Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
De son passé de documentariste, Anne Rose Holmer a conservé un don époustouflant pour capter les mouvements de chrorégraphies aussi physiques que virtuoses.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Il y a longtemps qu’un premier film ne nous avait mis dans un tel émoi.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Film de silence, oeuvre d’ambiance, "The Fits" s’est imposé cette année à Sundance et Deauville comme un OVNI précieux, dont la personnalité n’est peut-être pas la plus aimable pour les spectateurs réfractaires aux grammaires alambiquées, mais son regard puissant sur l’enfance et l’adolescence, en fait l’une des productions les plus enthousiasmantes et les plus marquantes de son époque.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
Dans une lumière saturant les couleurs et dessinant une ambiance de gymnases aux murs brique, de toilettes blanches et de passerelles grises, au son d’une mélopée dissonante et ensorcelante, The Fits saisit l’impalpable.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
Avec ce premier long qui regorge de trouvailles et se détourne constamment des évidences, Anna Rose Holmer fait du corps le site d’une ambivalence, d’un lutte pour tenter d’être soi parmi les autres.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
D’une opacité hypnotique, The Fits sonde avec douceur la peur et l’envie des filles de devenir adolescentes dans une alchimie émouvante d’inconfort et de poésie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Charles Tesson
Magnifique, The Fits l’est à plus d’un titre. Parce qu’il part d’un sujet souvent traité (la métamorphose d’une jeune fille, la découverte de son corps au seuil de la préadolescence) et qu’Anna Rose Homer, qui signe là son premier film, en y allant sans rien esquiver, nous entraîne sur des terres où le cinéma n’est jamais allé.
Le Monde
par Mathieu Macheret
A partir d’un budget restreint et d’un sujet initiatique rebattu, Anna Rose Holmer livre un remarquable traité énergétique sur l’émancipation du corps et la conquête de soi, bandé comme un muscle en phase d’échauffement sur de puissants partis pris cinématographiques.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Le premier film d’Anna Rose Holmer est un tour de force de mise en scène, porté par la révélation Royalty Hightower.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
C'est une histoire à la fois très singulière et très universelle que raconte Holmer, celle des enfants qui grandissent, celle des exclus qui veulent s'intégrer sans se laisser dissoudre.
Libération
par Olivier Lamm
Cet archaïsme rarement revendiqué dans le cinéma contemporain, dont on peut raisonnablement soupçonner ici ou là qu’il est exagéré par la réalisatrice, donne en tout cas à "The Fits" un cachet assez singulier, voire, dans ses scènes les plus réussies, le sentiment d’avoir affaire à un vrai bel objet non identifié dont la danse est à la fois le sujet et le principal argument de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Si on est moins convaincu par l'histoire d'épidémie qui se greffe au scénario, le Prix de la critique obtenu à Deauville est justifié.
Positif
par Eithne O'Neill
(Un) premier film au mini-budget et à l'énergie vraie.
Première
par Éric Vernay
Peu de dialogues ici. La mise en scène est avant tout sensorielle, immersive, grâce à un travail méticuleux de spatialisation aussi bien sonore (...) que visuelle (...).
Voici
par Lola Sciamma
Un film sombre, singulier, voire radical dans sa forme.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Il y a de la grâce dans ce film, mais les numéros de danse sont finalement un peu succincts.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
À la lisière du fantastique, ce récit initiatique et métaphorique, quasiment dépourvu de dialogues, vaut pour sa mise en scène épurée pleine de grâce et de délicatesse, sans oublier l’interprète principale, Royalty Hightower, au charisme fou. De quoi largement compenser un scénario un peu répétitif.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Par sa mise en scène où le mouvement et les expressions priment sur les dialogues, la réalisatrice fait entrer le spectateur dans la tête et le coeur de Toni - interprétée par la magnétique Royalty Hightower - et raconte, par des métaphores plus ou moins subtiles, ce que c'est que de grandir et de découvrir sa personnalité.
Télérama
par Louis Guichard
Le résultat est élégant, mais trop ténu et allusif pour séduire pleinement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un récit qui s’attache à un personnage qui parvient, à force de ténacité, à son but ; mais la réalisation est plutôt confuse, la danseuse plutôt empruntée et la légèreté plutôt pesante.
