Avis : Bad Boys Ride or Die - Page 3

Bonjour je vous avoue j'ai eu peur ,mais au final j'ai adoré, se film fait toujours partager l'image de la loyauté la sincérité et surtout la famille, l'histoire est bien construite et les acteurs sont toujours égale à eux même, ils sont génial, se sont et seront toujours les bad boys de mon enfance ,et surtout ils me font toujours autant rire et pour moi ça n'a pas de prix ,j'ai aimer voir se film et d'ici là je regarderai encore et encore les bad boys même quand j'aurais pris de l'âge car rire ça fait du bien.

Ça fait toujours plaisir de retrouver Will Smith et Martin Lawrence dans un Bad boys !
Qu’on se le dit, c’est pas le film du siècle, mais ça reste un bon divertissement, c’est pas le meilleur loin de là, pour moi, le meilleur était le deuxième !
Certaines scènes sont quand même très comique, ce qui sauve un peu le film aussi.

L'ombre de la gifle donné à Chris Rock à Will Smith lors de la cérémonie des oscar plane sur cet opus. Du coup le film rajoute une couche de comique ridicule. Une franchise déjà médiocre depuis longtemps, dialogues et acteurs affligeants. On se moque complètement des enjeux et des personnages.

Honorable pour voir de la bonne scène d'action bien chorégraphiée, aucune surprise , mais on sera content de voir du cinéma commercial tout pourri et bien régressif, la recette semble marcher car les spectateurs sont là pour faire son succès contrairement à d'autre comme l'excellentissime pauvre "Furiosa" (au boxoffice catastrophique). Will Smith peine à nous donner une claque avec son pathétique acolyte, bon bah on se force à y croire pour s'émerveiller du reste d'une qualité certe satisfaisante. Oui c'est triste.

Fan du premier, j'essaye de me convaincre des suites à chaque fois c'est vraiment nul depuis malheureusement

Excellent film ! "Bad Boy : Ride or Die" rend un vibrant hommage aux classiques du genre, tout en proposant une vision moderne et rafraîchissante. A voir absolument !

Ce quatrième volet est bien rythmé en terme d'action mais le scénario est bordélique et borderline. L'humour est mal dosé et trop lourd.

Bad boys 4 est tout simplement le meilleur film de la saga mêlant comédie action will smith et Martin lawrence nous embarquent dans une aventure complètement folle les scènes d action sont innovantes l histoire est parfaitement bien écrite l humour est parfait les personnes secondaire sont parfaitement développés un régal pour les yeux

Quand un duo de pseudo réalisateurs bousille une saga à succès, on leurs redonne pour qu'ils l'acheve ? Un humour et des blagues qui fonctionnent peut-être en Beljik mais ailleurs ça ne prend pas. Des scènes surréalistes qui font perdre le charme de qui cartonnait deux décennies plus tôt... aujourd'hui on ne progresse pas, on régresse... rempli d'incohérences.

Le troisième volet d'Adil El Arbi et Bilall Fallah était correct sans atteindre le savoir-faire de Michael Bay qui avec Bad boys 2 avait livré un film d'action complètement décomplexée, ici certains parlerons d'hommage aux précédents films de la part des deux réalisateur, personnellement je trouve qu'il singe Bay plus qu'autre chose en reprenant ses plans iconiques sans les mettre vraiment en valeur. Ce quatrième opus est malgré tout divertissant, parce-que les personnages reste attachants, c'est d'ailleurs sur le capital sympathie des deux policiers que le film repose sa structure, par contre le scénario est éculé jusqu'à la corde en plus de souffrir d'incohérences et de scènes complètement exagéré en terme de gunfights voir certaines cascades, nos trois héros qui sortent tout pimpant spoiler: du crash d'helico
, Bay qui adore pourtant la démesure avait quand même gardé ses personnages terre à terre. Sorte de miroir inversé avec le film précédent, ici c'est Marcus qui spoiler: frôle la mort et qui devient tête brûlé et Mike qui doute et se met a avoir des crises d'angoisses,
passé ce point d'originalité il n'y'a plus grand-chose de nouveau. La réalisation reste dynamique avec quelques plans façon FPS et des plans "drone" mais une fois de plus Bay avait déjà poussé au paroxysme ce genre de plans avec 6 underground et surtout Ambulance. Ca reste correcte si l'on aime le genre et surtout le duo, mais ça manque d'originalité et surtout d'une histoire qui fasse réellement évoluer les personnages, autres que par leurs âges.

Rien de nouveau à Miami, ni chez les bad boys, ni chez les vrais méchants, jusqu'au vieil alligator qui veille sous l'eau. Cartels, drogue, FBI, corruption, fausses accusations, traques et carnages de ouf. Le scénario du film rebat les cartes. Mais l'arc narratif est le même : les deux compères, leurs familles, et notamment le fils de l'un d'eux.

Justement, la fraîcheur est apportée par ce dernier personnage qu'on remarque d'emblée (on lit l'innocence dans le regard alors qu'il est derrière les barreaux). Méchant au regard doux. Il était déjà dans l'opus précédent. L'acteur est Jacob Scipio (indo-guyanien de père et britannique de mère, d'où une étrangeté réussie).

Les bad boys font les gamins, même si l'un sort d'un arrêt cardiaque et que l'autre a des crises de panique. Normal, la franchise prend de l'âge. En même temps, l'âge permet des blagues qu'on n'aurait pas pu faire avant. Et Martin Lawrence excelle pour jouer celui qui peut dire "j'étais déjà venu ici quand j'étais mort".

A.G.

