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Récompensé par une flopée de prix (Festival de Chicago, de Saint-Sébastien, de São Paulo, de Göteborg, de Varsovie, etc.), "Sparrows" est une ode émouvante à la jeunesse qui fout le camp. Runarsson serait-il le Truffaut du Nord ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Un récit de formation, partagé entre les difficultés de rapports entre un fils et son père et les émois adolescents, le tout dans des paysages qui insufflent au film sa force dramatique.
Une réalité dont le réalisateur sait révéler les plus subtils contrastes, les tons bigarrés, la grandeur. Un voyage émouvant, inextricablement poétique et pathétique, à l’instar des musiques magnifiques, signées Kjartan Sveinsson, l’ancien pianiste du groupe culte Sigur Ros.
Ainsi décrit, "Sparrows" semble n’être qu’une chronique adolescente mélancolique de plus. C’est tout l’inverse. Le cinéma de Rúnar Rúnarsson est trop nuancé pour s’en tenir aux classifications par genre. Il serait fastidieux d’en énumérer les raisons : elles sont partout.
La mise en scène de Runarsson est toujours délicate, précise, trouvant toujours les bons cadres, la bonne distance, le bon tempo (...) Entre paysages glaciaires, personnages volcaniques et mise en scène tempérée, "Sparrows" trouve son bel équilibre.
Au-delà de ses sombres instances, "Sparrows" développe un discours éminemment positif. On se retrouve dans ce film juste et grave, imprégné d’humanité.
Outre la présence de la nature, indifférente à la mesquinerie des affaires humaines, l’autre idée-symbole du film qui exprime la pureté du héros par rapport au milieu grossier dans lequel il débarque, est sa voix séraphique de jeune chanteur. Cela ne suffit pas à garantir l’originalité du film, néanmoins il reste digne et sensible.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Moins drôle que Béliers ou L’Histoire du géant timide, Sparrows est le portrait sensible d’Ari, un ado de 16 ans, qui retourne vivre chez son père dans la région des fjords. Une chronique sans traits saillants mais touchante.
L'Obs
Récompensé par une flopée de prix (Festival de Chicago, de Saint-Sébastien, de São Paulo, de Göteborg, de Varsovie, etc.), "Sparrows" est une ode émouvante à la jeunesse qui fout le camp. Runarsson serait-il le Truffaut du Nord ?
Critikat.com
C’est dans le maintien d’une telle tension que la mise en scène du cinéaste déploie pudeur et subtilité (...).
Le Dauphiné Libéré
Un récit de formation, partagé entre les difficultés de rapports entre un fils et son père et les émois adolescents, le tout dans des paysages qui insufflent au film sa force dramatique.
Le Journal du Dimanche
Une réalité dont le réalisateur sait révéler les plus subtils contrastes, les tons bigarrés, la grandeur. Un voyage émouvant, inextricablement poétique et pathétique, à l’instar des musiques magnifiques, signées Kjartan Sveinsson, l’ancien pianiste du groupe culte Sigur Ros.
Le Monde
Ainsi décrit, "Sparrows" semble n’être qu’une chronique adolescente mélancolique de plus. C’est tout l’inverse. Le cinéma de Rúnar Rúnarsson est trop nuancé pour s’en tenir aux classifications par genre. Il serait fastidieux d’en énumérer les raisons : elles sont partout.
Les Fiches du Cinéma
Rúnar Rúnarsson présente avec “Sparrows” un deuxième long métrage saisissant sur le retour aux sources et les questions de filiation.
Les Inrockuptibles
La mise en scène de Runarsson est toujours délicate, précise, trouvant toujours les bons cadres, la bonne distance, le bon tempo (...) Entre paysages glaciaires, personnages volcaniques et mise en scène tempérée, "Sparrows" trouve son bel équilibre.
Ouest France
Un bijou esthétique baigné par la lumière islandaise qui ausculte le désarroi de l'adolescence.
Positif
Cette fin feel good n'a rien de forcé, évite le glauque qu'aurait pu imposer le milieu décrit et confirme le talent de son auteur.
Voici
Photographie envoûtante et interprétation habitée, un vrai choc qui venait du froid.
aVoir-aLire.com
Oeuvre, belle et astrale, où la lumière bienveillante baigne cette magnifique région du monde (lslande) d’une douceur mélancolique.
Franceinfo Culture
Au-delà de ses sombres instances, "Sparrows" développe un discours éminemment positif. On se retrouve dans ce film juste et grave, imprégné d’humanité.
L'Humanité
Outre la présence de la nature, indifférente à la mesquinerie des affaires humaines, l’autre idée-symbole du film qui exprime la pureté du héros par rapport au milieu grossier dans lequel il débarque, est sa voix séraphique de jeune chanteur. Cela ne suffit pas à garantir l’originalité du film, néanmoins il reste digne et sensible.
Le Figaro
Moins drôle que Béliers ou L’Histoire du géant timide, Sparrows est le portrait sensible d’Ari, un ado de 16 ans, qui retourne vivre chez son père dans la région des fjords. Une chronique sans traits saillants mais touchante.
Libération
Le film déploie ses ailes dans le cadre aussi somptueux qu’étouffant des fjords, no man’s land où prospèrent mentalités étriquées et machisme rural.
Première
C'est beau. Et un peu vain.
Studio Ciné Live
Pas impérissable, bien que parsemé de moments de désespoir touchants.
Télérama
On le voit sans déplaisir aucun ni enthousiasme particulier. Mais le garçon est attendrissant et son père, interprété par un comédien remarquable.