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Ce faux duel qui en est un vrai est chorégraphié, (...), une certaine force et beaucoup de subtilité. Je n'en veux pour preuve que le soin avec lequel Bernard Rapp a utilisé les timbres de voix, un atout dont les cinéastes usent en général assez peu ou mal.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Dans ce subtil jeu de miroirs et de manipulations, Bernard Giraudeau excelle avec un charme irrésistible en donnant à son personnage (...) une touche de fragilité et d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
(...) Bernard Rapp montre qu'il a retenu les leçons de sa première expérience. Il nous sert ici une cuisine nettement plus digeste et par ailleurs assez raffinée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
(...) on a envie de dire à Bernard Rapp d'oser davantage, de se laisser aller. Son film est par ailleurs bien fait, il n'y a rien à dire, le reste viendra forcément s'il prend garde de se laisser enfermer. On l'attend.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Faute d'audace, le film échoue à faire basculer cette histoire de fascination trouble dans ces marécages de l'inconscient où croupissent nos pensées les plus vénéneuses. C'est toute la différence avec The Servant, de Joseph Losey.
Scénario et sujet intéressants, film râté. Premier problème, une construction en alternance présent/flash-backs assez pesante et prévisible. Second problème, une mise en scène classique jusqu'à l'académisme (...)
(...) si Rapp est très à l'aise pour installer une atmosphère d'étrangeté élégante, il l'est moins dans la description du quotidien de ses autres personnages (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Bernard Rapp (...) se contente de filmer sagement des joutes oratoires un peu répétitives. Il n'est guère aidé par son scénario : les auteurs n'ont pas trouvé beaucoup d'idées de cinéma pour dire en images cette histoire très littéraire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
là où Bresson avait compris qu'une adaptation cinématographique devait trouver sa propre forme (...), Bernard Rapp se contente de mettre en images littéralement, littérairement une histoire qui l'intéresse, avec toute la fidélité frileuse d'un scénariste de "qualité française".
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cplanet.com
Une dérive humaine sur la fascination des identités. Qui se cherchent, se trouvent, puis se perdent dans de profonds abîmes… Une réussite.
L'Evénement
Thriller mental sur la perte d'identité, cette complexe et cruelle confrontation entre deux individus est passionnante.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Ce faux duel qui en est un vrai est chorégraphié, (...), une certaine force et beaucoup de subtilité. Je n'en veux pour preuve que le soin avec lequel Bernard Rapp a utilisé les timbres de voix, un atout dont les cinéastes usent en général assez peu ou mal.
Le Figaroscope
Dans ce subtil jeu de miroirs et de manipulations, Bernard Giraudeau excelle avec un charme irrésistible en donnant à son personnage (...) une touche de fragilité et d'humanité.
Le Parisien
(...) Bernard Rapp montre qu'il a retenu les leçons de sa première expérience. Il nous sert ici une cuisine nettement plus digeste et par ailleurs assez raffinée.
Les Echos
(...) une perle noire, troublante, plaisamment insolite dans notre production.
Libération
C'est un thriller psychologique dont tout le suspense et l'humour noir se concentre sur les mécanismes et l'ambiguïté d'une fascination perverse.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
(...) on a envie de dire à Bernard Rapp d'oser davantage, de se laisser aller. Son film est par ailleurs bien fait, il n'y a rien à dire, le reste viendra forcément s'il prend garde de se laisser enfermer. On l'attend.
Le Monde
Une affaire de goût est un film trop sage et trop lisse pour un sujet qui exigeait une incursion un peu plus aventureuse dans les profondeurs.
Lenouveaucinema.com
Faute d'audace, le film échoue à faire basculer cette histoire de fascination trouble dans ces marécages de l'inconscient où croupissent nos pensées les plus vénéneuses. C'est toute la différence avec The Servant, de Joseph Losey.
Les Inrockuptibles
Scénario et sujet intéressants, film râté. Premier problème, une construction en alternance présent/flash-backs assez pesante et prévisible. Second problème, une mise en scène classique jusqu'à l'académisme (...)
Première
(...) si Rapp est très à l'aise pour installer une atmosphère d'étrangeté élégante, il l'est moins dans la description du quotidien de ses autres personnages (...).
Télérama
Bernard Rapp (...) se contente de filmer sagement des joutes oratoires un peu répétitives. Il n'est guère aidé par son scénario : les auteurs n'ont pas trouvé beaucoup d'idées de cinéma pour dire en images cette histoire très littéraire.
Chronic'art.com
là où Bresson avait compris qu'une adaptation cinématographique devait trouver sa propre forme (...), Bernard Rapp se contente de mettre en images littéralement, littérairement une histoire qui l'intéresse, avec toute la fidélité frileuse d'un scénariste de "qualité française".