Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
CNews
par La rédaction
"La mort de Staline", comédie sur la perversité et l’absurdité d’un régime totalitaire en pleine démence, est interprété par un casting choral au diapason. Iannucci témoigne d’une science certaine pour provoquer le rire nerveux.
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
C’est cet équilibre dans l’absurdité des comportements provoqué par un contexte sinistre qu’Armando Iannucci parvient à trouver. Il est aidé d’un casting brillant allant de Steve Buscemi à Jeffrey Tambor en passant par Michael Palin et l’inconnu mais immanquable Simon Russell Beale.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un jeu de dupes jubilatoire.
L'Express
par Eric Libiot
Acteurs magnifiques (Steve Buscemi, en tête), récit fluide, scénario acide, esthétique au vitriol.
L'Obs
par François Forestier
"la Mort de Staline", hilarante et dérangeante comédie acide, est à la fois une superbe caricature de l'un des régimes les plus meurtriers du monde, mais aussi une cartographie des futures possibilités d'un coup d'Etat.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Les acteurs de la tragicomédie sont tous là, avec toute la vérité hilarante de la caricature, dans des jeux de pouvoir dont le machiavélisme a quelque chose de shakespearien.
Le Figaro
par La Rédaction
Le film, qui s'inspire d'une bande dessinée française, possède un humour noir terriblement british, un sens de la farce qu'on n'avait pas vu depuis les Monty Python.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Une satire politique hilarante, mêlant absurde et burlesque, servie par un casting brillant et qui évoque aussi avec intelligence le climat de terreur qui régnait alors en URSS.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Florence Colombani
Au-delà de son humour grinçant et du jeu déchaîné des comédiens, le film d’Armando Iannucci rappelle avec sobriété la monstruosité d’un régime paranoïaque et sanguinaire.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Sous couvert de dialogues mordants et d’humour noir, "La Mort de Staline" n’en est que plus glaçant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier de Bruyn
Les comédiens sont remarquables.
Télérama
par Samuel Douhaire
Les joutes verbales, à la fois très littéraires et très crues, sont la marque de fabrique d’Armando Iannucci. Il leur ajoute, ici, un vrai sens du burlesque grâce au fils taré de Staline, un général d’opérette alcoolique et imprévisible qui fait basculer le film dans l’univers des Marx (Brothers, pas Karl).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Enlevé et finement écrit, le film respecte le ton de la BD tout en rehaussant le récit de répliques bien senties et de nouvelles anecdotes.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Lâchez le tout dans un panier de crabes soviétiques, saupoudrez abondamment de détails sordides et extravagants tels que seule une dictature aussi démente que celle-ci peut en produire, et vous obtenez un film ubuesque, où l’on complote, tremble et torture à tous les étages.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Une parodie ambiguë, où le premier cercle soviétique (Khrouchtchev, Beria ...), (...) n'a aucune difficulté à nous faire rire des crimes du régime, mais laisse toujours derrière lui un étrange fumet d'amertume.
Paris Match
par Yannick Vely
Alors, bien sûr le résultat n’est peut-être pas à la hauteur des ambitions historiques – on est plus proche de la comédie de boulevard que de "Taurus" d’Alexander Sokourov. "La Mort de Staline" a néanmoins le grand mérite de nous sortir du train-train de la comédie télévisuelle que le cinéma français nous offre trop souvent.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
S’il débute sur le registre de la comédie, La Mort de Staline prend de plus en plus d’ampleur dramatique au fil d’un scénario rondement mené.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
(...) on rit autant que l'on frémit. Mais tout est si bien dit en trente minutes que la suite, aussi cocasse soit-elle, n'est que répétition.
Critikat.com
par Laetitia Scherier
Au mieux une farce sur fond politicien avec quelques gags bien sentis et une touche d’humour noir, mais assurément pas la satire redoutable qu’on aurait pu espérer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Didier Péron
S’inspirant d’une BD française, le Britannique Armando Iannucci accouche d’une satire dont les gags sonnent faux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Vincent Thabourey
On sourit parfois mais on s'agace souvent devant un tel déluge de pitreries.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cette satire du stalinisme tirée d’une BD dit-on documentée fait d’ailleurs penser aux comédies des Python. Hélas, cela ne fonctionne pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Première
par Sylvestre Picard
Chaque blague est répétée et/ou expliquée plusieurs fois (exemple de dialogue : « couille de chameau ! Tu as compris ? Je dis ça parce que tu ressembles à une couille de chameau »), ce qui a l'air d'amuser beaucoup les acteurs. Pas nous.
