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    Metropolis
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    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 773 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 décembre 2019
    Voilà un monument historique, qui accuse son âge malgré les restaurations, et qui resplendit cependant d'une stupéfiante modernité. Les scènes de foule sont monumentales, aussi saisissantes dans la marche au pas cadencé pour aller dans les ateliers que dans les agrégations d'enfants apeurés par la montée des eaux. On revoit la mécanique des Temps modernes de Chaplin, mais sans aucun sourire. Les portes immenses de la ville futuriste ou la beauté des corps aryens avaient de quoi plaire aux nazis, mais Lang délivre un message de réconciliation lors d'une scène finale poignante illustrant l'adage "entre le cerveau et les mains, le médiateur c'est le cœur". Quelle pertinence par rapport aux rapports sociaux d'aujourd'hui (grève des cheminots)! Au-delà de l'intrigue amoureuse entre Maria et Feder, plus convenue- malgré l'irruption du double maléfique de la jeune femme-, ce qui restera est ici une création visuelle de tous les instants, du bucher improvisé aux machines à vapeur en passant par les autoroutes en surplomb. Métropolis allie harmonieusement les références bibliques, l'analyse sociale des différences de classes et les extrapolations de la science-fiction. On peut trouver des rides à cette superproduction, mais on ne risque pas d'oublier l'originalité de ses images. La séance était remarquablement accompagnée au piano par Didier Martel, nous oubliâmes rapidement qu'il jouait en live. Ciné-concert Institut Lumière décembre 2019
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 365 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 février 2019
    Inscrit au registre Mémoire du Monde de l’Unesco, « Metropolis » est l’un des plus grands films de tous les temps. Véritable fiasco à sa sortie en 1927, le film a été raccourci et remanié plusieurs fois. Désormais présenté dans sa version originale, longue et restaurée, « Metropolis » est plus compréhensible et prouve sa qualité de chef d’œuvre. Le film muet et noir et blanc est réalisé par Fritz Lang a qui l’on doit déjà les grandes fresques « Docteur Mabuse le joueur » et « Les Nibelungen ». Il nous plonge dans la magnifique mégapole futuriste « Metropolis ». Nous sommes en 2026 et les ouvriers doivent travailler douloureusement dans les profondeurs de la ville pour assurer le bonheur des riches. Au moindre faux pas, une grande machine les avale dans les profondeurs de l’enfer. En effet, la religion est omniprésente et le personnage de Maria apparaît comme la vierge symbole de renouveau et d’espoir. Mais le film représente également le capitalisme et ses dirigeants qui se font dictateurs. C’est alors qu’une fausse Maria va déclencher une révolte. La rage des ouvriers menaçant de détruire la machine centrale aura des répercussions sur ceux qui se prélassent en haut. Les effets spéciaux sont incroyables puisque les gratte-ciels sont un mélange de maquettes réduites et faux décors. Au-delà de la mise en scène Fritz Lang démontre aussi son talent à rendre son intrigue haletante où chaque spectateur y verra sa propre interprétation.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Eselce
    Eselce

    1 396 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 janvier 2016
    Extraordinaire, comme film. D'un point de vue cinématographique, surtout. Les plans sont géniaux, les acteurs jouent à la perfection, l'histoire est là et les décors et effets spéciaux sont impressionnants. La société utopique que le film dépeint rappelle clairement Babel, la cité biblique auquelle le film fait allusion. La rébellion de la société ouvrière d'en bas contre la société d'en haut... Les mains, le cerveau, le médiateur... Je l'ai trouvé magnifique, même s'il est sans doute un brin long à regarder aujourd'hui. C'est un plaisir d’innovation cinématographique sur lequel nombre de réalisateur peut d'appuyer. Bien sympa de voir les ancêtres d'il y a près de 100 ans leur vision de la société humaine.
    Hotinhere
    Hotinhere

