment on peut voir ce film autrement que comme le regard objectif posé sur une société en désagrégation totale. Ce film donc est plutôt bien, comme Virgin Suicides de Mme Coppola, avec des références cinématographiques diverses et des meilleures (dont Parker Lewis), la plus évidente de ces références étant Citizen Kane (Snowball), ce qui peut s'interpréter comme le désir du jeune homme de retrouver un cadre familial normal, avec un père et une famille normale plutôt que la décomposition de cette "famille" qui n'en est pas vraiment une qu'a vaguement "construit", en fait en profitant d'un héritage qui lui permet d'être une totale inactive, sa mère. Sous son aspect mignon et gentillet, ce que donne à voir ce film est un réquisitoire sans concession contre la société germanique contemporaine.
Très bon film qui, contrairement à beaucoup de film "gay" n'est pas centré sur l'orientation sexuelle du personnage principal. Oui il est amoureux, oui il vit une histoire d'amour (en quelque sorte), mais le centre de tout ça, le centre de son monde, c'est sa famille qui part en vrille. Le but du film serait plutôt: découvrir ce qui c'est passé entre sa mère et sa soeur pendant l'été où lui était en colonie en France (point de départ du film). C'est un film sur un adolescent qui essaye de gérer ses problèmes perso et ses problèmes familiaux en même temps et qui se trouve être gay. Ce n'est définitivement pas un film que je verrai avec ma famille (à cause des scènes un peu "hot") mais c'est un film à voir car au final, malgré une ambiance un peu lourde, triste, tout du long, il reste "feel good", l'un de ses films où on en ressort avec l'envie de faire et vivre milles choses.
Quel dommage que Die Mitte der Welt n’est pas eu sa chance ou sa place dans le panorama des projections internationales. À premières vues, le long métrage semble s’adresser à un public adolescent, mais il n’en est rien je vous en assure. Il s’adresse à un public beaucoup plus large, car le réalisateur de Die Mitte der Welt ne parle pas seulement de l’histoire d’amour entre deux jeunes hommes, mais bien de l’histoire de Phil, un jeune adulte qui essaie, aussi bien que mal, de trouver sa place dans une famille, certes peu ordinaire je vous l’accorde, déchirée par un secret trop bien gardé par la marginale Glass. L’homosexualité du jeune Phil n’est pas le sujet du film et c’est bien assumé dès les premières minutes. Jakob M. Erwa nous présente pour son deuxième long métrage, une histoire originale, complète et même oserais-je dire avant-gardiste par l’écriture des personnages qu'il dépeint hauts en couleur. Question musique, Paul Gallister nous gratifie d’une bande sonore efficace et qui vient amplifier, pour notre plus grand plaisir, le côté léger et estival mais aussi plus passionnel des scènes avec la famille ou ses amis. La distribution est excellenete dans son intégralité. En conclusion, très bon passé avec Phil et compagnie...
Magnifique, sans jamais tomber dans le larmoyant, on ne peut qu'être touché par cette histoire. Difficile de ne pas s'identifier au héros à un moment ou un autre entre les problèmes de famille, les premiers émois et la recherche de soi. Comme le dit la description c'est une parfaite illustration du passage à la vie adulte avec toute sa complexité et tout ce qu'il a de bouleversant.
Singulier, touchant, ce récit, nous montre un tout autre aspect. Il est traité de plusieurs sujets, la quête d'identité, de son orientation, d'une solitude. La découverte d'un premier amour. Délicat, attentionné. D'une sœur et d'une mère avec bien des secrets, qui les affectent. Il est traité surtout d'un sujet, dont la réponse nous est donnée à la fin du film. Quel est notre centre du monde ? Pour Phil, nous découvrirons son enfance, son passé, et bien plus.