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    Where To Invade Next
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    axelle J.
    axelle J.

    117 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 septembre 2016
    Ce réalisateur revient avec un documentaire fort intéressant.
    Il va à la rencontre de plusieurs pays pour montrer des idées dont pourraient s'inspirer les américains.
    C'est instructif, édifiant et salutaire.
    etoile_du_jaguar
    etoile_du_jaguar

    3 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 septembre 2016
    Un film genre discussion de café fait de clichés assez démodés. Cela part bien dans les premières minutes, mais la présentation de ce qui est mieux ailleurs par rapport aux USA est tellement caricaturale que le film en perd toute force.
    Ainsi, ce que M. Moore trouve bien en France, ce sont les repas dans les cantines scolaires....!
    Et pour finalement conclure que tout ce qu'il a pu trouver de bien ailleurs, en fait avait deja été initié par les américains eux-mêmes.
    Le 4e Homme
    Le 4e Homme

    7 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 septembre 2016
    Les choix d'investigation de M Moore sont très arbitraires et confinent à l'anecdotique (cas de la France avec un restaurant scolaire aux Andelys....). Le propos dérape sur le rôle des femmes et leur importance dans la vie civile où du coup on perd le fil par rapport à son intention d'opposer frontalement les vilains USA et les bons européens.
    Beaucoup trop noir et blanc.
    Maintenant il y a des infos intéressantes. Et peut-être que c'est le bon niveau de communication pour l'américain moyen....
    fasskinder
    fasskinder

    27 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 septembre 2016
    Non, mais les critiques germanopratins qui qualifient de chef d’œuvre n'importe quelle sous-..... qui se tourne dans leur quartier devraient arrêter de jouer les grands cyniques et nous dire où sont les Moore français ??? qui est capable avec humour et rythme soutenu de réaliser des docus de 2h qui tiennent debout en montrant des facettes variées de la société contemporaine et, surtout, en redonnant espoir dans notre sacrée EUROPE... Allez, les critiques, jouez les cyniques dans vos aperos cannois et laissez ce film exister et être vu par le plus grand nombre de spectateurs, il est d'utilité publique !!! Courez-y, les gens normaux !
    Olivier D
    Olivier D

    10 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2016
    Un Michael Moore efficace comme d'habitude, ou on apprend même des vérités historiques inconnues. Un film pour réfléchir sur le niveau lamentable et affligeant de notre débat politique...
    colombe P.
    colombe P.

    129 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 septembre 2016
    Ce réalisateur, à la demande du Pentagone, va dans différents pays pour voir ce qui marche au niveau économique, social, éducatif, humain etc...
    Alors bien entendu dans les pays qu'il visite il y a des choses qui ne vont pas mais il met en évidence tout ce qui est bon à prendre comme initiatives intelligentes.
    jlg.mardi
    jlg.mardi

    2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 septembre 2016
    Un documentaire plein d'espoir sur l'europe et ses avancées sociales, l'ensemble mis en comparaison avec le système américain.
    Beaucoup d'humour
    dominique P.
    dominique P.

    833 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 septembre 2016
    Voici un nouveau documentaire de Michael Moore qui s'avère excellent mais surtout très pertinent.
    Les deux heures passent très vite et on apprend plein de choses sur d'autres pays.
    C'est passionnant, intelligent et humain tout ce qu'on nous montre.
    Et la comparaison avec les USA est édifiante.
    Jack R.
    Jack R.

    15 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2016
    Petit tour du monde en compagnie de Michael Moore qui a effectué une sélection d'idées intéressantes pratiquées sur les continents européen et africain. Idées qu'il aimerait pouvoir ramener au Etats-Unis. Il avoue lui-même qu'il ne cherche pas à cueillir de mauvaises herbes mais seulement des roses, de manière à ne pas qualifier de simpliste son approche documentaire.
    Le pays idéal serait-il celui qui ne garderait que les meilleures idées dans les domaines sociaux, politiques, alimentaires, éducatives, etc. ? on peut méditer là-dessus. Critique drôle et incisive du système américain, ce survol de pratiques diverses recueillies à travers le monde est instructif et donne à réfléchir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 septembre 2016
    génial. Il le dit et il le montre: les pays européens et nord africain ont aussi leurs mauvaises herbes mais il n'est là que pour ramasser les fleurs. il ne cache pas la vérité, il part du principe que tout le monde a des choses à apprendre de l'autre.
    une ode à l'humanité. au partage. Et à l'ouverture d'esprit.
    merci.
    cylon86
    cylon86

