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    Metropolis
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    teofoot29
    teofoot29

    86 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 février 2010
    Le sommet incontestable du cinéma allemand, et la base de tous les films de sciences fiction et à grand spectacle comme ceux de Emmerich (sauf qu'ils sont nuls) ou de James Cameron.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 février 2010
    Pilier de la science-fiction, ce film est une pûre merveille, la musique, la réalisation, les effets spéciaux ... magistral !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 juillet 2010
    Je suis tout à fait d'accord avec jimi_page sur tout ce qu'il dit et surtout sur le côté moralisateur (voilà comme ça j'aurai pas à le répéter). Si je dois ajouter quelque chose, c'est que à défaut de traiter réellement de science fiction ou de politique fiction le film se base beaucoup plus sur le symbolique, comme si les décors et ce monde imaginaire importaient peu. C'est vraiment très très bien fait mais pour le public s-f du 21è siècle c'est un peu frustrant de voir de la s-f qui n'en est pas, il n'y a pas de vraie démarche d'inscrire l'histoire dans un univers crédible. J'ai mis une étoile parce que c'est tout de même un bon film assez intéressant avec de très bonnes idées, mais si vous voulez du Metropolis comme ce que le nom évoque, il faut voir le film d'animation (du même nom) de Rintaro et Ôtomo tiré du manga de Osamu Tezuka, ça c'est de la grande s-f (et de la grande animation au passage).
    Jean G.
    Jean G.

    48 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 novembre 2012
    Voilà un très mauvais film qui fait honte au cinéma. Je m'attendais à voir un grand film j'ai été particulièrement déçu. On m'avait dit que ce film de 1927 avait une vision du monde qui trouvait encore écho de nos jours, ce n'est pas du tout le cas. Fritz Lang (réalisateur médiocre par de nombreux films) signe ici un des pires navets que le cinéma à engendrer. La réalisation catastrophique ne rattrape pas le scénario ridicule et indigeste. Je n'ai qu'un seul conseil à donner aux cinéphiles : ne regarder surtout pas cette insulte faite au cinéma. Il ne faut pas prêter attention aux incultes qui considère ce film comme un chef d'oeuvre.
    moonboots
    moonboots

    58 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juillet 2009
    Metropolis est un film toujours aussi étonnant. Aux dernières nouvelles on a retrouvé la version intégrale de plus de 3 heures.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 février 2010
    Un chef d'oeuvre absolu de l'expressionisme allemand.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 août 2014
    A l'ère du numérique, Metropolis ne peut profiter que d'un regain d'intérêt vue la difficulté et le travail colossal qu'il a nécessité. C'est comme admirer une antiquité inestimable, surtout quand on considère le temps qu'il a fallu pour le restaurer. Dans sa version intégrale, le film n'a jamais été aussi beau et clair de sens.
    bendar
    bendar

