Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Positif
par Nicolas Bauche
Tout le monde n'a pas le courage intellectuel de Michael Moore.
20 Minutes
par Caroline Vié
"Where to invade next" ressemble à son auteur. Attachant, amusant et agaçant, ce film tient davantage du divertissement que du document.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Isabelle Danel
Le système Moore, basé sur une mauvaise foi revigorante, génère des films malpolis, qui font rire autant que réfléchir.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Le dynamiteur US ressort son meilleur humour caustique et sa mauvaise foi, bardés cette fois-ci d’optimisme : un vrai plaisir !
Le Parisien
par Renaud Baronian
Drôle et flatteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Moore privilégie la pédagogie sur le réquisitoire, d'où un doc passionnant et positif, dont on peut aussi s'inspirer en France.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Retour de notre lanceur d’alerte favori. A 60 ans Michael Moore, n’a rien perdu de sa superbe idéologique. Difficile de ne pas adhérer à son travail de persuasion par le cliché, drôle et percutant, qui ravive l’espoir d’un monde sans frontière.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Gérard Biard
Autant d'exemples qui, au-delà de la pertinence des intervenants et du bien-fondé de certaines observations, tournant parfois au cliché pour carte postale sociale.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Si "Where to Invade Next" essaime des vérités, c’est la forme qui, comme toujours chez Michael Moore, freine l’adhésion complète.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Amusant, mais le principe tourne en rond. Seul l'exemple féministe islandais est très convaincant.
LCI
par Mehdi Omaïs
Sa nouvelle réalisation, pareille à un formidable laboratoire pour le vivre-ensemble, donne l’impérieux désir de voyager, de rencontrer, d’essayer. Bien sûr, dans le lot, tout n’est pas à prendre pour argent comptant. Mais avec le recul nécessaire et quelques sursauts de cynisme en moins, le plaisir est au rendez-vous.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Il signe un pamphlet à la fois naïf, engagé et virulent, dans lequel il se met en scène sans vergogne.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Entre raccourcis simplistes et discours démagogue, “Where to Invade Next” saborde l'essence de son message.
Marianne
par Myriam Perfetti
Dans le manichéen et approximatif "Where To Invade Next", les deux heures savamment montées alternent interviews cocasses et images d'archives saisissantes, mais laissent poindre, sous la farce un peu molle, des préoccupations capitales (...).
Ouest France
par La Rédaction
Michael Moore en fait parfois trop mais c'est drôle et instructif.
Paris Match
par Alain Spira
Bien sûr, Moore, c'est un peu monsieur More, il faut toujours qu'il en rajoute. Ce justicier provocateur ne montre que le bon côté des démocraties de notre vieux continent. Sa démonstration n'est guère scientifique ni très objective, mais elle lui sert d'arme de destruction massive du rêve américain.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Éric Vernay
L'expérience a le défaut de ses qualités : c'est caricatural et assumé comme tel, Moore annonçant d'emblée vouloir "cueillir les fleurs, pas les mauvaises herbes". Mais sa récolte reste malgré tout savoureuse.
Télérama
par Cécile Mury
Ce drôle de voyage, surtout en ces temps troublés de campagne électorale outre-Atlantique, détaille peu à peu un véritable programme politique, fondé sur la solidarité sociale. À gauche toute.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Optimiste.
Critikat.com
par Alain Zind
La structure argumentaire se résume, dans sa construction filmique, à un jeu de montage discursif balourd et limité à une forme comparatiste facile.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Le nouveau film de Michael Moore est également profondément malhonnête, et s'apparente plus à une mystification digne d'un Trump de gauche qu'à un travail documentaire.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Esclavage, génocide indien, peine de mort, violence policière, principaux chevaux de bataille de cet opus, moins drôle, moins corrosif, encore plus clicheteux et répétitif que les précédents.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le cinéaste dresse un éloge drôlement naïf du Vieux Continent.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Moore ne frôle pas le ridicule, il (y) nage avec béatitude (...) dans ce feel-good documentaire où le cinéaste clown enfonce des portes ouvertes et amalgame tout et n'importe quoi.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Le cinéaste apparaît dans un manque d'inspiration.
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Le regard est si réducteur, la patte si lourde, qu’on revient sans cesse à des clichés aussi bêtes mais vaguement plus sympas qu’un argument franchement raciste (l’Italien bon baiseur, le Français gastronome, etc.) : rien ici ne dépasse ce que Michael Moore pensait déjà savoir avant de monter dans son avion pour venir jouer la surprise avec sa fausse naïveté poisseuse et calibrée.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
On a en effet du mal à imaginer quel public se laissera convaincre par ce road trip fantasmé à travers l’Europe welfare, parfois aussi édifiant que les pérégrinations de Kim Jong-un en Corée du Nord.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
En vérité, cette nouvelle pochade de l’auteur de "Fahrenheit 9/11" provoque le même embarras ressenti face à des thèses convaincantes, mais exposées de manière si douteuse qu’on préférerait s’y opposer.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Guillaume Gendron
(...) une ode au Vieux Continent entre œillères et clichés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
Tout le monde n'a pas le courage intellectuel de Michael Moore.
