Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Une jolie adaptation du best-seller de Julian Barnes par le réalisateur de The Lunch Box.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
A l’heure des souvenirs séduit par la finesse de son regard sur deux âges de la vie. Il capte avec justesse la jeunesse, son arrogance et ses illusions.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par La Rédaction
Nostalgique, pimenté d’humour british, le film met en scène avec beaucoup de tendresse un personnage très attachant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Cécile Mury
En équilibre fragile entre séquences contemporaines et flash-back comme empoisonnés par la nostalgie, le film progresse vers une révélation, un bilan existentiel, un « sens de la fin » — le titre original.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Un postulat intimiste classique qui permet un intéressant travail de déconstruction narratif mais aussi et surtout une plongée dans les affres de la mémoire. Un sujet universel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Antoine Le Fur
Malgré le charme désuet de la mise en scène et l'élégance so British du tandem Jim Broadbent-Charlotte Rampling, difficile de se passionner pour cette "Heure des souvenirs" qui, justement, n'en laisse pas beaucoup.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
En adaptant un de ses romans préférés, signé du Britannique Julian Barnes, le réalisateur de "The Lunchbox" fait preuve d'une révérence certes élégante, mais trop prudente, qui étouffe les cruautés (l'âge, les souvenirs, les rivalités et les trahisons amoureuses) de cette fiction mémorielle à suspense.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Sujet passionnant pour un film qui aurait dû l’être davantage, mais d’où se dégage un étrange parfum de mélancolie à la forte amertume : comment adaptons-nous nos souvenirs à nos désirs ?
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par La Rédaction
C'est finement analysé et impeccablement interprété, mais on se perd parfois en conjectures sur les rapports de génération. Un puzzle à la fois minutieux et nébuleux, difficile équilibre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Adapté d’un roman de Julian Barnes, Une fille qui danse, A l’heure des souvenirs évite une bonne part des conventions inhérentes au genre.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Jim Broadbent est excellent en homme déstabilisé par un passé resurgissant au fil des flash-backs. Un portrait touchant, emprunt d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Olivier De Bruyn
Si "À l’heure des souvenirs" ne brille pas par son invention formelle (les flash-back, nombreux, flirtent plus d’une fois avec l’académisme), le film fait néanmoins preuve d’une sobriété et d’une élégance notables et, surtout, tire le meilleur parti de sa distribution.
Première
par Thierry Chèze
Construit en flashbacks et flashforwards, A l’heure des souvenirs se révèle un petit bijou de sensibilité, servi par une mécanique de précision scénaristique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dommage que cette histoire à tiroirs, dont on veut percer les secrets, soit aussi tortueuse.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Malgré ses flash back battant la mesure, le récit ne manquerait pas d’un certain charme si à la décantation du temps et à la révélation de ses angles morts, ne succédait un épilogue emberlificoté. Si filandreux qu’il passe l’envie d’être compris.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Femme Actuelle
Une jolie adaptation du best-seller de Julian Barnes par le réalisateur de The Lunch Box.
La Croix
A l’heure des souvenirs séduit par la finesse de son regard sur deux âges de la vie. Il capte avec justesse la jeunesse, son arrogance et ses illusions.
Le Parisien
Nostalgique, pimenté d’humour british, le film met en scène avec beaucoup de tendresse un personnage très attachant.
Télérama
En équilibre fragile entre séquences contemporaines et flash-back comme empoisonnés par la nostalgie, le film progresse vers une révélation, un bilan existentiel, un « sens de la fin » — le titre original.
aVoir-aLire.com
Un postulat intimiste classique qui permet un intéressant travail de déconstruction narratif mais aussi et surtout une plongée dans les affres de la mémoire. Un sujet universel.
L'Express
Malgré le charme désuet de la mise en scène et l'élégance so British du tandem Jim Broadbent-Charlotte Rampling, difficile de se passionner pour cette "Heure des souvenirs" qui, justement, n'en laisse pas beaucoup.
L'Obs
En adaptant un de ses romans préférés, signé du Britannique Julian Barnes, le réalisateur de "The Lunchbox" fait preuve d'une révérence certes élégante, mais trop prudente, qui étouffe les cruautés (l'âge, les souvenirs, les rivalités et les trahisons amoureuses) de cette fiction mémorielle à suspense.
La Voix du Nord
Sujet passionnant pour un film qui aurait dû l’être davantage, mais d’où se dégage un étrange parfum de mélancolie à la forte amertume : comment adaptons-nous nos souvenirs à nos désirs ?
Le Figaro
C'est finement analysé et impeccablement interprété, mais on se perd parfois en conjectures sur les rapports de génération. Un puzzle à la fois minutieux et nébuleux, difficile équilibre.
Le Monde
Adapté d’un roman de Julian Barnes, Une fille qui danse, A l’heure des souvenirs évite une bonne part des conventions inhérentes au genre.
Les Fiches du Cinéma
Jim Broadbent est excellent en homme déstabilisé par un passé resurgissant au fil des flash-backs. Un portrait touchant, emprunt d’humanité.
Positif
Si "À l’heure des souvenirs" ne brille pas par son invention formelle (les flash-back, nombreux, flirtent plus d’une fois avec l’académisme), le film fait néanmoins preuve d’une sobriété et d’une élégance notables et, surtout, tire le meilleur parti de sa distribution.
Première
Construit en flashbacks et flashforwards, A l’heure des souvenirs se révèle un petit bijou de sensibilité, servi par une mécanique de précision scénaristique.
Le Journal du Dimanche
Dommage que cette histoire à tiroirs, dont on veut percer les secrets, soit aussi tortueuse.
Sud Ouest
Malgré ses flash back battant la mesure, le récit ne manquerait pas d’un certain charme si à la décantation du temps et à la révélation de ses angles morts, ne succédait un épilogue emberlificoté. Si filandreux qu’il passe l’envie d’être compris.