    11 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 mai 2012
    Visuellement excellent mais alors idéologiquement douteux. Fritz Lang lui-même en parle très bien : "Quand j'ai terminé Métropolis, je n'ai pas du tout aimé le résultat. Certaines choses étaient traitées de façon trop simpliste. Par exemple, cette idée-force du film écrit par Mme Von Harbou, ma femme à l'époque, selon laquelle le médiateur entre la main et le cerveau, le capital et l'ouvrier, était le coeur. on ne résout pas ainsi un problème social." A noter que son ex-femme a déjà des penchants Nazi lors de l'écriture du livre et du film en 27 et qu'elle adhère au Parti Nazi en 40 ! Et ça transpire dans le film : spoiler: la "gentil Maria" apprend à la masse laborieuse à ne pas se révolter et a attendre qu'une apparition divine les sauve. Tandis que la "Maria diabolique" amène le peuple à se révolter ce qui arrête les machines. Ce qui inonde la cité-souterraine avec leurs enfants, pendant que les parents indignent dansent de joie. Le peuple est décidément dans ce film incapable de prendre une bonne décision puisqu'il s'apprête -après s'être aperçu qu'il s'était fait avoir par la "méchante Maria"- à brûler la "bonne Maria".
    Voilà le niveau lamentable du scénario de ce sois disant chef-d'oeuvre. Heureusement, il lui reste tout de même son esthétisme signé Fritz Lang.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 juin 2012
    Attiré vers ce film par son aura et par les critiques positives qu'il a soulevé, je dois dire que j'ai été extrêmement déçu. Par le scénario, d'une pauvreté et d'une paresse parfois accablantes, mais également par le charisme de la plupart des persos, si le "cerveau" de Metropolis et Maria crèvent l'écran, l'espion, le fils et surtout Rotwang sont pitoyables, bien sûr, c'est muet, alors tout le monde surjoue ; mais on en arrive à un pathétique parfois comique. Culte évidemment grâce à son design souvent intelligent et attrayant, ainsi que par son avant-gardisme ; ce film est une vision étonnante, voire impressionnante; Néanmoins, à mon grand désarroi je n'y ai vu qu'un blockbuster, qui parce-qu'on est en 1927 a fait un gros flop...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 juillet 2010
    Contrairement à ce que je pensais ,Metropolis cherche plus à être un divertissement qu'une chef d'œuvre artistique. J'emploie pas le terme de divertissement de manière péjorative, c'est surtout pour introduire une nuance aux critiques qui en font un monument artistique et qui placent Metropolis comme un film réservé à une élite, alors qu'il est ultra accessible.
    Bon je dois avouer que j'ai pu voir que la version de deux heures, alors que le film à la base est censé durer 3h30, et que forcément ça a du influencer.
    Toujours est-il que, et beaucoup l'ont soulignés , Metropolis présente un intérêt rétrospectif évident . Il a influencé et orienté bon nombres d'œuvres, tant dans la construction du scénario, dans les idées, dans les archétypes et figures, dans les personnages,dans la mise en scène et le design, et même dans la musique. Mais outre l'intérêt de cette influence, il faut souligner que tous ses aspects servent d'abord au récit, et permet de le comprendre de façon quasi intuitive . Fritz Lang a du bosser sacrément dur pour trouver une telle inspiration , aujourd'hui fédératrice.
    Au niveau des figures,on a notamment la créature et son créateur, la figure paternelle oppressante,le héros jeune et naïf et élu, le double maléfique, le mélange entre rêve et réalité,les deux couches de la société, une conscience un peu marxiste avec des classes polarisés en deux groupes ,riches et pauvres, et l'exploitation de ces derniers par des démagogures rompus à l'art de la rhétorique.
    Il est intéressant de noter d'ailleurs la morale de l'histoire, très éloigné d'un marxisme où la classe ouvrière doit prendre le pouvoir par la force.Fritz Lang préconiserait avec une certaine naïveté une réconciliation du peuple.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Fritz Lang est un visionnaire...Je ne savais pas à quoi m'attendre en regardant ce film, et bien je me suis régalé! Metropolis est une référence qui donne à réfléchir...Surprenant et génial...
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 2 001 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 octobre 2019
    Accordons-nous sur la réussite technique et la pertinence de la réflexion de science-fiction ainsi que l'ambition esthétique (car nous sommes en 1927). De même, prenons conscience de la faiblesse psychologique des personnages ainsi que des ressorts ténus de l'intrigue (même en 1927). Enfin, d'un point de vue personnel, cet impressionnisme théâtralement interprété et ce symbolisme lourdement appuyé auquel s'ajoute une narration pesante m'ont lassée. Une curiosité.
    darthbebel
    darthbebel

