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Eowyn Cwper
124 abonnés
2 039 critiques
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2,5
Publiée le 19 novembre 2017
septiemeartetdemi.com - En 1983, deux films de James Bond sont sortis : l'un de la MGM avec Roger Moore (celui-ci, leur premier depuis la fusion de la compagnie avec United Artists) et un des Warner Brothers avec le retour de Sean Connery dans le rôle, obtenu à la suite d'un procès qui s'éternisait. Les deux ont bien marché mais il n'est pas bon d'instiller de la concurrence au sein d'une franchise, car cela accentue des aspects du film au détriment d'autres, histoire de se démarquer.
Pour Octopussy, c'est visiblement l'humour qui a été forcé jusqu'au ridicule, quand cela ne donnait pas par chance une autodérision rafraîchissante. Parfois on rit avec le film, et parfois on rit du film. Le réalisateur a aussi fait le choix de reprendre des éléments inutilisés prévus à l'origine pour Moonraker, un véritable patchwork lui-même qui a subi des transformations fatales à la suite du succès de Star Wars. Mais bon, comme d'habitude, c'est aussi une production à l'huile de coude. Pas de cascadeur décédé cette fois-ci comme sur le tournage de Rien que pour vos yeux, mais des os cassés, et pas forcément ceux des petites gens puisque Kristina Wayborn a souffert très littéralement d'une erreur d'accessoiriste. En résumé, cette compétition retardera la sortie de James Bond de sa médiocrité kitsch.
Anecdote amusante : un an après son célèbre rôle dans Blade Runner, Rutger Hauer a failli jouer le personnage d'Orlov. Par ailleurs, quand un des méchants est tué par la pieuvre qui est au centre de l'histoire, l'animal adopte la même "méthode" qu'une larve d'alien dans Alien (1979), un film également réalisé par Ridley Scott. Enseignement logique à en tirer : la série James Bond est le vampire du cinéma de l'époque, cherchant toujours à adopter le meilleur chez les autres réussites. Il est temps que la franchise gagne en unicité.
Bon James Bond. Certes, certaines scènes d'action font bande dessinée. Mais, je les apprécie sous cet angle. L'humour est au rendez-vous. Les cascades sont spectaculaires. Maud Adams est une très belle James Bond-girl. Et toujours la musique de John Barry.
J'avais le souvenir d'un de mes James Bond préféré et puis, au final, je m'aperçois que comme beaucoup, ils ont très mal vieillis. En plus de scènes d'action versant de plus en plus dans une surenchère complètement invraisemblable dont les trucages sont trop voyants (avec des raccords en gros plan sur l'acteur entre des plans larges avec cascadeur, le tout sur un décor qui sent trop le studio), un R. Moore certes désinvolte mais aussi parfois trop ridicule, une intrigue répétitive, parfois poussive et un ensemble moyen (même si cet épisode a moins de gadgets) avec son lot de relents machistes peu plaisant. Spectaculaire parfois mais vieillot et ringard. D'autres critiques sur
Un rayon de soleil dans la période Moore : plus mystérieux, mieux amené, quelques gags drôles parmi ceux (trop nombreux) qui peuplent le film, et enfin des scènes d'action plus energiques (Moore est encore jeune, c'est peut-être pour ça...). Bref, c'est pas mal du tout, mais malheureusement les choses se gatent au cours du dernier quart d'heure, et là ça devient de nouveau assez n'importe quoi...
Octopussy fourmille d'idées en plus des habituelles cascades. Une très belle tentative de retrouver le climat bon-enfant de 1973, 1974, 1977 et 1979, où les tribulations s'enchaînaient comme si tout allait de soi. La magie réopère à nouveau...
Chargé d’enquêter sur de la contrebande de bijoux, James Bond se retrouve propulsé au milieu d’un complot visant à raviver la guerre froide. L’intrigue est alambiquée et peu passionnante. Le réalisateur essaye de compenser cette faiblesse en rajoutant toujours plus d’action, de gadgets et d’humour lourdingue. L’ambiance s’en ressent fortement et on a parfois l’impression d’assister à une comédie et pas à un film d’espionnage (bagarre à coup de raquette, cri de Tarzan, costume de clown…). L’épisode qui s’oublie le plus vite après visionnage.
L'un des James Bond les plus connus en france du a sa frequente rediffusion a la télé! Ce james bond et toujours aussi bien ! Seul reproche l'actrice principal qui est celle qui est dans l'homme au pistolet d'or! Ce qui fait bizarre mais bon. Pour le reste c'est du vrai james bond et toujours aussi bon!!
Moyen cet opus malgré le casting principal qui ne change pas et le charme des James Bond Girl. Le scénario est un peu plat avec des répliques qui ne mordent pas,les scènes d'action ne sont pas si nombreuses tout comme pour les gadgets ou moyens de locomotion.Ce qui fait que l'on s'ennuie la moitié du film.La bande originale n'est pas terrible non plus. C'est loin d'être mon film préféré pour cette saga.
Une flopée de belles nanas recluses sur une île paradisiaque (fallait oser) faisant oublier quelques scènes saugrenues et des répliques souvent puériles d'un agent mollasson ....
A Moscou, le général Gogol doit faire face à spoiler: une nouvelle génération de bellicistes qui déshonorent les valeurs pour lesquelles leurs aînés se sont battus .
Ainsi, le général Orlov veut spoiler: retirer à l’Armée rouge son rôle de force de défense et de sécurité et en faire une armée d’invasion. Prétendant que les Occidentaux sont devenus décadents et faibles, il devient un militaire voyou qui s'associe à un riche homme d'affaires indien criminel pour faire exploser une arme nucléaire sur une base américaine en Allemagne de l'Ouest .
A Berlin, l'agent 009 spoiler: poursuivi et assassiné rend son dernier souffle à la résidence de l'ambassadeur britannique en laissant tomber un œuf de Fabergé . James Bond (Roger Moore) spoiler: traque les auteurs et les combat de l'Inde à l'Allemagne. Sur terre, sur rail et enfin dans les airs en coopérant avec la belle et mystérieuse Amazone, nommée Octopussy, et ses troupes entièrement féminines .
Maud Adams joue son deuxième rôle de James Bond girl – le rôle d'Octopussy après celui d'Andrea Anders dans “L'Homme au pistolet d'or” (1974).
Steven Berkoff incarne ici son premier rôle de méchant célèbre, le général Orlov, suivi de celui de Victor Maitland dans "Le Flic de Beverly Hills" (1984) et de celui du lieutenant-colonel Podovsky dans "Rambo : First Blood Part II" (1985).
John Glen réalise son deuxième Bond et John Barry revient composer la bande originale.
1983. L’année du grand duel entre Octopussy, le 007 officiel britannique, et Jamais plus jamais, le remake non officiel américain d’Opération Tonnerre. D’un côté, Roger Moore est présenté comme un jeune premier, cascadeur non doublé-non décoiffé et tombeur de ces dames alors qu’il est aussi âgé que Sean Connery qui, lui, est présenté comme un agent sur le retour et qui doit passer par une cure de remise en forme. Rien ne va plus lorsque 007 se grime en clown pour désamorcer une bombe nucléaire… A retenir l’assaut du repaire de Kamal Kahn par une armée de gymnastes sexy. Mais au bout du compte, je vote pour Sean Connery qui a beaucoup plus de prestance pour Roger Moore.
Beaucoup d'humour dans cet épisode mis en scène de manière très inégale par John Glen. Il est supérieur au précédant "Rien que pour vos yeux", mais loin de compter parmi les meilleurs : ni bon, ni mauvais : quelconque.