20 Minutes
De son passé de documentariste, Anne Rose Holmer a conservé un don époustouflant pour capter les mouvements de chrorégraphies aussi physiques que virtuoses.
Cahiers du Cinéma
Il y a longtemps qu’un premier film ne nous avait mis dans un tel émoi.
aVoir-aLire.com
Film de silence, oeuvre d’ambiance, "The Fits" s’est imposé cette année à Sundance et Deauville comme un OVNI précieux, dont la personnalité n’est peut-être pas la plus aimable pour les spectateurs réfractaires aux grammaires alambiquées, mais son regard puissant sur l’enfance et l’adolescence, en fait l’une des productions les plus enthousiasmantes et les plus marquantes de son époque.
Bande à part
Dans une lumière saturant les couleurs et dessinant une ambiance de gymnases aux murs brique, de toilettes blanches et de passerelles grises, au son d’une mélopée dissonante et ensorcelante, The Fits saisit l’impalpable.
Critikat.com
Avec ce premier long qui regorge de trouvailles et se détourne constamment des évidences, Anna Rose Holmer fait du corps le site d’une ambivalence, d’un lutte pour tenter d’être soi parmi les autres.
La Croix
D’une opacité hypnotique, The Fits sonde avec douceur la peur et l’envie des filles de devenir adolescentes dans une alchimie émouvante d’inconfort et de poésie.
La Septième Obsession
Magnifique, The Fits l’est à plus d’un titre. Parce qu’il part d’un sujet souvent traité (la métamorphose d’une jeune fille, la découverte de son corps au seuil de la préadolescence) et qu’Anna Rose Homer, qui signe là son premier film, en y allant sans rien esquiver, nous entraîne sur des terres où le cinéma n’est jamais allé.
Le Monde
A partir d’un budget restreint et d’un sujet initiatique rebattu, Anna Rose Holmer livre un remarquable traité énergétique sur l’émancipation du corps et la conquête de soi, bandé comme un muscle en phase d’échauffement sur de puissants partis pris cinématographiques.
Les Fiches du Cinéma
Le premier film d’Anna Rose Holmer est un tour de force de mise en scène, porté par la révélation Royalty Hightower.
Les Inrockuptibles
C'est une histoire à la fois très singulière et très universelle que raconte Holmer, celle des enfants qui grandissent, celle des exclus qui veulent s'intégrer sans se laisser dissoudre.
Libération
Cet archaïsme rarement revendiqué dans le cinéma contemporain, dont on peut raisonnablement soupçonner ici ou là qu’il est exagéré par la réalisatrice, donne en tout cas à "The Fits" un cachet assez singulier, voire, dans ses scènes les plus réussies, le sentiment d’avoir affaire à un vrai bel objet non identifié dont la danse est à la fois le sujet et le principal argument de cinéma.
Ouest France
Si on est moins convaincu par l'histoire d'épidémie qui se greffe au scénario, le Prix de la critique obtenu à Deauville est justifié.
Positif
(Un) premier film au mini-budget et à l'énergie vraie.
Première
Peu de dialogues ici. La mise en scène est avant tout sensorielle, immersive, grâce à un travail méticuleux de spatialisation aussi bien sonore (...) que visuelle (...).
Voici
Un film sombre, singulier, voire radical dans sa forme.
L'Humanité
Il y a de la grâce dans ce film, mais les numéros de danse sont finalement un peu succincts.
Le Journal du Dimanche
À la lisière du fantastique, ce récit initiatique et métaphorique, quasiment dépourvu de dialogues, vaut pour sa mise en scène épurée pleine de grâce et de délicatesse, sans oublier l’interprète principale, Royalty Hightower, au charisme fou. De quoi largement compenser un scénario un peu répétitif.
Studio Ciné Live
Par sa mise en scène où le mouvement et les expressions priment sur les dialogues, la réalisatrice fait entrer le spectateur dans la tête et le coeur de Toni - interprétée par la magnétique Royalty Hightower - et raconte, par des métaphores plus ou moins subtiles, ce que c'est que de grandir et de découvrir sa personnalité.
Télérama
Le résultat est élégant, mais trop ténu et allusif pour séduire pleinement.
Le Dauphiné Libéré
Un récit qui s’attache à un personnage qui parvient, à force de ténacité, à son but ; mais la réalisation est plutôt confuse, la danseuse plutôt empruntée et la légèreté plutôt pesante.