20 Minutes
"Where to invade next" ressemble à son auteur. Attachant, amusant et agaçant, ce film tient davantage du divertissement que du document.
Bande à part
Le système Moore, basé sur une mauvaise foi revigorante, génère des films malpolis, qui font rire autant que réfléchir.
Le Dauphiné Libéré
Le dynamiteur US ressort son meilleur humour caustique et sa mauvaise foi, bardés cette fois-ci d’optimisme : un vrai plaisir !
Le Parisien
Drôle et flatteur.
Télé 7 Jours
Moore privilégie la pédagogie sur le réquisitoire, d'où un doc passionnant et positif, dont on peut aussi s'inspirer en France.
aVoir-aLire.com
Retour de notre lanceur d’alerte favori. A 60 ans Michael Moore, n’a rien perdu de sa superbe idéologique. Difficile de ne pas adhérer à son travail de persuasion par le cliché, drôle et percutant, qui ravive l’espoir d’un monde sans frontière.
Charlie Hebdo
Autant d'exemples qui, au-delà de la pertinence des intervenants et du bien-fondé de certaines observations, tournant parfois au cliché pour carte postale sociale.
Franceinfo Culture
Si "Where to Invade Next" essaime des vérités, c’est la forme qui, comme toujours chez Michael Moore, freine l’adhésion complète.
L'Express
Amusant, mais le principe tourne en rond. Seul l'exemple féministe islandais est très convaincant.
LCI
Sa nouvelle réalisation, pareille à un formidable laboratoire pour le vivre-ensemble, donne l’impérieux désir de voyager, de rencontrer, d’essayer. Bien sûr, dans le lot, tout n’est pas à prendre pour argent comptant. Mais avec le recul nécessaire et quelques sursauts de cynisme en moins, le plaisir est au rendez-vous.
Le Journal du Dimanche
Il signe un pamphlet à la fois naïf, engagé et virulent, dans lequel il se met en scène sans vergogne.
Les Fiches du Cinéma
Entre raccourcis simplistes et discours démagogue, “Where to Invade Next” saborde l'essence de son message.
Marianne
Dans le manichéen et approximatif "Where To Invade Next", les deux heures savamment montées alternent interviews cocasses et images d'archives saisissantes, mais laissent poindre, sous la farce un peu molle, des préoccupations capitales (...).
Ouest France
Michael Moore en fait parfois trop mais c'est drôle et instructif.
Paris Match
Bien sûr, Moore, c'est un peu monsieur More, il faut toujours qu'il en rajoute. Ce justicier provocateur ne montre que le bon côté des démocraties de notre vieux continent. Sa démonstration n'est guère scientifique ni très objective, mais elle lui sert d'arme de destruction massive du rêve américain.
Première
L'expérience a le défaut de ses qualités : c'est caricatural et assumé comme tel, Moore annonçant d'emblée vouloir "cueillir les fleurs, pas les mauvaises herbes". Mais sa récolte reste malgré tout savoureuse.
Télérama
Ce drôle de voyage, surtout en ces temps troublés de campagne électorale outre-Atlantique, détaille peu à peu un véritable programme politique, fondé sur la solidarité sociale. À gauche toute.
Voici
Optimiste.
Critikat.com
La structure argumentaire se résume, dans sa construction filmique, à un jeu de montage discursif balourd et limité à une forme comparatiste facile.
Ecran Large
Le nouveau film de Michael Moore est également profondément malhonnête, et s'apparente plus à une mystification digne d'un Trump de gauche qu'à un travail documentaire.
La Voix du Nord
Esclavage, génocide indien, peine de mort, violence policière, principaux chevaux de bataille de cet opus, moins drôle, moins corrosif, encore plus clicheteux et répétitif que les précédents.
Le Monde
Le cinéaste dresse un éloge drôlement naïf du Vieux Continent.
Les Inrockuptibles
Moore ne frôle pas le ridicule, il (y) nage avec béatitude (...) dans ce feel-good documentaire où le cinéaste clown enfonce des portes ouvertes et amalgame tout et n'importe quoi.
Studio Ciné Live
Le cinéaste apparaît dans un manque d'inspiration.
Cahiers du Cinéma
Le regard est si réducteur, la patte si lourde, qu’on revient sans cesse à des clichés aussi bêtes mais vaguement plus sympas qu’un argument franchement raciste (l’Italien bon baiseur, le Français gastronome, etc.) : rien ici ne dépasse ce que Michael Moore pensait déjà savoir avant de monter dans son avion pour venir jouer la surprise avec sa fausse naïveté poisseuse et calibrée.
Chronic'art.com
On a en effet du mal à imaginer quel public se laissera convaincre par ce road trip fantasmé à travers l’Europe welfare, parfois aussi édifiant que les pérégrinations de Kim Jong-un en Corée du Nord.
L'Obs
En vérité, cette nouvelle pochade de l’auteur de "Fahrenheit 9/11" provoque le même embarras ressenti face à des thèses convaincantes, mais exposées de manière si douteuse qu’on préférerait s’y opposer.
Libération
(...) une ode au Vieux Continent entre œillères et clichés.