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    Lucy in the Sky
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    22 critiques spectateurs

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    RedArrow
    RedArrow

    1 663 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 avril 2020
    Aïe, la déception est au moins à la hauteur de tout l'enthousiasme que l'on pouvait avoir à l'idée de découvrir le premier long-métrage de Noah Hawley, le créateur des séries "Fargo" et "Legion". En plus de la seule patte du bonhomme que l'on salivait de voir s'imposer sur grand écran, "Lucy in the Sky" était également la promesse d'une nouvelle destinée introspective d'astronaute à ranger aux côtés de "First Man" et de "Ad Astra" avec son casting en or (Natalie Portman, Jon Hamm, Zazie Beetz, Dan Stevens ou encore Ellen Burstyn) !
    Tout concourait donc à propulser cette fusée cinématographique de luxe au plus près des étoiles ! Mais, BOUM, en plein vol, l'explosion provoquée par des défaillances impardonnables a emporté les débris de sa carcasse dans la fosse où gisent les grands films malades du cinéma...

    Enivrée par l'immensité céleste lors de son premier voyage dans l'espace, l'astronaute Lucy a atteint une forme de plénitude que la vie sur Terre ne pouvait lui offrir. Alors, forcément, de retour sur le plancher des vaches, la jeune femme se tape une méchante crise de "space blues". Entre son obsession de retourner à nouveau dans l'espace et une liaison de substitution avec un collègue, Lucy s'enferme dans une spirale autodestructrice...

    Les défaillances que l'on évoquait plus haut ne sont pas finalement pas tant que ça d'ordre technique, "Lucy in the Sky" est une production à la mise en scène léchée, parsemée de très belles séquences s'attachant à traduire avant tout visuellement et en termes de narration la montée en puissance du mal-être de son héroïne.
    S'il n'est pas d'une subtilité folle, le gimmick principal du changement de format d'image est par exemple loin d'être bête : les barres noires du 4/3 représentant à la fois le vide existentiel à compléter et l'étau de la vie "terrienne" se mettent à disparaître au profit du 16/9 lorsque Lucy atteint sa sérénité dans l'espace ou sur Terre à l'occasion de fugaces instants qui le lui rappellent.
    Et il en va ainsi pour toutes les composantes de son emballage, "Lucy in the Sky" a de vrais atouts à faire valoir à ce niveau mais aucun d'eux ne saurait masquer la plus importante avarie du film : la faiblesse de sa proposition de fond.

    Lorsqu'on s'attache à son contenu, le film ne peut en effet qu'étonner par la vacuité de ses arguments. Allier le "space blues" au pétage de plomb sentimentalo-criminel de l'astronaute Lisa Nowak (dont "Lucy in the Sky" s'inspire librement) aurait dû être du pain béni pour la plume au vitriol de Noah Hawley. Eh bien non, le manque qui habite Lucy semble avoir contaminé tout le script pendant plus de deux heures interminables.
    Dépouillé de la superbe de son contexte d'exploration spatiale, "Lucy in the Sky" a simplement pour moteur fatigué une énième crise existentielle sur fond d'adultère aux ressorts bien trop terre à terre et celle-ci ne peut même pas compter sur sa mécanique très mal agencée à tous les niveaux d'écriture possibles.
    Que ce soit à travers une héroïne profondément antipathique malgré la compassion que peut nous inspirer la coupe au bol de Natalie Portman, une utilisation complètement chaotique des personnages qui gravitent autour d'elle (mention spéciale à la nièce) ou encore des métaphores sur fond de chrysalides, d'insectes ou de fusées phalliques dignes d'un manuel de psychologie pour les nuls, la déchéance de cette space addict ne paraît être dirigée par aucun gouvernail scénaristique suffisamment fort pour déclencher un minimum d'intérêt sur son devenir.
    Ne reste alors plus que l'ennui et la déception comme tristes fils conducteurs d'un récit tournant en rond autour de son propos et dévoré par les maladresses en tout genre...