    555 abonnés 4 963 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2013
    Une œuvre incontournable de Fritz Lang qu’il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie. Le premier film de science-fiction à grand spectacle de l’histoire avec ses immenses décors et ses milliers de figurants. En plus d’être une réflexion sur la place de l'homme dans la société, Metropolis est une œuvre visionnaire pour sa vision anticipée du nazisme.
    Santu2b
    Santu2b

    251 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 octobre 2014
    Lorsqu'on écoute les gens évoquer "Metropolis", on a l'impression d'assister à la répétition d'une même litanie : "précurseur du nazisme", "témoin des angoisses d'une époque" etc. Ce genre de lieu commun pas faux pour autant est cependant devenu un automatisme quand on cite le film et toute l'oeuvre de Fritz Lang. Pourtant, "Metropolis", c'est avant tout un film titanesque, d'abord dans le sens premier du terme ; presque un an de tournage, plusieurs centaines de milliers de kilomètres de pellicule ou encore des dizaine de milliers de figurants. La visite de New York trois ans plus tôt et la vue éblouie des gratte-ciels lui aura permis de mûrir le dense et incroyable imaginaire urbain qu'il développe, qui deviendra un lieu commun absolu du film de science-fiction. Il convient là aussi de rendre hommage au grand architecte du cinéma Albert Speer. Le cinéaste, aux confins du fantastique, de l'épouvante et de la SF regorge de trouvailles techniques d'une grande inventivité. Comment oublier le visage de l’androïde ou encore le rêve fantasmagorique qu'effectue Freder au milieu du film ? Le tout au service d'un fond extrêmement riche sur les plans politique et idéologique. L'interprétation est quant à elle grandiose particulièrement la grande Brigitte Helm, inoubliable dans le rôle de l'ange et du démon. Dans le domaine, on a rarement trouvé plus influent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 décembre 2012
    Un grand pas pour la technique et le 7ème art. Avant la guerre des étoiles, les premiers grands pas de la S-F était là ; Bien évidemment il y a des faiblesses de rythme, et l’œuvre est si particulière qu'elle peut rebuter, néanmoins pour qui s'intéresse au cinéma, à ses fondements, à ses révolutions organiques et aussi pour l'impact de l'Histoire sur le cinéma et inversement, c'est une référence. Un classique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 mai 2017
    Ca y est, voilà quelque chose de fait : j’ai vu « Metropolis ». Mais quelle claque… quelle claque ! L’une des meilleures de 2017, si ce n’est la meilleure. Totalement incritiquable, « Metropolis » va passer sous ma très jeune plume, qui j’espère, saura se faire apprécier. Mais par où commencer tellement cette œuvre parfaite, premier film classé parmi les documentaires de patrimoine mondial par l’UNESCO, ne peut échapper à mon engouement et ma vision du cinéma de Lang, et plus particulièrement au cinéma en général ? Cette perfection, on la voit dès le début du générique jusqu’à l’apparition de « The end ». De plus, Fritz Lang, réputé cinéaste travailleur et infatigable (les six cent vingt kilomètres de pellicules utilisés et les neuf mois de tournage ne vont pas dire le contraire !!), maîtrise son sujet et n’en est pas à sa première réalisation. Avant « Metropolis », son onzième long-métrage, d’autres projets de grande envergure (« Les trois lumières », « Docteur Mabuse, le joueur » ou « Les Nibelungen ») sont passés entre ses mains. En 1927, pour les besoins de « Metropolis », trente millions d’euros (d’époque !) sont mis sur la table par la société UFA (principale production allemande). Echec critique et commercial à sa sortie, le film mena la société de production au bord de la faillite. Monsieur Lang, oups !
    Pour la version de 2011 que j’ai vue (je me trompe peut être sur la date), la rénovation de certaines images perdues sont insérées dans le film en des zébrures horizontales contenant des coupes partielles dans le montage. Tout d’abord, vous l’avez compris, « Metropolis » a subi de nombreux travaux de restauration. Dans l’histoire du cinéma, aucun métrage n’a subi autant de transformations que « Metropolis » (!). Le film du cinéaste, qui avait nécessité deux ans de travail pour toutes ces raisons, peut se targuer d’être l’un des premiers blockbusters de l’histoire du cinéma, avec les Méliès, autre artisan du genre (« Le voyage dans la Lune », « Le chevalier mystère »…). Premier point important pour ancrer un film dans la mémoire du cinéma. Bravo Monsieur le réalisateur.
    Mais concentrons-nous un peu plus sur « Metropolis » mis en scène par un maître de cinéma, Fritz Lang.
