Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Transfuge
par Sidy Sakho
La poésie de Iosseliani est la plus lucide qui soit.
Positif
par Jean A. Gili
Ce chant pour toutes les saisons résonne juste, et si parfois les notes se font stridentes ou inaudibles, c'est pour mieux nous tenir éveillés face à un monde toujours plus indéchiffrable.
Télérama
par Pierre Murat
Chant d'hiver emprunte son titre à une chanson géorgienne : « C'est l'hiver, ça va mal, les fleurs sont fanées, mais rien ne nous empêche de chanter. » C'est la morale de ce film léger et fou : si la mélancolie s'y introduit, par inadvertance, elle est aussitôt désamorcée par un gag de dessin animé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Marie Gueden
Tout sémillant et tout inégal que soit ce "Chant d’hiver", Iosseliani nous rappelle que le cinéma peut être à la fois un lieu d’imagination, un art de la coupe qui est une arme tranchante, un art servant à la circulation des espaces-temps et à la conservation – un théâtre utopique, un théâtre communautaire, un théâtre de la révolution, un théâtre anachronique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
Le grand cinéaste fait fi des modes, des diktats de la pensée et de la narration. Avec une élégance crane et insurrectionnelle qui galvanise.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Un film poétique décousu et irrévérencieux qui lasse parfois par son absence de logique narrative.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le cinéma de Iosseliani ne change pas mais on y prend toujours autant de plaisir un brin mélancolique. Sa nonchalance est sa gravité.
Libération
par Clément Ghys
Cette drôlerie, à laquelle on peut être parfois complètement étanche, surtout au regard de la filmographie passée du même Iosseliani et du panthéon qu’il convoque (Tati, Etaix…), va aussi avec une dimension satirique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Si cette fable sociale fourmille de trouvailles, son absence de logique narrative lasse un peu.
TF1 News
par Romain Le Vern
Si on veut bien prendre son temps avec lui (et accepter de s'y ennuyer aussi un peu), son "Chant d'hiver" provoque une douce et agréable euphorie.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
La Croix
par La Rédaction
Le cinéaste géorgien revient avec un film déconcertant où il multiplie les univers et les vignettes.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un univers composite et décalé a priori appréciable, toujours relié au muet et à Jacques Tati. Pourtant, faute de résolution et d’énergie dans le jeu des acteurs, il finit par décevoir et laisser l’impression d’avancer bien paresseusement.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Si l'écriture n'a rien perdu de son charme inactuel ni de sa virtuosité, certains motifs ont fini par virer à l'étalage poétisant.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Aussi actuelle qu’elle soit, cette parabole de l’absurdité du monde moderne donne une impression de déjà-vu.
Transfuge
La poésie de Iosseliani est la plus lucide qui soit.
Positif
Ce chant pour toutes les saisons résonne juste, et si parfois les notes se font stridentes ou inaudibles, c'est pour mieux nous tenir éveillés face à un monde toujours plus indéchiffrable.
Télérama
Chant d'hiver emprunte son titre à une chanson géorgienne : « C'est l'hiver, ça va mal, les fleurs sont fanées, mais rien ne nous empêche de chanter. » C'est la morale de ce film léger et fou : si la mélancolie s'y introduit, par inadvertance, elle est aussitôt désamorcée par un gag de dessin animé.
Critikat.com
Tout sémillant et tout inégal que soit ce "Chant d’hiver", Iosseliani nous rappelle que le cinéma peut être à la fois un lieu d’imagination, un art de la coupe qui est une arme tranchante, un art servant à la circulation des espaces-temps et à la conservation – un théâtre utopique, un théâtre communautaire, un théâtre de la révolution, un théâtre anachronique.
Culturopoing.com
Le grand cinéaste fait fi des modes, des diktats de la pensée et de la narration. Avec une élégance crane et insurrectionnelle qui galvanise.
Franceinfo Culture
Un film poétique décousu et irrévérencieux qui lasse parfois par son absence de logique narrative.
Les Inrockuptibles
Le cinéma de Iosseliani ne change pas mais on y prend toujours autant de plaisir un brin mélancolique. Sa nonchalance est sa gravité.
Libération
Cette drôlerie, à laquelle on peut être parfois complètement étanche, surtout au regard de la filmographie passée du même Iosseliani et du panthéon qu’il convoque (Tati, Etaix…), va aussi avec une dimension satirique.
Studio Ciné Live
Si cette fable sociale fourmille de trouvailles, son absence de logique narrative lasse un peu.
TF1 News
Si on veut bien prendre son temps avec lui (et accepter de s'y ennuyer aussi un peu), son "Chant d'hiver" provoque une douce et agréable euphorie.
La Croix
Le cinéaste géorgien revient avec un film déconcertant où il multiplie les univers et les vignettes.
Le Journal du Dimanche
Un univers composite et décalé a priori appréciable, toujours relié au muet et à Jacques Tati. Pourtant, faute de résolution et d’énergie dans le jeu des acteurs, il finit par décevoir et laisser l’impression d’avancer bien paresseusement.
Le Monde
Si l'écriture n'a rien perdu de son charme inactuel ni de sa virtuosité, certains motifs ont fini par virer à l'étalage poétisant.
Cahiers du Cinéma
Aussi actuelle qu’elle soit, cette parabole de l’absurdité du monde moderne donne une impression de déjà-vu.