    25 abonnés 636 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 novembre 2011
    Voilà un film qui manquait à ma culture et que j'avais très envie de découvrir depuis vraiment longtemps. Quel plaisir cette reprise de plus en version 'complète' et restaurée (autant que possible).... mais quelle déception par le film!! c'est mauvais... Ennuyeux, naif et sentencieux, sans charme, lourd... Le montage est lourd et redondant, on repasse les mêmes scènes encore et encore, pas par effet (ou alors effet d'ennuie), juste on a l'impression que le réalisateur craignait qu'on ne comprenne pas... ou qu'il voulait montrer à l'écran tout ce qu'il avait filmé et qui lui a couté cher (je pense notamment à la catastrophe finale), comme un banal blockbuster de maintenant le ferait. Ce qui est réussi à mes yeux : les décors, la musique la plupart du temps (le look du robot peut-être si je ne l'avais pas déjà vu en photo des centaines de fois...). Très très déçu. Regardez-le en oubliant que c'est un "chef d'oeuvre du patrimoine" et vous comprendrez ma critique.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 201 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 octobre 2011
    Plus grand film muet de tous les temps, le long-métrage de Fritz Lang (M le Maudit - 1931) promettait des images impressionnantes, tant au niveau technique que visuelle, autant dire que Metropolis (1927) ne déçoit pas de ce côté là.
    Des prouesses énormes pour un film de ce genre et surtout pour l’époque où il a été tourné. Milieu des années 20, le film trop novateur fait un bide, c’est bien plus tard qu’il rencontrera le succès (après la Seconde Guerre Mondiale).
    Fritz Lang marque les esprits, que ce soit par ses SFX novateurs et révolutionnaires ou ses épatants gros plans sur les visages des comédiens et comédiennes.
    A la fois magique et envoûtant !
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    268 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 septembre 2013
    Une oeuvre titanesque, époustouflante sur le plan cinématographique, mais idéologiquement confuse et ambiguë.
    D'un point de vue formel, la réussite est immense. Architecte de formation, Fritz Lang a développé un imaginaire urbain visionnaire, s'inspirant de ses souvenirs new-yorkais, lorsqu'il contempla pour la première fois les gratte-ciel de Manhattan, en 1924. Le réalisateur a été bien aidé dans la réalisation des décors par Otto Hunte, l'un des architectes de cinéma les plus importants des années 1920-1930. Cette esthétique urbaine aura une influence considérable sur la SF au cinéma. Il suffit de revoir Blade Runner pour s'en persuader. Par ailleurs, les effets spéciaux (animation, surimpression...) révèlent une grande inventivité, sous la houlette d'Eugène Schüfftan. Quant à la mise en scène, elle est grandiose, exploitant parfaitement des décors démesurés et gérant des milliers de figurants. Le montage, rythmé, et la partition musicale d'origine, enlevée, contribuent aussi à la puissance narrative du film, à son souffle épique.
    Sur le fond, en revanche, on reste un peu perplexe. Le scénario est un pot pourri de thématiques politiques, sociales, mystiques, dont on peine à déterminer la ligne directrice. La critique d'un État despotique ne s'affranchit pas vraiment de l'idéalisation d'une certaine élite pure (aryenne ?), à travers le personnage de Freder, tout auréolé d'une dimension messianique. Il y a également une critique du capitalisme et de l'industrialisation à outrance, une mise en images de l'aliénation du peuple par le travail, par la machine (dévoreuse d'hommes), qui débouche sur une lutte des classes et une révolution (au son d'une Marseillaise revisitée !). Mais la foule, qui se libère de ses chaînes, est aussi présentée comme une masse bête et manipulable. Et prompte à pardonner... On n'est pas chez Eisenstein. La scène finale, empreinte d'un idéalisme douteux, montre la réconciliation entre le tyran et le peuple exploité, appuyée par une phrase leitmotiv : "Le coeur doit être le médiateur entre le cerveau et la main." Cette fin, très conservatrice, a été reniée par Fritz Lang quelque temps plus tard.
    Côté religieux, Metropolis fait référence au christianisme primitif, évoque le mythe de Babel, parle de l'Apocalypse pour détruire un monde décadent, et finit par présenter la foi comme le ciment social.
    Côté SF, on croise un savant hirsute et démiurge, cousin de Frankenstein, qui donne vie à une créature, femme pantin au service de mauvaises intentions.
    Derrière ce mélange hétéroclite, il y a quelques éléments qui font écho à la montée du nationalisme en Allemagne et préfigurent même le nazisme. Les images des ouvriers marchant au pas, en rang, enchaînés, font froid dans le dos, annonçant les futurs camps de concentration...
    À sa sortie, en janvier 1927, Metropolis fut un échec, malgré les moyens déployés et l'association des talents. Le public n'a pas été sensible à cette politique-fiction futuriste ; la presse a critiqué la vision sociale véhiculée par le film, avec sa résolution naïve des antagonismes. S'affirmant comme le premier vrai long-métrage de science-fiction de l'histoire du cinéma, Metropolis n'a pas non plus convaincu les spécialistes du genre. H. G. Wells, notamment, n'y voyait qu'un tissu de sottises, clichés et platitudes. Luis Buñuel, quant à lui, trouvait le récit ampoulé et irritant, mais admirait la forme : "Quelle enthousiasmante symphonie du mouvement ! Comme chantent les machines au milieu d'admirables transparences, arc-de-triomphées par les décharges électriques ! Toutes les cristalleries du monde, décomposées romantiquement en reflets, sont arrivées à se nicher dans les canons modernes à l'écran. Les plus vifs scintillements des aciers, la succession rythmée de roues, de pistons, de formes mécaniques jamais créées, voilà une ode admirable, une poésie toute nouvelle pour nos yeux. La Physique et la Chimie se transforment par miracle en Rythmique. Pas le moindre moment statique !"
    En Allemagne, la reconnaissance viendra au début des années 1930, Hitler et Goebbels appréciant beaucoup ce film et proposant à Fritz Lang de prendre les rênes du cinéma germanique. Ce qui poussera le réalisateur à l'exil, au contraire de sa femme, Thea von Harbou, qui suivra la voie nazie. Écrivain et scénariste, Thea von Harbou est l'auteur du roman Metropolis qui a donné naissance au film. Enfin, à l'international, la reconnaissance cinématographique interviendra après la Seconde Guerre mondiale.
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