    Synopsis : en 2026, dans une cité souterraine, des ouvriers travaillent pour le bonheur des nantis vivant dans les jardins suspendus de la ville. Menés par une androïde, les ouvriers se révoltent… .
    Thea von Harbou adapte le roman qu’elle avait écrit grâce à son mari Fritz Lang, également scénariste. Sur un fond de science-fiction (dont les codes vont ensuite être repris par Ridley Scott, Verhoeven, Proyas, Spielberg…), maître Lang en profite pour donner une autre dimension au métrage. Conteur hors-pair, le futur réalisateur de « M le maudit » transpose une romance interdite (tragédie), travaille le thème de la religion (toujours d’actualité encore aujourd’hui), de la différence des classes entre bourgeois et ouvriers (également enjeu actuel de notre société moderne) tandis que Madame Harbou, ayant déjà des penchants pour le parti nazi, porte son adaptation sur les prémices de la Seconde Guerre Mondiale. Malgré les différents de Thea et Fritz pour l’écriture du film et pour le visionnage qu’a effectué maître Lang se disant non satisfait de l’histoire adaptée de sa femme, on ne peut que se mettre à genou pour féliciter le travail de précision et d’orfèvre de par la qualité exceptionnelle du scénario, des personnages modernes (à l’image du concepteur de la ville) et des dialogues. Bravo ! A noter que le couple a accouché de quelques métrages dont « Les trois lumières » et « Les espions » avant que Lang ne parte s’exiler à Hollywood.
    Et ici, ce n’est pas que le scénario qui est parfaitement maîtrisé. La direction d’acteurs (certes théâtralisée à souhait), les effets spéciaux (décors, costumes), la musique, le noir et blanc…, tout est méticuleusement préparé, travaillé et mis en scène.
    Concernant les effets spéciaux, on touche au mythe Lang car l’innovation est de partie. L'équipe a dû inventer de nombreux effets spéciaux. C'est le chef opérateur Eugène Schüfftan (il travaillera pour Carné, Franju), expert et véritable pionnier, qui mit au point un procédé jouant sur les miroirs (l’effet Schüfftan, invention reprise par Sir Alfred dans « Chantage » sorti en 1929, puis par d’autres Harryhausen par la suite) et réalisa des miniatures de la ville parmi d’autres effets. Totalement subjuguant !!
    Toujours en parlant d’effets, la chef costumière Aenne Willkomm (également collaboratrice sur « Les Nibelungen ») a dû créer deux costumes différents pour le double-rôle de Brigitte Helm (alors débutante !). Un pour le rôle de Maria, l’autre pour le robot. Un travail extravagant pour une classe indéniable. Robocop peut aller se rhabiller !
    Les décors également sont réalistes, tout comme l’ensemble des compartiments dans lesquels se passent l’histoire emmené par le génialissime Lang. Et même s’ils sont simples aujourd’hui et que le metteur en scène a dû faire des compromis, jamais l’essence du scénario ou des personnages n’altèrent le découpage en noir et blanc et donc de la mise en scène de certains de ces décors. L’artiste Lang n’en a que faire et arrive même à se hisser au-dessus de cela grâce aux autres qualités de ce métrage.
    Une de ces très grandes qualités, c’est bien sûr la musique fracassante, exaltante et frissonnante de Gottfried Huppertz (compositeur pour « Les Nibelungen »), perdue au fil des restaurations puis retrouvé, incessante mais néanmoins toujours utilisé pour mettre en relief l’histoire. Dramatique, enivrante, nerveuse et donc forcément lancinante et mirobolante, elle est le fil conducteur de « Metropolis ». Le la est donné. Tous mes chapeaux !!, Monsieur le compositeur.
    Et pour parler casting, c’est du plus-que-parfait. Maître Lang s’amuse à nous jouer sa partition, car s’il ne faut retenir qu’un acteur, la tâche est complexe étant donné la facette complète des talents (certains débutants d’ailleurs !, d’autres, ami du réalisateur) qui s’ajoutent afin d’emballer ce film. On touche aussi le mythe ici. Brigitte Helm avec son interprétation miséricordieuse et robotique, Rudolf Klein-Rogge, maniaque et allumé est excellent dans son rôle d’inventeur, Heinrich George en surveillant de machine est juste dans sa bonhomie, Alfred Abel charismatique comme il se doit pour son personnage de chef de la ville, Gustav Fröhlich parfait dans le rôle du médiateur… . Tous les talents se conjuguent pour se mettre au service du métrage, languien.
    « Metropolis » (1927) est donc avant tout un chef d’œuvre mitonné par un maître, Fritz Lang. Film d’auteur également car concocté par une famille d’artiste (Lang, von Harbou, l’ami Klein-Rogge) et de collaborateurs proches (compositeur, costumière, acteurs). Classique parmi les classiques, ce monument languien du septième art ne se renie pas et se doit d’être vu par tous et pour tout cinéphile que nous sommes.
    Spectateurs, attention : « Metropolis » vous rendra …muet !
    konika0
    konika0