Ça commence tellement mal avec tous les poncifs et mauvais dialogues imaginables ainsi qu’une utilisation à haute dose des placements de produits assez horripilante que j’avais du mal à interpréter le slogan du spot radio pondu par le service marketing du distributeur : « Le film événement de l’année ». J’ai vu ce film en salle et en 4DX et heureusement car, sur une plateforme, j’aurai peut-être zappé après ce début raté. Mais heureusement l’intrigue prend forme et on retombe dans l’ambiance des buddy-movies des années 90 et surtout la 4DX est un procédé technologique sud-coréen qui a l’art de sublimer les films d’action comme celui-ci : certaines scènes en tirent réellement profit. Plus globalement, la réalisation est originale et emprunte par moment aux jeux-vidéo, First Person Shooter en tête. Donc « Bad Boys Ride or Die » n’est pas le meilleur « Bad Boys » de la saga, n’est pas le mieux joué, n’est pas le mieux écrit (je mets au défi n’importe quel spectateur habitué des blockbusters de ne pas identifier le méchant par rapport au jeu forcé des fausses pistes et au choix du casting) mais il contient de nombreuses scènes d’action efficaces et c’est ce que j’étais venu chercher.

4e opus de nos deux fadas de Miami et disons que même si on est content de les revoir et bien les mecs font moins le job. Ok on garde leur duo comique qui fonctionne toujours bien mais les scènes d'action restent bien en deçà des deux premiers opus. Le film met un chouia de temps à se mettre en route, j'aurais aimé une première scène spectaculaire qui aurait donné le ton, à la place on à la scène de la bande annonce...bof... Le changement reste qu'on se met sur leur faiblesse et cela donne un petit côté plus humain. Et cela met en perspective le fait ben qu'ils ne sont plus tout jeune!^^
Après il n'y a pas de surprise dans le déroulé de l'histoire comme prévu et oui pour moi le bémol reste les scènes d'action, ils ont tenté une approche plus moderne de la façon de les tourner mais cela donne un peu la gerbe et perso je trouve cela plus brouillon qu'autre chose. Content de revoir le duo mais beaucoup plus nuancé sur la finalité de ce film.
NOTE : 5/10

Quand il y en plus, il y en a encore. L’adage est bien connu et Hollywood, en panne d’idées, n’hésite pas à ressasser des recettes (ici des franchises donc) vu et revues mais qui ont fait leurs preuves (en termes de recettes surtout et bien sûr). Le troisième épisode de ladite franchise initiée par Michael Bay (dont il a tourné le premier 1995 et le second en 2003) l’a clairement ressuscitée, juste avant le chaos de 2020 et après plus de quinze ans, en se positionnant comme un étonnant et franc succès au box-office. Les producteurs se sont donc engouffrés très vite dans l’idée d’un quatrième film. Cependant, cinq ans après, elle apparaît plus opportuniste en sortant si vite et plus risquée à cause de ses têtes d’affiches. En effet, Martin Lawrence n’a rien fait d’intéressant depuis et Will Smith est passé par la polémique de la gifle aux Oscars ce qui l’avait fait mettre sur le banc de touche dans le métier depuis. Et, pour être honnête, le début de ce « Bad Boys Ride or Die » fait peur. Très peur. On a droit à un Lawrence en totale roue libre et véritable tête à claques, un Will Smith complètement effacé, des gags puérils et débiles et un début d’intrigue peu convaincant.

On ne va pas dire que tout cela s’efface comme par magie par la suite, le duo d’acteurs semblant vraiment à l’ouest et là pour cachetonner, mais la base du spectacle est présente et plutôt bien exécutée, comme pour le précédent, par le duo de réalisateur belges Adil El Arbi et Billal Falah. Dans la même veine que le troisième, les deux jeunes cinéastes (dont on a mis le « Batgirl » à la poubelle il y a deux ans) s’amusent avec les nouvelles technologies et abusent (un peu) des effets clippesques et tape-à-l’œil fondus dans des couleurs néons et fluos agressives. Cependant, il faut avouer que cela colle bien à la franchise et au contexte de Miami et ce film d’action se voulant fun et contemporain. Ils nous offrent même certains plans assez bluffants et qui en mettent techniquement plein la vue, notamment lors du final qui s’avère plutôt spectaculaire. En gros, le mangeur de popcorn de base devrait y trouver son compte, le tout étant rythmé et parfaitement distrayant.

Ce qui gêne plus dans ce nouvel opus est le manque total d’innovation et d’imagination des scénaristes. L’intrigue est générique au possible et les facilités ou invraisemblances pleuvent. On dirait une histoire pondue par une IA qui recycle ce qui a fait le sel des trois précédents en mettant en notion additionnelle et un peu nouvelle le simple fait que nos deux héros sont désormais en fuite et recherchés. Le méchant a de la gueule sans pour autant être mémorable, les personnages satellites ne sont que purement fonctionnels et la lassitude pointe le bout de son nez. En gros, tout cela menace de devenir rengaine et lassant. Mais le rythme soutenu, quelques gags gentiment amusants contrebalançant d’autres vraiment lourds et immatures (Lawrence en fait des tonnes quand Smith semble absent) et la bonne ambiance générale tout comme le savoir-faire dans l’action sauvent la mise. Maintenant, il faudrait peut-être vraiment songer à arrêter là. On n’est pas au point de rupture et de dégénérescence de la saga « Fast and Furious » mais ça commence dangereusement à y ressembler rayon action.

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Bad Boys: Ride or Die est un bijou du cinéma d’action. Ce film fonctionne très bien (combats, scène comique et émotion). Ce mélange m’a totalement conquis et je vous recommande vivement de le voir sur grand écran tellement que les scènes d’action sont magistrales.