Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un processus inexorable s’engage, dont la teneur du climax sera laissée à l’appréciation du spectateur. Élégante manière de clore une fable politiquement et moralement cinglante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
"Mountain", premier long-métrage de l’Israélienne Yaelle Kayam, est un film remarquable. Il témoigne, une nouvelle fois, de la volonté du cinéma d’auteur israélien de se saisir d’un univers ultra-religieux qui représente une part de plus en plus visible et active de la société israélienne.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Premier film de Yaelle Kayam, “Mountain” met brillamment en scène la souffrance d’une femme en proie au désir et à la frustration.
L'Obs
par François Forestier
Premier film de Yaelle Kayam, "Mountain" est une peinture émouvante de la solitude : c'est beau, juste, bien filmé, et le cimetière des Oliviers est chargé d'une mythologie puissante. La fin, ouverte (que va faire l'héroïne ?), ne boucle pas le récit. Dommage : on reste sur un sentiment d'inachevé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un premier long-métrage étrange et beau de l'Israélienne Yaelle Kayam.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
La simple vision du cimetière à perte de vue et ce que cela recèle de dureté [...] suffit presque à engendrer une pensée déviante, que le film cultive avec un féroce mauvais esprit.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Cette confrontation entre religion et prostitution évite tous les cichés, mais tire un peu trop en longueur pour convaincre pleinement.
Télérama
par Jérémie Couston
Assez proche dans sa forme et dans son propos de "Kadosh", d'Amos Gitai, ce premier film semble prisonnier de l'austérité de son dispositif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
La réalisatrice échoue dans sa peinture du fait divers alors qu’elle avait sans doute entre les mains une matière paradoxale et plus subtile, où faire passer, parmi les tombes, un peu de vie.
L'Humanité
Un processus inexorable s’engage, dont la teneur du climax sera laissée à l’appréciation du spectateur. Élégante manière de clore une fable politiquement et moralement cinglante.
Le Monde
"Mountain", premier long-métrage de l’Israélienne Yaelle Kayam, est un film remarquable. Il témoigne, une nouvelle fois, de la volonté du cinéma d’auteur israélien de se saisir d’un univers ultra-religieux qui représente une part de plus en plus visible et active de la société israélienne.
Les Fiches du Cinéma
Premier film de Yaelle Kayam, “Mountain” met brillamment en scène la souffrance d’une femme en proie au désir et à la frustration.
L'Obs
Premier film de Yaelle Kayam, "Mountain" est une peinture émouvante de la solitude : c'est beau, juste, bien filmé, et le cimetière des Oliviers est chargé d'une mythologie puissante. La fin, ouverte (que va faire l'héroïne ?), ne boucle pas le récit. Dommage : on reste sur un sentiment d'inachevé.
Le Figaro
Un premier long-métrage étrange et beau de l'Israélienne Yaelle Kayam.
Les Inrockuptibles
La simple vision du cimetière à perte de vue et ce que cela recèle de dureté [...] suffit presque à engendrer une pensée déviante, que le film cultive avec un féroce mauvais esprit.
Studio Ciné Live
Cette confrontation entre religion et prostitution évite tous les cichés, mais tire un peu trop en longueur pour convaincre pleinement.
Télérama
Assez proche dans sa forme et dans son propos de "Kadosh", d'Amos Gitai, ce premier film semble prisonnier de l'austérité de son dispositif.
Cahiers du Cinéma
La réalisatrice échoue dans sa peinture du fait divers alors qu’elle avait sans doute entre les mains une matière paradoxale et plus subtile, où faire passer, parmi les tombes, un peu de vie.