    27 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 septembre 2017
    En 1927 sort Metropolis de Fritz Lang. Un film de son temps autant qu’un film du futur. La science fiction au cinéma n’est pas née avec ce film puisque qu’un certain Georges Méliès s’y était déjà essayé avec brio en 1902 mais Metropolis dictera les codes de ce que sera la SF à l’avenir. Si Metropolis étonne, c’est surtout par sa démesure : 350 heures de rush, 25.000 acteurs et figurants, des maquettes à taille humaine, de l’animation image par image, du feu et de l’eau. Sur la forme, Metropolis inspirera Chaplin pour ses Temps Modernes et donnera le ton au Soleil Vert de Richard Fleischer autant qu’à Matrix et le 5ème Élément. Le thème interpelle également. La déshumanisation de la condition ouvrière est représentée par ces travailleurs marchant au ralenti, le pas saccadé tels de bons petits soldats courbant l’échine. On parlera d’ailleurs d’expressionnisme social pour évoquer ce film. Pour autant, le propos fait débat depuis toujours. À la lutte des classes le film préfère une classe ouvrière docile qui doit attendre le messie qui saura réconcilier le patronat et les laborieux. La rébellion est ici synonyme de chaos et se voit provoquée par le démon. On reprochera au film un ton favorable au nazisme à venir. Metropolis sera d’ailleurs un film de chevet d’Hitler et Goebbels. Reste qu’il s’agit là d’une pièce maîtresse de l’histoire du 7ème art et que le réalisateur a maintes fois crié son opposition au régime nazi. Petit conseil en passant, choisissez bien votre version. Le film a connu bien des péripéties et le film entier est aujourd’hui introuvable. Pour profiter convenablement de ce chef d’œuvre absolu, je vous conseille la version restaurée de 2010 qui dure 2h30.
    ASSRANCETOURIX
    ASSRANCETOURIX

    21 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 décembre 2021
    Classique des classiques, un des nombreux chef d'oeuvres de Fritz Lang, un eesthétique d'époque époustouflante.histoire un peu alambiquée.
    pelu
    pelu