    2 504 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 octobre 2016
    Trublion du documentaire, Michael Moore a toujours tiré à boulets rouges sur l'Amérique et tous ses défauts. Mais pour son nouveau film, Moore a décidé de laisser tomber le cynisme au profit de l'ouverture d'esprit et de l'optimisme. Le voilà donc dans "Where to invade next" à parcourir plusieurs pays du monde pour leur piquer ce qu'il juge être de bonnes idées afin de les rapporter dans son pays. Armé de sa bonhomie et de son franc-parler, il découvre donc les nombreuses congés payés en Italie, la qualité de la nourriture dans les cantines des écoles françaises, les études gratuites en Slovénie, le système éducatif finlandais, le système carcéral norvégien ou encore la place importante des femmes dans la société islandaise...
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    RedArrow
    RedArrow

    1 662 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 septembre 2016
    Ah, il nous avait manqué ce bougre de Michael Moore ! Forcément plus silencieux depuis que son meilleur ennemi George W. Bush a pris sa retraite présidentielle et même s'il ne cite jamais explicitement Obama, le bonhomme n'en demeure pas moins toujours révolté des maux profonds qui habitent son pays. En ce sens, il excelle encore autant à dénoncer les absurdités d'un système américain complètement schizophrène (le générique d'ouverture mettant en parallèle les grandes déclarations conquérantes présidentielles et les absurdités d'un pays qui marche sur la tête est un petit chef-d'oeuvre à lui tout seul).
    Sur le constat, on ne peut être que d'accord avec lui et sa manière si brillamment sarcastique de nous le transmettre. Sur le reste, on va en discuter...

    Convoqué à une réunion secrète imaginaire des plus hautes instances dirigeantes US, Michael Moore se voit confier la mission d'aller envahir des pays étrangers et de leur piquer leurs meilleures idées pour améliorer la vie de la société américaine.

    Vous vous souvenez de la séquence en France du brillant "Sicko" sur les dérives du système de santé americain où Moore venait dialoguer avec une famille de classe moyenne (enfin, selon lui) pour vanter les avantages de notre système de manière idyllique (visiblement, la notion de "déficit" lui était complètement inconnue)? Et bien, "Where To Invade Next ?", c'est exactement ça pendant presque deux heures.

    Commençons par le premier pays envahi par la bonhomie de Moore : l'Italie.
    Se posant en interlocuteur naïf, le cinéaste s'entretient avec une famille à nouveau "middle classe"(là encore, on peut en douter) et s'étonne de la notion même et du nombre de congés payés du couple (rappelons que légalement aucune entreprise US n'est tenue d'en accorder de manière obligatoire). Ne comprenant pas comment le pays peut rester aussi productif avec autant de temps libre laissé aux salariés, il part interroger les dirigeants de Bugatti et d'un sous-traitant de marques de vêtements de luxe qui vantent le bien fou que les congés payés et d'autres avantages font à leurs salariés, augmentant par-là même leur productivité.
    Bien sûr le message de Moore comme quoi les salariés américains devraient se battre autant pour leurs droits de travailleurs que les Italiens l'ont historiquement fait est on ne peut plus louable mais cette manière de le narrer avec une telle mauvaise foi dans une Italie rêvée où visiblement l'économie serait florissante ("je viens cueillir les fleurs pas les mauvaises herbes" sera sa simple excuse pour ne pas évoquer les difficultés économiques de nos systèmes européens) et où l'industrie du luxe (épargnée par la crise) serait représentative de toute celle du pays ne fait que discréditer son propos.

    Vient ensuite l'exemple français qui nous parle bien évidemment plus. Là, Moore vante l'équilibre diététique de nos cantines d'écoles françaises par rapport aux américaines. Ici encore, le message est juste mais le réalisateur fausse tout seul son discours en cherchant la comparaison entre l'utilisation qui serait idéale de nos impôts par rapport à ceux des contribuales américains. Il n'y est bien sûr jamais fait mention de la faillite connue de l'État français.

    Au rang de l'absurdité totale, il y a le passage en Islande où, lors de la crise financière monstrueuse qu'a connu le pays (là, il l'évoque, comme ça l'arrange), une seule banque a réussi à se maintenir à flot, un établissement dirigé par des femmes. L'argument d'une Islande très progressiste (et très tôt) en matière de droits des femmes n'est pas à remettre en cause (et c'est une chose on ne peut plus positive), seulement Moore s'en sert comme d'un drôle de point de départ pour prôner qu'un monde dirigé par les femmes n'aurait que des bienfaits et serait une sacrée bouffée d'air pour n'importe quel système. Rappelons-lui que, dans son propre pays, Hillary Clinton est le symbole même d'un establishment politique américain usé jusqu'à la corde et aux mains de tous les lobbies. De même, en France, personne n'imaginerait voter pour des idées nauséabondes d'un parti seulement parce que sa représentante est une femme.
    Bien sûr, l'égalité paritaire est un combat des plus nobles et totalement justifié mais Moore semble privilégier la supériorité d'un genre sur l'autre (il laisse penser que si "Lehman Brothers" s'était appelé "Lehman Sisters", les choses auraient été différentes) et différencier ainsi le comportement des individus par leur sexe (dans un sens comme dans l'autre) est en soi une vraie aberration.

