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    Les Amants de Caracas
    Note moyenne
    2,5
    10 titres de presse
    • Metro
    • Transfuge
    • La Voix du Nord
    • Studio Ciné Live
    • Télérama
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Monde
    • Cahiers du Cinéma
    • Positif

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    10 critiques presse

    Metro

    par Mehdi Omaïs

    Il fallait toute la retenue du monde pour duper la complaisance et trouver le ton juste qui siérait le mieux à ce récit coupant, sec, impitoyable.

    La critique complète est disponible sur le site Metro

    Transfuge

    par Damien Aubel

    Puissance du désir rapprochant les atomes humains les uns vers les autres.

    La Voix du Nord

    par Philippe Lagouche

    Le twist final rachète les errements d’un scénario jouant sur le malaise et le mal-être.

    Studio Ciné Live

    par Laurent Dijan

    (...) malgré un côté provoc gratuite, cet "Eastern Boys" vénézuélien suscite le trouble et continue d'infuser après la projection.

    Télérama

    par Louis Guichard

    Sur un thème qui rappelle parfois le remarquable "Eastern Boys", de Robin Campillo, ce premier film n'évite pas les maladresses.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    Un film à la lenteur éprouvante, sur le sexe et la solitude, qui vaut surtout par l’intensité du jeu entre les deux protagonistes.

    Le Journal du Dimanche

    par Barbara Théate

    Une chronique austère entre fascination et ennui, qui révèle son suspense dans les dernières minutes. Dommage.

    Le Monde

    par Jacques Mandelbaum

    Ici martelée non sans une certaine complaisance, la dialectique du maître et de l’esclave, chère au cinéma latino- américain, ne casse pas des briques.

    Cahiers du Cinéma

    par Jean-Philippe Tessé

    Lorenzo Vigas a attendu d’avoir 48 ans pour faire son premier long métrage, et aussitôt il fait comme les copains, le même cinéma sinistre et formaté, en bon petit soldat de l’Internationale festivalière.

    Positif

    par Vincent Thabourey

    L'oeuvre s'avère terriblement complaisante tout en affichant un mépris narquois vis-à-vis de ses personnages. Le seul vrai mystère de ce film réside dans son couronnement vénitien avec l'attribution du Lion d'Or en 2015.

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