Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
C’est à la fois l’histoire troublante d’une différence et d’un couple mère-fille, fusionnel et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Un bien joli portrait, et un premier film réussi.
Télérama
par Cécile Mury
Sa performance, poétique, exalte une héroïne que le film refuse d'enfermer dans les limites de son handicap.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Avec un sens patent de la mélancolie, Nitzan Gilady cultive une ambiance irréelle où le handicap se heurte à la réalité du rejet, et octroie une douceur certaine à ce drame de femmes dans lequel on aime aisément se lover.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Ophélie Wiel
"Wedding Doll" est un film charmant, touchant même, qui doit beaucoup à sa radieuse interprète principale.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Sandra Benedetti
La ville israélienne où se situe l'action du film n'est qu'une entaille dans le désert, aussi isolée que la délicieuse Hagit aux songes immaculés. Le réalisateur sait capturer leurs beautés. Et leurs solitudes.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Un sujet délicat que, pour son premier film, le documentariste Nitzan Gilady traite avec une grande délicatesse. L’émotion et l’humour y sont contenus, l’image colorée et minérale (le désert du Néguev) évoque la magie des contes, et, dans le rôle de la jolie innocente aux mains pleines que le cinéaste filme bord cadre, Moran Rosenblatt est remarquable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Laurent Djian
Avec les rouleaux récupérés dans la fabrique de papier toilette où elle travaille, Hagit, handicapée mentale, crée des poupées qui racontent ses rêves d'indépendance et d'amour. Le film épouse sa naïveté émerveillée mais force un peu sur la bizarrerie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Cette relation verrouillée n’inspire que des péripéties plutôt prévisibles. Pourtant, au détour de ces situations sur le fil du drame et de la comédie, avec des acteurs investis et dans un décor minéral fascinant au cœur du Néguev, on se laisse volontiers surprendre par ce petit monde décalé.
Première
par François Léger
Un film humain, avant tout.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Une fable sensible, mais qui reste trop éloignée de son sujet.
Bande à part
C’est à la fois l’histoire troublante d’une différence et d’un couple mère-fille, fusionnel et bouleversant.
Les Fiches du Cinéma
Un bien joli portrait, et un premier film réussi.
Télérama
Sa performance, poétique, exalte une héroïne que le film refuse d'enfermer dans les limites de son handicap.
aVoir-aLire.com
Avec un sens patent de la mélancolie, Nitzan Gilady cultive une ambiance irréelle où le handicap se heurte à la réalité du rejet, et octroie une douceur certaine à ce drame de femmes dans lequel on aime aisément se lover.
Critikat.com
"Wedding Doll" est un film charmant, touchant même, qui doit beaucoup à sa radieuse interprète principale.
L'Express
La ville israélienne où se situe l'action du film n'est qu'une entaille dans le désert, aussi isolée que la délicieuse Hagit aux songes immaculés. Le réalisateur sait capturer leurs beautés. Et leurs solitudes.
L'Obs
Un sujet délicat que, pour son premier film, le documentariste Nitzan Gilady traite avec une grande délicatesse. L’émotion et l’humour y sont contenus, l’image colorée et minérale (le désert du Néguev) évoque la magie des contes, et, dans le rôle de la jolie innocente aux mains pleines que le cinéaste filme bord cadre, Moran Rosenblatt est remarquable.
Le Figaro
Avec les rouleaux récupérés dans la fabrique de papier toilette où elle travaille, Hagit, handicapée mentale, crée des poupées qui racontent ses rêves d'indépendance et d'amour. Le film épouse sa naïveté émerveillée mais force un peu sur la bizarrerie.
Le Journal du Dimanche
Cette relation verrouillée n’inspire que des péripéties plutôt prévisibles. Pourtant, au détour de ces situations sur le fil du drame et de la comédie, avec des acteurs investis et dans un décor minéral fascinant au cœur du Néguev, on se laisse volontiers surprendre par ce petit monde décalé.
Première
Un film humain, avant tout.
Studio Ciné Live
Une fable sensible, mais qui reste trop éloignée de son sujet.