Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Critikat.com
par Axel Scoffier
Au croisement de l’intemporalité innocente d’un "Boyhood", de l’ambiguïté genrée d’un "Tomboy", ou de la cruauté du gosse d’un "We Need to Talk About Kevin", "Les Démons" joue de la position d’acteur-observateur de l’enfant timide, travaillant dans cet effacement le mystère d’une intériorité mi-craintive mi-cruelle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Beau sujet, servi par la remarquable composition du jeune Edouard Tremblay-Grenier, et si la crainte louable de ne pas trop en dire conduit ce documentariste à ne pas en montrer assez, c’est qu’il revient au spectateur de se former sa propre vision des événements.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Première fiction de Philippe Lesage, jusqu'ici documentariste, "Les Démons" capte ces intuitions, subtile chronique d'enfance tout en menace diffuse, en résonances secrètes, inquiètes, sous le calme des jours.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Noémie Luciani
Il n’est en effet pas certain qu’il faille ranger Félix dans la catégorie douteuse des enfants « à part ». C’est ce que nous suggèrent la première scène et d’autres orchestrées pareillement, au gré de la mise en scène tendue, précise, remarquable de force de Philippe Lesage.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
On pourra reprocher à Philippe Lesage un formalisme parfois un petit peu clinquant, un usage trop important de la musique. Mais il se dégage de son film quelque chose d'intemporel qui dépasse toutes les cases psychosociologiques : ses personnages sont des individus, pas des cas.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
"Les Démons" pèse sur ses personnages autant que sur les spectateurs, en imposant une austérité de ton et une rigueur de cadrage qui, dans un domaine plus paranoïaque et lynchien, aurait accouché d’un Goodnight Mommy en Europe.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Si les peurs d’enfants foisonnent dans le cinéma fantastique, peu de films les abordent sous un angle prosaïque. C’est toute la saveur du film de Philippe Lesage de traiter d’un sujet original, d’autant qu’il ne réclame aucune participation de psychanalystes, psychiatres, ou psychologues.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Arnaud Schwartz
Ce beau film du Québécois Philippe Lesage souffre hélas de ses insistances, sur un sujet qui aurait mérité une plus grande épure encore.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Philippe Lesage cisèle une mise en scène dont la précision sophistiquée et picturale sert magistralement le propos.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Ces démons ne laissent pas indifférent.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Le passé de documentariste du Canadien Philippe Lesage ne se laisse jamais deviner, tant il y a ici une façon d'esthétiser le réel pour mieux lui tordre le coup.
Télérama
par Louis Guichard
Le virage vers le danger bien réel de la pédophilie est moins convaincant : le point de vue cesse d'être celui de l'enfant. Malgré la tenue de la mise en scène au bord du sordide, c'est presque un autre film qui émerge, tardivement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Narration discontinue sous forme d’épisodes sur la peur du sida, de l’homosexualité, du divorce des parents et des serial killers. Là-dessus se greffe une séquence dramatique et cruelle qui ressemble à une concrétisation des terreurs du petit héros. Séquence en soi très convaincante, mais qui redouble l’hétérogénéité de l’ensemble, et par là notre perplexité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
Philippe Lesage réalise un premier film à la coloration fantastique prometteuse. Une œuvre audacieuse, toutefois quelque peu plombée par l'inconsistance de son scénario.
Première
par Éric Vernay
Pour faire monter la tension, Philippe Lesage plaque par-dessus son fastidieux exposé psychologique un suspense pédophile très fabriqué, cadenassé par un discours vaseux sur l'origine de la violence, le tout assorti d'une partition classique tonitruante pour bien surligner le malaise généralisé.
Critikat.com
Au croisement de l’intemporalité innocente d’un "Boyhood", de l’ambiguïté genrée d’un "Tomboy", ou de la cruauté du gosse d’un "We Need to Talk About Kevin", "Les Démons" joue de la position d’acteur-observateur de l’enfant timide, travaillant dans cet effacement le mystère d’une intériorité mi-craintive mi-cruelle.
L'Obs
Beau sujet, servi par la remarquable composition du jeune Edouard Tremblay-Grenier, et si la crainte louable de ne pas trop en dire conduit ce documentariste à ne pas en montrer assez, c’est qu’il revient au spectateur de se former sa propre vision des événements.
Le Figaro
Première fiction de Philippe Lesage, jusqu'ici documentariste, "Les Démons" capte ces intuitions, subtile chronique d'enfance tout en menace diffuse, en résonances secrètes, inquiètes, sous le calme des jours.
Le Monde
Il n’est en effet pas certain qu’il faille ranger Félix dans la catégorie douteuse des enfants « à part ». C’est ce que nous suggèrent la première scène et d’autres orchestrées pareillement, au gré de la mise en scène tendue, précise, remarquable de force de Philippe Lesage.
Les Inrockuptibles
On pourra reprocher à Philippe Lesage un formalisme parfois un petit peu clinquant, un usage trop important de la musique. Mais il se dégage de son film quelque chose d'intemporel qui dépasse toutes les cases psychosociologiques : ses personnages sont des individus, pas des cas.
aVoir-aLire.com
"Les Démons" pèse sur ses personnages autant que sur les spectateurs, en imposant une austérité de ton et une rigueur de cadrage qui, dans un domaine plus paranoïaque et lynchien, aurait accouché d’un Goodnight Mommy en Europe.
Franceinfo Culture
Si les peurs d’enfants foisonnent dans le cinéma fantastique, peu de films les abordent sous un angle prosaïque. C’est toute la saveur du film de Philippe Lesage de traiter d’un sujet original, d’autant qu’il ne réclame aucune participation de psychanalystes, psychiatres, ou psychologues.
La Croix
Ce beau film du Québécois Philippe Lesage souffre hélas de ses insistances, sur un sujet qui aurait mérité une plus grande épure encore.
La Septième Obsession
Philippe Lesage cisèle une mise en scène dont la précision sophistiquée et picturale sert magistralement le propos.
Le Journal du Dimanche
Ces démons ne laissent pas indifférent.
Studio Ciné Live
Le passé de documentariste du Canadien Philippe Lesage ne se laisse jamais deviner, tant il y a ici une façon d'esthétiser le réel pour mieux lui tordre le coup.
Télérama
Le virage vers le danger bien réel de la pédophilie est moins convaincant : le point de vue cesse d'être celui de l'enfant. Malgré la tenue de la mise en scène au bord du sordide, c'est presque un autre film qui émerge, tardivement.
L'Humanité
Narration discontinue sous forme d’épisodes sur la peur du sida, de l’homosexualité, du divorce des parents et des serial killers. Là-dessus se greffe une séquence dramatique et cruelle qui ressemble à une concrétisation des terreurs du petit héros. Séquence en soi très convaincante, mais qui redouble l’hétérogénéité de l’ensemble, et par là notre perplexité.
Les Fiches du Cinéma
Philippe Lesage réalise un premier film à la coloration fantastique prometteuse. Une œuvre audacieuse, toutefois quelque peu plombée par l'inconsistance de son scénario.
Première
Pour faire monter la tension, Philippe Lesage plaque par-dessus son fastidieux exposé psychologique un suspense pédophile très fabriqué, cadenassé par un discours vaseux sur l'origine de la violence, le tout assorti d'une partition classique tonitruante pour bien surligner le malaise généralisé.