Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
CNews
par La rédaction
La mise en scène maîtrisée du tandem Adil El Arbi et Bilall Fallah, des séquences d'action parfaitement chorégraphiées et une direction artistique impeccable pour saisir parfaitement l'essence de Miami, avec ses paysages urbains scintillants et ses plages ensoleillées, permettent de compenser les manquements du scénario.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le tandem de flics iconiques revient pour une quatrième aventure qui remplit allègrement son cahier des charges avec ses courses-poursuites, fusillades et explosions. Un blockbuster survitaminé qui équilibre action et humour (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Michel Valentin
Comme ils l’avaient déjà fait dans la série Mrs Marvel, les deux réalisateurs triturent les techniques cinématographiques, insérant des séquences dignes de jeux vidéo ou des prises de vues effectuées par des drones tourbillonnants. Un coup de jeune qui sied à merveille à ces Bad Boys toujours aussi déjantés.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Le duo, en dépit d’une intrigue passe-partout qui pousse les deux flics de Miami à partir en cavale pour laver leur nom et celui de leur capitaine défunt, emballe le tout avec dextérité. Ils convoquent à la fois l’identité de la saga telle que dictée par Bay – tout est vitesse et mouvement –, et assument la leur, faite de couleurs criardes, de néons et d’une grande contemporanéité.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Point
par Florence Colombani, Baudouin Eschapasse, Alice Durand
Bad Boys : Ride or Die ne brille ni par sa finesse ni par son originalité, mais il garantit un divertissement pur et simple. Et c'est bien tout ce qu'on lui demande.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Will Smith et Martin Lawrence rempilent dans cette suite survoltée qui les oblige à quitter Miami pour les marais oubliés de Floride. Un film bourré d’action, spectaculaire parfois, qui remplit la case de divertissement, mais rien de plus.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par F.C.
Sans approcher la folie furieuse du deuxième épisode, ce quatrième film parvient à dégager un enthousiasme régressif et même à chavirer une salle à moitié comble, en dépit de ses tonnes de plomb dans l'aile.
Première
par Sylvestre Picard
Une réussite toute relative, soyons clairs : on est dans l’univers Bad Boys, qui repose sur la dynamique entre les blagues plus ou moins grasses de Martin Lawrence et le flegme fatigué de Will Smith, le long d’une intrigue policière aussi classique qu’une bavure. Mais voilà, on sent que tout le monde est là, que le film est investi.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Robin Berthelot
Quatrième rodéo urbain pour les deux bad boys, de retour aux affaires pour un volet sans grande surprise, mais efficace, qui louche allègrement du côté de la saga Fast & Furious.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Bad Boys : Ride or Die propose le titre du film qui est celui de trop. On ne leur souhaite pas de mourir mais prendre leur retraite pourrait être judicieux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifllet
Will Smith et Martin Lawrence cabotinent à mort dans le nouvel opus de la saga policière délirante.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Un blockbuster fainéant et franchement triste, à l’image du jeunisme embarrassant de Will Smith et Martin Lawrence.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Isabelle Danel
Il y a certes des bagarres démentes (...) Mais c’est bien le moins. Le tout ressemble à un jeu vidéo hyper violent et les morts y ont aussi peu d’importance (puisque ce sont des vilains).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
Su pur divertissement bourrin et assumé.
Le Figaro
par E.S.
Le programme ne change pas : cascades spectaculaires et blagues en dessous de la ceinture. Fatigant pour les yeux et les oreilles, reposant pour le cerveau.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Oui, les acteurs ont pris de l’âge. C’est naturel et personne ne viendra leur reprocher. Mais ils représentent ce qu’est ce Bad Boys Ride or Die, un film ayant pris son tarif senior où tout le monde semble fatigué et ils en deviennent fatigants.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Pour le meilleur et pour le pire, ce Bad Boys 4 nous fait donc retraverser le temps. À force de trop appuyer ses intentions, d’accentuer les gueules patibulaires des vilains de service ou de multiplier les poncifs, on a l’impression que le film a été tourné trente ans en arrière. De toute évidence, la saga a besoin de sang neuf pour espérer se renouveler.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Nicolas Didier
Les quinquagénaires Will Smith et Martin Lawrence font le minimum syndical dans cette histoire de ripoux en Floride. Hormis de rares surprises, ce quatrième opus de la franchise ne convainc pas.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
On ne voit plus dans Bad Boys qu’une beauferie sans génie, et un formalisme qui fait désormais l’effet d’un cache-misère.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CNews
La mise en scène maîtrisée du tandem Adil El Arbi et Bilall Fallah, des séquences d'action parfaitement chorégraphiées et une direction artistique impeccable pour saisir parfaitement l'essence de Miami, avec ses paysages urbains scintillants et ses plages ensoleillées, permettent de compenser les manquements du scénario.