    Mais, ne soyons pas non plus malhonnêtes, "Where To Invade Next ?" contient de nombreux coups de génie qui ont fait la renommée de Moore.
    Le passage en Allemagne où des jeunes élèves se voient enseigner pour la première fois les horreurs de la Seconde Guerre Mondiale afin de ne jamais oublier ce que l'humanité est capable de faire de pire offre un moment d'une intensité incroyable, surtout lorsque le cinéaste le met en parallèle de la société américaine plus que apte à oublier les atrocités sur lesquelles elle s'est construite.
    La mise en avant de nos universités gratuites (ici en Slovénie) face aux frais exorbitants de leurs équivalents américains, l'excellence du système scolaire finlandais, le milieu carcéral norvégien qui mise avant tout sur la réhabilitation comparé à la brutalité innommable de celui US (la vidéo de présentation de la prison de haute sécurité norvégienne est juste à mourir de rire) ou encore les avancées des droits de la femme en Tunisie (l'intervenante qui adresse directement un message d'ouverture au peuple américain est d'une justesse poignante) sont autant de bons moments qui font de ce documentaire un film néanmoins nécessaire.

    En fait, d'un point de vue américain, le film est d'une absolue nécessité (il mériterait amplement un 4/5) mais, avec notre regard européen, on ne peut passer outre devant la fausse naïveté et les facilités dont Michael Moore abuse. Cela a pour effet de discréditer trop souvent ses discours pourtant pertinents sur une nécessaire remise en cause de la société américaine à travers de superbes idées idéalistes.
    Il est indiscutable que le bonhomme est un vrai cinéaste se servant habilement d'artifices humoristiques pour emballer ses propos (le film est réellement très drôle comme l'ensemble de son oeuvre) mais, même si l'on peut partager bon nombre de ses idées sur le papier, il ne faut jamais rester dupe des raccourcis qu'il emprunte pour mieux nous en convaincre.
    byeny
    byeny

    5 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 septembre 2016
    Sur la forme, c'est du brut, du lourd, du Michael Moore vieillissant. Un peu dommage.
    Sur le fond, c'est intéressant et cela soulève bien des questions. Cela permet de prendre du recul. A classer dans les documentaires social / politique
    poet75
    poet75

    270 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 septembre 2016
    A condition de ne pas prendre ce film au premier degré et d'en apprécier la forme d'humour, on sera (comme je l'ai été moi-même) ravi de retrouver le trublion des Etats-Unis Michael Moore. De plus, le voilà qui a eu la bonne idée de venir nous visiter, nous Européens, afin de nous piquer nos bonnes idées pour les ramener chez lui. Comparée aux Etats-Unis, l'Europe, telle que la montre le cinéaste, semble en effet être l'antichambre du paradis. Bien sûr, Michael Moore n'est pas totalement naïf, il sait bien que l'Europe est entachée par son histoire et que, aujourd'hui, tout n'y est pas parfait. Mais, quand même, son périple de pays en pays nous rappelle que nous, les Européens, sommes bien favorisés: les congés payés en Italie, les cantines scolaires en France, le système scolaire en Finlande, le système carcéral en Norvège, la place des femmes en Islande, etc. Les exemples ne manquent pas, y compris même en Tunisie où Michael Moore fait également une incursion. Plein de bonnes idées à ramener aux Etats-Unis où l'on s'inquiète davantage de son bien-être individuel que du bien-être collectif et où les citoyens sont volontiers maltraités. A moins que, peut-être, en fin de compte, ces idées ne soient pas totalement étrangères à un pays qui pourtant les bafoue! C'est la pirouette du cinéaste à qui l'on pardonnera volontiers ses approximations et ses à priori sur les Italiens ou les Français par exemple. Encore une fois, même si ce film traite de questions sérieuses, il le fait avec une bonne dose d'humour. Et c'est très appréciable. 7,5/10
    Psykedelice
    Psykedelice

    24 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 novembre 2016
    Bien qu'il traîne en longueurs et qu'il idéalise beaucoup (que de clichés, mais au moins, ils sont positifs !), ce film fait du bien. J'ai adoré la partie sur l'Islande et la place des femmes. Que de bon sens dans toutes ces paroles de femmes islandaises !
    Michael Moore nous décrit un monde idéal. C'est naïf, c'est optimiste spoiler: (la partie sur le massacre en Norvège m'a quand même scotchée)
    , ça me rappelle l'enfant qui est en moi et qui pense encore que tout est possible.
    Toutes les idées récoltées tout au long de ce film semblent évidentes et simples à appliquer. Le film est résumé, selon moi, par une des phrases prononcées par une femme islandaise. Elle s'adresse aux américains spoiler: "Comment pouvez-vous vous sentir bien en sachant que les jeunes de votre pays ne peuvent pas tous accéder à une bonne éducation (coût exorbitant des études supérieures) et que vos voisins ne peuvent pas tous accéder à des soins (pas de sécurité sociale digne de ce nom) ?"
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