    On aura au moins partagé avec Lucy le sentiment d'être confronté à un immense vide face à ce que raconte le film de Noah Fawley et la manière boiteuse dont il a de le faire. Mais, au contraire de l'astronaute, aucun manque ne fera se ressentir une fois achevé le visionnage de "Lucy in the Sky", juste l'espérance que ce premier long-métrage ne soit qu'un faux-pas et que le talent de Hawley, seulement entrevu ici d'un point de vue formel, soit mis au service d'un projet bien plus pertinent...
    S5Clem
    S5Clem

    81 abonnés 435 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 avril 2020
    Enfin un film avec une plastique qui lui est propre. C'est bien filmé, bien joué, l'ensemble est de très bonne facture. Le problème est que l'histoire de cette lucy n'est pas très intéressante. Un espèce de burn-out après avoir vécu réellement l'impact du vide cosmique.. Mouais, sans Nathalie Portman et la vraie personnalité de la narration, ça ne vaudrait pas grand chose
    Vador Mir
    Vador Mir

    257 abonnés 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 décembre 2021
    Un excellent film porté par une Natalie Portman inspirée. Le propos est intelligent et la mise en forme brillante. Les questions posées sont pertinentes et font réfléchir. Notre place dans l'univers, la nécessité de se transformer, Les moyens de parvenir à nos objectifs... bon film.
    MadMax-68
    MadMax-68

    13 abonnés 418 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 avril 2020
    D'un ennui et d'un vide intersidéral!! Et où veux donc aller Noah Hawley, avec ses incessants et gonflants changements de plan (panoramique, 16/9, 4/3)?? Long, plat, psychologie à 2 francs, inintéressant au possible, belles ambitions esthétiques au début puis......... plus rien pendant 2h, et un dénouement proprement grotesque! Seule Natalie Portman joue sa partition à la perfection, mais autant dire que c'est tout! Bien triste! Bref, raté de bout en bout...
    GIJoe
    GIJoe

    102 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 décembre 2020
    Les intempestifs changements de plan et de format visent à pallier la vacuité de l'histoire et de la mise en scène. Les dialogues sont ennuyeux, lourdingues et plats. Ce film n'apporte absolument rien au cinéma du 21eme siècle. Du déjà vu, insipide et soporifique.
    tupper
    tupper

    132 abonnés 1 378 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 avril 2021
    Thème intéressant et original et plutôt bien traité. La réalisation aussi propose quelques originalités, avec ses plans de dessus en écho de la vue de la terre depuis l’espace. Quelques longueurs et une interprétation de Nathalie Portman un peu surjouée viennent nuancer la tableau.
    ZOC
    ZOC

    53 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 août 2023
    Une réflexion sur l'existence et la vacuité de la vie mis en scène par le talentueux Noah Halley. Un très bon casting avec une excellente Nathalie Portman. Et non ce n'est pas un film de SF.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    686 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 mars 2020
    Lucy in the Sky est un film raté qui passe son temps à faire mumuse avec le cadre de ses plans dans l’espoir de traduire par la forme l’instabilité émotionnelle de son personnage principal. Or, à y bien réfléchir, trafiquer l’image de la sorte est incompatible avec la visée profonde du long métrage, soit nous donner à voir et à vivre la détresse d’une astronaute revenue de son expédition mais qui semble encore absente : son corps hante les espaces et flotte, son esprit est ailleurs. Assise sur le toit de sa maison, Lucy assiste, émerveillée, au crépuscule du matin : elle nous réapprend à lever la tête en direction du ciel, à prendre conscience du mouvement au fondement même de notre planète et donc de notre existence. La tension entre l’ici-bas décevant et l’au-delà apte à raccorder l’être humain à sa solitude profonde est fort simple, n’avait donc pas besoin de tant d’artifices tape-à-l’œil et superflus ; une variation à deux cadrages aurait suffi, avec d’une part le plan large pour l’espace, d’autre part le format 4 : 3 pour l’enfermement terrestre. En bidouillant sans cesse le cadre, le long métrage devient un gadget prétentieux qui ne peut s’empêcher de remplir de recherches formelles inertes les béances intérieures du personnage, alors que ces béances auraient dû rester telles quelles et occasionner des séquences apparemment vides, dépouillées, en réalité connectées aux vertiges intérieures. En outre, cette quête frénétique de la belle image finit par délaisser le point de vue de l’astronaute et se retourner contre elle : le film atteste ainsi une fascination pour la décadence associée à la folie, compose par exemple un clip avec musique, ralentis et couleurs néons lorsque Lucy sort d’un parking souterrain en courant pour échapper à la police. La partition musicale croise chansons décalées et plagiat d’Interstellar d’Hans Zimmer. La mise en scène emprunte à Christopher Nolan ses plans spatiaux et à Terrence Malick ses visions oniriques (le talent en moins). Reste Natalie Portman, inégale dans le rôle de Lucy Costa, qui réussit à partager avec le spectateur sa détresse, qui n’est toutefois guère crédible en astronaute rivale volontiers méprisante et autocentrée. Lucy in the Sky est un film raté dont les ambitions esthétiques tournent à vide sans jamais servir son propos d’ensemble.
    Eric W
    Eric W

