Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
La capacité de Skolimowski à explorer les frontières entre narration et abstraction, la rigueur avec laquelle il mêle son expérience d'artisan et un goût constant pour la modernité, donnent à "11 minutes" le caractère d'urgence d'un film de jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
Obsédé par les embardées poétiques de la vie quotidienne, Skolimowski est un graphiste accompli : chaque cadre, chaque ligne, chaque perspective de "11 Minutes" est filmé au rasoir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Un film sur la survie, tout en urgence et en sensations élémentaires, peur, froid, faim… Hors des sentiers battus, Skolimowski reste un essentiel outsider.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
Habillé comme un thriller, d’une grande virtuosité narrative, le film maintient une tension dramatique constante jusqu’à sa résolution explosive et absurde.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Il est quoi qu’il en soit patent que 11 minutes ne fait rien de rien pour paraître sympathique. Il se pourrait même qu’il soit l’expression d’une misanthropie achevée et assumée sans vergogne. (…) Et c’est, en même temps, ce qui le sauve et fonde sa singularité : une beauté froide, gênante, cruelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
On assiste à une apocalypse miniature, où des êtres perdus d’avance se vident sous nos yeux de leurs derniers soubresauts d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gérard Delorme
On peut y voir une célébration de la funeste beauté du hasard, du chaos, et des connexions universelles dont on a parfois l'intuition lorsque la dopamine libérée ouvre les portes de la perception. Le film produit le même effet par la seule force des images, de leur mouvement et des stridences sonores qui les accompagnent.
aVoir-aLire.com
par Maxime Lachaud
Skolimowski capte les mouvements, les espaces et les corps comme jamais avec cette œuvre au rythme effréné.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Marie Gueden
C’est peut-être un arsenal trop savamment élaboré pour si peu en réalité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cet enchevêtrement virtuose de chassés-croisés dans Varsovie ressemble plus à l’œuvre d’un jeune cinéaste ambitieux qu’à celle d’un vétéran. Rien de classique dans cette élucubration formaliste et risquée, limite expérimentale. Skolimowski nous étonne toujours.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Affranchi des contraintes classiques de la narration, Jerzy Skolimowski fait converger des intrigues sans lien vers une chute virtuose qui peut laisser admiratif ou dubitatif.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Onze minutes au bout desquelles onze destins basculent de manière catastrophique. Après le stupéfiant morceau de bravoure final, méditons sur cette pensée exprimée par le fameux réalisateur de Deep End : "On ne comprend que la vie est précieuse que lorsqu’on la perd. Alors faisons-en le meilleur usage possible tant que nous sommes vivants."
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un exercide de style dont la réalisation virtuose écrase un scénario capillotracté.
Télérama
par Jacques Morice
Le suspense est entretenu jusqu'à une catastrophe annoncée. Mais comparé à Essential Killing, le nouveau film du franc-tireur Jerzy Skolimovski ressemble à un exercice de style daté : on dirait du « vieux moderne ».
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Pour atteindre à l'incandescence poétique, il manque par trop à "11 minutes" la rigueur dans l'épure et la force d'incarnation (...).
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Un film en forme de vanité encore plus vaniteuse que les spécimens qu’elle entend épingler.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le réalisateur polonais, que l’on a connu plus inspiré, livre un pensum vain, prétentieux et clinquant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Culturopoing.com
La capacité de Skolimowski à explorer les frontières entre narration et abstraction, la rigueur avec laquelle il mêle son expérience d'artisan et un goût constant pour la modernité, donnent à "11 minutes" le caractère d'urgence d'un film de jeunesse.
L'Obs
Obsédé par les embardées poétiques de la vie quotidienne, Skolimowski est un graphiste accompli : chaque cadre, chaque ligne, chaque perspective de "11 Minutes" est filmé au rasoir.
Le Figaroscope
Un film sur la survie, tout en urgence et en sensations élémentaires, peur, froid, faim… Hors des sentiers battus, Skolimowski reste un essentiel outsider.
Les Fiches du Cinéma
Habillé comme un thriller, d’une grande virtuosité narrative, le film maintient une tension dramatique constante jusqu’à sa résolution explosive et absurde.
Les Inrockuptibles
Il est quoi qu’il en soit patent que 11 minutes ne fait rien de rien pour paraître sympathique. Il se pourrait même qu’il soit l’expression d’une misanthropie achevée et assumée sans vergogne. (…) Et c’est, en même temps, ce qui le sauve et fonde sa singularité : une beauté froide, gênante, cruelle.
Libération
On assiste à une apocalypse miniature, où des êtres perdus d’avance se vident sous nos yeux de leurs derniers soubresauts d’humanité.
Première
On peut y voir une célébration de la funeste beauté du hasard, du chaos, et des connexions universelles dont on a parfois l'intuition lorsque la dopamine libérée ouvre les portes de la perception. Le film produit le même effet par la seule force des images, de leur mouvement et des stridences sonores qui les accompagnent.
aVoir-aLire.com
Skolimowski capte les mouvements, les espaces et les corps comme jamais avec cette œuvre au rythme effréné.
Critikat.com
C’est peut-être un arsenal trop savamment élaboré pour si peu en réalité.
L'Humanité
Cet enchevêtrement virtuose de chassés-croisés dans Varsovie ressemble plus à l’œuvre d’un jeune cinéaste ambitieux qu’à celle d’un vétéran. Rien de classique dans cette élucubration formaliste et risquée, limite expérimentale. Skolimowski nous étonne toujours.
La Croix
Affranchi des contraintes classiques de la narration, Jerzy Skolimowski fait converger des intrigues sans lien vers une chute virtuose qui peut laisser admiratif ou dubitatif.
La Voix du Nord
Onze minutes au bout desquelles onze destins basculent de manière catastrophique. Après le stupéfiant morceau de bravoure final, méditons sur cette pensée exprimée par le fameux réalisateur de Deep End : "On ne comprend que la vie est précieuse que lorsqu’on la perd. Alors faisons-en le meilleur usage possible tant que nous sommes vivants."
Studio Ciné Live
Un exercide de style dont la réalisation virtuose écrase un scénario capillotracté.
Télérama
Le suspense est entretenu jusqu'à une catastrophe annoncée. Mais comparé à Essential Killing, le nouveau film du franc-tireur Jerzy Skolimovski ressemble à un exercice de style daté : on dirait du « vieux moderne ».
Positif
Pour atteindre à l'incandescence poétique, il manque par trop à "11 minutes" la rigueur dans l'épure et la force d'incarnation (...).
Cahiers du Cinéma
Un film en forme de vanité encore plus vaniteuse que les spécimens qu’elle entend épingler.
Le Monde
Le réalisateur polonais, que l’on a connu plus inspiré, livre un pensum vain, prétentieux et clinquant.