La critique complète est disponible sur le site Première
CNews
"La mort de Staline", comédie sur la perversité et l’absurdité d’un régime totalitaire en pleine démence, est interprété par un casting choral au diapason. Iannucci témoigne d’une science certaine pour provoquer le rire nerveux.
CinemaTeaser
C’est cet équilibre dans l’absurdité des comportements provoqué par un contexte sinistre qu’Armando Iannucci parvient à trouver. Il est aidé d’un casting brillant allant de Steve Buscemi à Jeffrey Tambor en passant par Michael Palin et l’inconnu mais immanquable Simon Russell Beale.
Femme Actuelle
Un jeu de dupes jubilatoire.
L'Express
Acteurs magnifiques (Steve Buscemi, en tête), récit fluide, scénario acide, esthétique au vitriol.
L'Obs
"la Mort de Staline", hilarante et dérangeante comédie acide, est à la fois une superbe caricature de l'un des régimes les plus meurtriers du monde, mais aussi une cartographie des futures possibilités d'un coup d'Etat.
Le Dauphiné Libéré
Les acteurs de la tragicomédie sont tous là, avec toute la vérité hilarante de la caricature, dans des jeux de pouvoir dont le machiavélisme a quelque chose de shakespearien.
Le Figaro
Le film, qui s'inspire d'une bande dessinée française, possède un humour noir terriblement british, un sens de la farce qu'on n'avait pas vu depuis les Monty Python.
Le Parisien
Une satire politique hilarante, mêlant absurde et burlesque, servie par un casting brillant et qui évoque aussi avec intelligence le climat de terreur qui régnait alors en URSS.
Le Point
Au-delà de son humour grinçant et du jeu déchaîné des comédiens, le film d’Armando Iannucci rappelle avec sobriété la monstruosité d’un régime paranoïaque et sanguinaire.
Les Fiches du Cinéma
Sous couvert de dialogues mordants et d’humour noir, "La Mort de Staline" n’en est que plus glaçant.
Marianne
Les comédiens sont remarquables.
Télérama
Les joutes verbales, à la fois très littéraires et très crues, sont la marque de fabrique d’Armando Iannucci. Il leur ajoute, ici, un vrai sens du burlesque grâce au fils taré de Staline, un général d’opérette alcoolique et imprévisible qui fait basculer le film dans l’univers des Marx (Brothers, pas Karl).
Le Journal du Dimanche
Enlevé et finement écrit, le film respecte le ton de la BD tout en rehaussant le récit de répliques bien senties et de nouvelles anecdotes.
Le Monde
Lâchez le tout dans un panier de crabes soviétiques, saupoudrez abondamment de détails sordides et extravagants tels que seule une dictature aussi démente que celle-ci peut en produire, et vous obtenez un film ubuesque, où l’on complote, tremble et torture à tous les étages.
Les Inrockuptibles
Une parodie ambiguë, où le premier cercle soviétique (Khrouchtchev, Beria ...), (...) n'a aucune difficulté à nous faire rire des crimes du régime, mais laisse toujours derrière lui un étrange fumet d'amertume.
Paris Match
Alors, bien sûr le résultat n’est peut-être pas à la hauteur des ambitions historiques – on est plus proche de la comédie de boulevard que de "Taurus" d’Alexander Sokourov. "La Mort de Staline" a néanmoins le grand mérite de nous sortir du train-train de la comédie télévisuelle que le cinéma français nous offre trop souvent.
Rolling Stone
S’il débute sur le registre de la comédie, La Mort de Staline prend de plus en plus d’ampleur dramatique au fil d’un scénario rondement mené.
Télé 7 Jours
(...) on rit autant que l'on frémit. Mais tout est si bien dit en trente minutes que la suite, aussi cocasse soit-elle, n'est que répétition.
Critikat.com
Au mieux une farce sur fond politicien avec quelques gags bien sentis et une touche d’humour noir, mais assurément pas la satire redoutable qu’on aurait pu espérer.
Libération
S’inspirant d’une BD française, le Britannique Armando Iannucci accouche d’une satire dont les gags sonnent faux.
Positif
On sourit parfois mais on s'agace souvent devant un tel déluge de pitreries.
L'Humanité
Cette satire du stalinisme tirée d’une BD dit-on documentée fait d’ailleurs penser aux comédies des Python. Hélas, cela ne fonctionne pas.
Première
Chaque blague est répétée et/ou expliquée plusieurs fois (exemple de dialogue : « couille de chameau ! Tu as compris ? Je dis ça parce que tu ressembles à une couille de chameau »), ce qui a l'air d'amuser beaucoup les acteurs. Pas nous.