    12 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mars 2020
    Un pur chef d'oeuvre tout simplement.
    Pas seulement un film style SF, mais surtout un grand film psychologique qui nous plonge dans la grande question: Quelle est notre raison de vivre? Que faire après avoir vécu une expérience intense tel un voyage spatial?
    Ce film est rempli de métaphores pu d'observer le monde extérieur, l'Univers, de façon très protégée, mais qui l'isole.
    Lucy est très calme dans son univers technologique et ne craint pas la mort dans son univers. Mais voilà, l'humain peut voir son psychisme bouleversé par une expérience (l'Espace) ou un sentiment longtemps refoulé (l'Amour, les sentiments non rationnels). Alors Lucy craque et se perd hors de son scaphandre.....
    La fin est sublime: spoiler: On y retrouve Lucy qui a retrouvé une seconde vie et qui remets un scaphandre (sa tenue de protection contre les abeilles) comme au débur du film; mais ce scaphandre ne l'isole plus du monde et elle a enfin trouvé son sentiment d'harmonie avec l'Univers....

    La scène où on entend la célèbre chanson des Beatles est superbe: spoiler: La mort de sa mère
    la ramène brutalement dans la réalité, mais la soumets a un choc psychologique profond.
    Clint B
    Clint B

    50 abonnés 280 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 octobre 2022
    Et dire qu'il y'a des studios, des boîtes de prod pour financer des trucs pareils ! Je serai concis tellement il n'y a rien à dire sur ce nanard qui se veut psycho-metaphysique ! Pendant la première demie heure, j'ai cru que mon écran déconnait avec ces changements de format sans queue ni tête (16/9, 3/4...) qui n'apporte rien au film. Bref ce "film" est aussi vide que l'espace ! Passez votre chemin.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    313 abonnés 2 968 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 décembre 2019
    Inspiré de faits réels, un drame psychologique qui évoque tant bien que mal l'obsession jusqu'à la démence. Mais c'est surtout la contemplation via une réalisation stylée, inventive avec des variations visuelles et des vues aériennes qui se démarque. N. Portman propose une composition puissante.
    Yves G.
    Yves G.

    1 456 abonnés 3 486 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 avril 2020
    Lucy Cola (Natalie Portman) rêvait depuis l'enfance de voyager dans l'espace. Son rêve est devenu réalité à force de travail et de sacrifices. Après une mission spatiale, elle doit se réacclimater à la banalité du quotidien. Lucy n'a qu'une seule obsession : repartir.

    "Lucy in the Sky" est le film miroir de "Proxima". Celui-ci racontait les angoisses d'une spationaute française sur le point de partir en mission, tiraillée par la séparation à venir avec son mari et sa fille, angoissée de ne pas être à la hauteur de la mission exaltante qui l'attend. Celui-là pourrait être la suite de celui-ci. On y retrouve presque la même femme, de retour de mission. L'angoisse est toujours la ; mais elle a changé de nature.

    "Lucy in the Sky" est directement inspirée d'une histoire vraie : après avoir participé en juillet 2006 à une mission à bord de Discovery, l'astronaute américaine Lisa Nowak a, en février 2007, agressé et tenté de kidnapper une femme qui entretenait une liaison avec l'astronaute William Oefelein dont Nowak était éprise.

    L'affaire Nowak a jeté le soupcon sur l'équilibre psychologique des astronautes missionnés dans l'espace et sur l'efficacité des tests censés dépister des troubles éventuels. Malheureusement cette dimension n'est guère exploitée. Le film se focalise sur son héroïne que l'on voit lentement basculer dans la folie.