Le Journal du Dimanche
Le tandem de flics iconiques revient pour une quatrième aventure qui remplit allègrement son cahier des charges avec ses courses-poursuites, fusillades et explosions. Un blockbuster survitaminé qui équilibre action et humour (...).
Le Parisien
Comme ils l’avaient déjà fait dans la série Mrs Marvel, les deux réalisateurs triturent les techniques cinématographiques, insérant des séquences dignes de jeux vidéo ou des prises de vues effectuées par des drones tourbillonnants. Un coup de jeune qui sied à merveille à ces Bad Boys toujours aussi déjantés.
CinemaTeaser
Le duo, en dépit d’une intrigue passe-partout qui pousse les deux flics de Miami à partir en cavale pour laver leur nom et celui de leur capitaine défunt, emballe le tout avec dextérité. Ils convoquent à la fois l’identité de la saga telle que dictée par Bay – tout est vitesse et mouvement –, et assument la leur, faite de couleurs criardes, de néons et d’une grande contemporanéité.
Le Point
Bad Boys : Ride or Die ne brille ni par sa finesse ni par son originalité, mais il garantit un divertissement pur et simple. Et c'est bien tout ce qu'on lui demande.
Les Fiches du Cinéma
Will Smith et Martin Lawrence rempilent dans cette suite survoltée qui les oblige à quitter Miami pour les marais oubliés de Floride. Un film bourré d’action, spectaculaire parfois, qui remplit la case de divertissement, mais rien de plus.
Mad Movies
Sans approcher la folie furieuse du deuxième épisode, ce quatrième film parvient à dégager un enthousiasme régressif et même à chavirer une salle à moitié comble, en dépit de ses tonnes de plomb dans l'aile.
Première
Une réussite toute relative, soyons clairs : on est dans l’univers Bad Boys, qui repose sur la dynamique entre les blagues plus ou moins grasses de Martin Lawrence et le flegme fatigué de Will Smith, le long d’une intrigue policière aussi classique qu’une bavure. Mais voilà, on sent que tout le monde est là, que le film est investi.
aVoir-aLire.com
Quatrième rodéo urbain pour les deux bad boys, de retour aux affaires pour un volet sans grande surprise, mais efficace, qui louche allègrement du côté de la saga Fast & Furious.
20 Minutes
Bad Boys : Ride or Die propose le titre du film qui est celui de trop. On ne leur souhaite pas de mourir mais prendre leur retraite pourrait être judicieux.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Will Smith et Martin Lawrence cabotinent à mort dans le nouvel opus de la saga policière délirante.
Ecran Large
Un blockbuster fainéant et franchement triste, à l’image du jeunisme embarrassant de Will Smith et Martin Lawrence.
L'Obs
Il y a certes des bagarres démentes (...) Mais c’est bien le moins. Le tout ressemble à un jeu vidéo hyper violent et les morts y ont aussi peu d’importance (puisque ce sont des vilains).
Le Dauphiné Libéré
Su pur divertissement bourrin et assumé.
Le Figaro
Le programme ne change pas : cascades spectaculaires et blagues en dessous de la ceinture. Fatigant pour les yeux et les oreilles, reposant pour le cerveau.
Le Journal du Geek
Oui, les acteurs ont pris de l’âge. C’est naturel et personne ne viendra leur reprocher. Mais ils représentent ce qu’est ce Bad Boys Ride or Die, un film ayant pris son tarif senior où tout le monde semble fatigué et ils en deviennent fatigants.
Sud Ouest
Pour le meilleur et pour le pire, ce Bad Boys 4 nous fait donc retraverser le temps. À force de trop appuyer ses intentions, d’accentuer les gueules patibulaires des vilains de service ou de multiplier les poncifs, on a l’impression que le film a été tourné trente ans en arrière. De toute évidence, la saga a besoin de sang neuf pour espérer se renouveler.
Télérama
Les quinquagénaires Will Smith et Martin Lawrence font le minimum syndical dans cette histoire de ripoux en Floride. Hormis de rares surprises, ce quatrième opus de la franchise ne convainc pas.
Les Inrockuptibles
On ne voit plus dans Bad Boys qu’une beauferie sans génie, et un formalisme qui fait désormais l’effet d’un cache-misère.