Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Narratrice omnipotente et malicieuse, aussi lunaire que terrienne, Laurie Anderson se livre à cœur ouvert dans un film aux mille vertus.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Illustratrice littérale, Anderson multiplie les nuages, les pluies, les brouillards et les phosphènes d’un cinéma intérieur (elle dit : « le cinéma du prisonnier ») où la fluidité des figures, passant d’archives en animation, de silhouettes de banque d’images en aplats abstraits, répond à celle de la tristesse. Et si toutes les tristesses ne peuvent nous toucher, certaines images, elles, le peuvent.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un envoûtant travail expérimental qui mêle harmonieusement l’introspection et l’exploration graphique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Évoquant les souvenirs de sa chienne disparue, l’artiste Laurie Anderson convoque la mémoire des absents (dont son mari Lou Reed) dans un film qui mêle l’intime et le politique, le visible et l’invisible. Une élégie inclassable à la mélancolie hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
La Croix
par Nathalie Lacube
Derrière le projet déroutant de consacrer un film entier à sa chienne décédée, l’artiste américaine avant-gardiste Laurie Anderson réussit à captiver l’attention et à émouvoir par la beauté plastique et l’onirisme de son œuvre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Cette façon de relier trivialité intime et problématiques globales, comme les deux extrémités d’un monde devenu indéchiffrable et comme seule forme possible du récit de ce monde, confère une force poétique toute contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Denitza Bantcheva
La façon de mélanger des événements privés et publics, toujours surprenante, fait partie des réussites du film, comme les sauts imprévisibles d'une époque à l'autre [...]. En revanche, les vidéos montrant Lolabelle en train de "peindre" ou de "faire de la musique" [...] frisent le ridicule.
Télérama
par Frédéric Strauss
Entre grâce et bizarrerie, ce film qui aurait pu donner lieu à une installation dans un musée se révèle très attachant. Mais frustrant aussi, car la confession intime y trouve des limites (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Murielle Joudet
Volontairement décousu et hétérogène, le film finit par égarer, malgré le portrait d’une femme chaleureuse et sensible qu’il dessine, faute d’audace formelle ou d’un soupçon de folie.
Libération
par Marcos Uzal
On peut plus probablement osciller entre vague hypnose et léger agacement, tendresse pour le côté intime et expérimental de l’objet et perplexité face à son discours abscons et sa laideur plastique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Culturopoing.com
Narratrice omnipotente et malicieuse, aussi lunaire que terrienne, Laurie Anderson se livre à cœur ouvert dans un film aux mille vertus.
Cahiers du Cinéma
Illustratrice littérale, Anderson multiplie les nuages, les pluies, les brouillards et les phosphènes d’un cinéma intérieur (elle dit : « le cinéma du prisonnier ») où la fluidité des figures, passant d’archives en animation, de silhouettes de banque d’images en aplats abstraits, répond à celle de la tristesse. Et si toutes les tristesses ne peuvent nous toucher, certaines images, elles, le peuvent.
L'Humanité
Un envoûtant travail expérimental qui mêle harmonieusement l’introspection et l’exploration graphique.
Les Fiches du Cinéma
Évoquant les souvenirs de sa chienne disparue, l’artiste Laurie Anderson convoque la mémoire des absents (dont son mari Lou Reed) dans un film qui mêle l’intime et le politique, le visible et l’invisible. Une élégie inclassable à la mélancolie hypnotique.
La Croix
Derrière le projet déroutant de consacrer un film entier à sa chienne décédée, l’artiste américaine avant-gardiste Laurie Anderson réussit à captiver l’attention et à émouvoir par la beauté plastique et l’onirisme de son œuvre.
Les Inrockuptibles
Cette façon de relier trivialité intime et problématiques globales, comme les deux extrémités d’un monde devenu indéchiffrable et comme seule forme possible du récit de ce monde, confère une force poétique toute contemporaine.
Positif
La façon de mélanger des événements privés et publics, toujours surprenante, fait partie des réussites du film, comme les sauts imprévisibles d'une époque à l'autre [...]. En revanche, les vidéos montrant Lolabelle en train de "peindre" ou de "faire de la musique" [...] frisent le ridicule.
Télérama
Entre grâce et bizarrerie, ce film qui aurait pu donner lieu à une installation dans un musée se révèle très attachant. Mais frustrant aussi, car la confession intime y trouve des limites (...).
Le Monde
Volontairement décousu et hétérogène, le film finit par égarer, malgré le portrait d’une femme chaleureuse et sensible qu’il dessine, faute d’audace formelle ou d’un soupçon de folie.
Libération
On peut plus probablement osciller entre vague hypnose et léger agacement, tendresse pour le côté intime et expérimental de l’objet et perplexité face à son discours abscons et sa laideur plastique.