    17 abonnés 1 074 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 février 2017
    Le genre de film qu il est trop difficile à visionner aujourd hui er ou l impact n est plus le même car il était actuel et critique de son époque.
    La cuis' du prolétariat de la lutte des classes la disparité riche pauvres la révolution industrielles l'homme machine le travail à la chaîne, la religion et la folie de l homme.... Et surtout si on y rajoute une société codifié , fliqué il ne faut pas oublier que le nazi arrive par la suite.... L œuvre est totalement d époque et décrit avec grand brio ce moment , au travers de ce duo qui débat pour le peuple sur fond d amour et de décor à l ambiance totalement SF !! Et pour les années 30 chapeaux !!! Malheureusement le film est d un autre temps et l ennui arrive vite , le fait qu il n y est aucun dialogue accentue cela et il faut le dire même l action en général est ridicule et dépasse...... Heureux d avoir vu ce film qui a marqué le septième art mais malheureusement seul son idéologie survit.
    Redzing
    Redzing

    1 120 abonnés 4 471 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mars 2012
    "Metropolis" fut critiqué lors de sa sortie, notamment par H.G. Wells qui trouvait le film trop simplet, et à cause de son propos politique ambigu (la femme de Lang, scénariste, rejoindra le parti nazi peu après). Mais quoi qu'on en pense, il reste une œuvre fondatrice de la SF, qui en inspirera bien d'autres ("Blade Runner", "Star Wars", "Dark City", etc.). Certes, l'univers et le scénario correspondent plus à une vue d'artiste caricaturée qu'à une dystopie réaliste. Mais le mariage entre expressionnisme allemand et science fiction, tout simplement magique, nous offre de très belles scènes, sublimées par des décors magnifiques. La BO est également une grande réussite, soutenant parfaitement l'action. En outre, la topique du rapport homme/machine qui s'inverse (l'homme au service de la machine), souvent reprise au cinéma, était visionnaire à l'époque. Un incontournable.
    Fabien S.
    Fabien S.

    548 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 novembre 2020
    Un chef d'oeuvre du cinéma allemand . Un très beau film de science-fiction sur l'arrivée du totalitarisme.
    Parkko
    Parkko

    160 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2012
    J'ai vu ce film dans des conditions privilégiées : au cinéma avec un pianiste pour accompagner le film. Il est possible que si je l'avais regardé sur ma télé, sans son, cela n'aurait pas eu le même effet. Mais sinon j'ai vraiment beaucoup aimé le film. C'est le troisième Fritz Lang que je vois et c'est sans conteste mon préféré du réalisateur. Déjà en tant qu'objet cinématographique je le trouve vraiment intéressant avec une audace de chaque instant en terme de mise en scène, avec une grande virtuosité, une grande énergie. En tant que produit historique je le trouve également très intéressant étant donné qu'on peut déjà y voir la montée du totalitarisme et du fascisme, un peu comme dans M le Maudit. Bref, un très bon film.
    Grouchy
    Grouchy

    123 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2012
    Film à la direction artistique incroyable qui influenca d'autres films comme Batman dans ses décors ( ainsi que l'affrontement final dans la cathédrale ). L'histoire est tout de même un signe prémonitoire de la prochaine dictature que subira l'Allemagne. Tout l'ensemble fait penser à un opéra mémorable. Lang a réalisé le plus beau film futuriste du muet.
    Alolfer
    Alolfer

    127 abonnés 1 149 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 avril 2024
    Chef d'oeuvre ! J'ai pas d'autres mots qui me viennent à l'esprit... Fritz Lang a réalisé le meilleur film de SF du Cinéma, objectivement ! C'est somptueux durant 2h30,où on s'ennuie pas une seconde. Scénaristiquement c'est fabuleux, avec un sous-texte brillant. Le message du film est très réel en 2024 ! Une mise en scène parfaite ! et que dire de ces effets "visuelles" pour l'époque ! Chef d'oeuvre !
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