    "Lucy in the Sky" met en scène une winneuse, une première de la classe qui n'a jamais connu l'échec. L'histoire aurait tout aussi bien pu concerner une championne olympique ou une danseuse étoile - comme celle d'ailleurs que Natalie Portman avait interprété dans "Black Swan". Du coup la similarité que j'évoquais à l'instant avec "Proxima" s'avère moins évidente qu'il n'y paraît. Si le film français nous emmenait dans les étoiles, le film américain, qui nous ramène sur terre, est moins original.
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 août 2021
    Avec les séries « Fargo » et « Legion », Noah Hawley a de quoi négocier un bon virage vers le long-métrage. Son premier essai bute cependant sur une transaction à sens unique et qui a sans doute dénaturé l’envol de son sujet. Et au-delà de cet obstacle, il est encore possible de se laisser surprendre, de se laisser entraîner dans l’ultime poussée d’un technicien aguerri et qui prône les émotions dans ses récits les plus intimes. Sur ce plan, il y parvient avec une justesse remarquable, car c’est sans doute dans le scénario et son rythme que ça coince. Le retour d’une vétérane est souvent souligné pour explorer les décalages entre ce voyage qui nous a changés et la banale routine d’une vie de famille. L’inspiration évoque vaguement le parcours de l’astronaute Lisa Nowak, fraîchement revenu de la mission de ravitaillement STS-121 pour la Station Spatiale Internationale (ISS). De ce postulat, on en tire les enjeux des hommes, comme des femmes qui ont décidé de construire l’avenir vers les étoiles.

    Pourtant, il n’est pas question de ce regard en avant, mais bien celui à l’opposé. L’immersion est travaillée d’entrée, afin que l’on accompagne Lucy Cola (Natalie Portman), qui semble avoir le mal de la gravité. Son obsession pour le vide, la vision d’un « autre monde », c’est un retour impossible à la vie terrestre. Tout lui semble plus petit, mais le ressenti n’est pas immédiat. Le rythme joue sur cette perspective, d’abord discrète, puis l’orage se déchaîne jusqu’à ce qu’elle perde le contrôle de tout. À la maison, la notion de confort n’est plus ce qu’elle pense être et au travail, c’est l’ambiguïté. L’envie de s’envoler de nouveau lui rend des automatismes dont il faut encadrer avec plus de discernement. On s’attarde ainsi sur le statut psychologique de ces héros, ces volontaires qui sacrifie tant de choses, qu’ils en oublient les raisons de leur venue et le véritable carburant qui les a menés jusque dans les étoiles. Dans le cas de Lucy, c’est plus poussé. Mais l’exercice artistique possède sans doute ses limites à force de répéter les mêmes procédés de bout en bout.

    La rupture de ton avec ce qui la relie à la réalité et son caractère compétitif est sans doute le principal facteur d’un dysfonctionnement, scénaristiquement parlant. C’est pourquoi l’œuvre ne mise que sur le visionnage en apesanteur afin de transmettre l’intensité d’un voyage énigmatique et renoue avec l’extraordinaire. La partition de Jeff Russo assure également l’ascenseur émotionnel qui oscille entre l’étrange et le grandiose. À travers les yeux de l’astronaute, on y découvre une richesse, mais non-palpable avec nos référentiels, non-palpables avec des sentiments. Elle les refoule donc avec une certaine contradiction que l’on suit dans u triangle amoureux avec son collègue Mark Goodwin (Jon Hamm). Parallèlement, les péripéties s’enchaînent avec fluidité, notamment avec sa rebelle de fille, miroir de son âme, mais si distante de sa réalité. L’œuvre ne cherche pourtant pas à nous déboussoler plus qu’il n’en faut, car même s’il faut attendre le dénouement pour connaître les limites d’une obsession, elle saura comment libérer son héroïne de son mal-être.

    Plus qu’une référence au fameux tube des Beatles, « Lucy In The Sky » se démarque par sa maîtrise du cadre, cohérent avec cette chute, cette descente aux enfers, qui se résume à l’obsession de la grandeur chez l’héroïne. Et peut-être que le concept reste difficilement inaccessible, mais il faudra reconnaître une certaine splendeur dans ce mélodrame, techniquement immersif et particulièrement intime. L’expérience prévaut sur ce qui se trouve à la surface du récit et il faudra donc accepter d’être déstabilisé pour en capter les nuances et se laisser séduire par cette fable introspective.
    eldarkstone
    eldarkstone

    217 abonnés 2 073 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 février 2020
    Un drame personnel intéressant, mais quelque peu un peu trop long et lent. Mais une grande Nathalie Portman !
    surfnblue
    surfnblue

    63 abonnés 1 576 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 janvier 2020
    Ca commence avec de bien belles images (comme avec Gravity) avec une astronaute qui a davantage l'air d'un passager qu'un membre d'équipage. Une fois sur Terre, on la découvre très terrienne finalement, avec le même état d'âme de celui qui a fait un tour du monde d'un an et qui revient dans son quartier où rien a changé, sauf lui.
    La fin par contre, complètement loupée, risible, invraisemblable.
    J'ai mis 2 étoiles pour les scènes du début.
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