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tomPSGcinema
765 abonnés
3 323 critiques
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2,0
Publiée le 27 octobre 2018
Malgré un dernier acte réussi, la présence d'un bon casting et d'une bande-son assez efficace par moment, on ne peut pas dire que "Baba Yaga" soit une franche réussite dans le genre. Ce film d'horreur n'arrive en effet malheureusement que très rarement à nous proposer des moments angoissants, la faute à une mise en scène beaucoup trop académique et conventionnelle et aussi par rapport à l'entité démoniaque que l'on ne voit pas suffisamment à l'écran. Dommage, car l'intrigue de départ qui fait penser à un mélange de "Candyman" et de "Conjuring" laissait entrevoir un film bien plus efficace.
Comment peut on mettre une sale note a ce film qui est excellent,qui fait vien flipper.certaines scenes sont un peu mal faites mais vite oublier grace a l'ambiance
Le film a un "je ne sais quoi" qui arrive à nous prendre, certes, tout n'est que ressassé des films de ce genre, peu ou pas de nouveauté, mais l'ambiance est là, les frissons arrivent tout de même à être présent, et la relation mère-fille rajoute au drame. Certes la fin pourrait être plus soigné, l'antre de la sorcière moins caricatural, mais le tout se tient, il y a bien pire en la matière.
Cette baba yaga n'est qu'une farce puisque ce film reprend grossièrement les codes des films du genre et ça on le comprend de le premier quart d'heure. La musique bardée de violons et de sois disant suspens à outrance finit par énerver car elle ne fait que camoufler un scénario bien plat (toc toc qui est là ?) et des personnages sans charisme. Toutes les ficelles archi connues sont mise en place pour tenter de faire peur mais rien n'effraie , toc toc.. si tu frappes deux fois , elle viendra te hanter..ouais tu parles.... Les actions sont téléphonés, prévisibles, on s'ennuie ferme.
Ce film, réalisé par Caradog W. James et sorti en 2016 au Royaume-Uni, est franchement très mauvais. Je n'en suis pas surpris pour pourtant mais malgré les mauvaises critiques, j'avais tout de mêmes quelques espoirs. C'est donc ici l'histoire d'une ado qui est persuadée d'être touchée par la malédiction de la sorcière Baba Yaga. Ce personnage du folklore russe aurait pourtant pu être très intéressant car il est très peu utilisé au cinéma. Mais malheureusement, le film ne se sert que de l'aspect horrifique du personnage avec tous les clichés qui vont avec. Ce que je veux dire par là, c'est que cela aurait pu être n'importe quelle autre sorcière, nous aurions eu le même résultat. Le film ne fait finalement pas l'effort d'aller au fond des choses et de, par exemple, nous présenter l'origine du personnage. Non, au lieu de ça, nous avons une enquête plus que classique menée par la mère de la jeune héroïne qui, si elle n'est pas spécialement prévisible (il faut dire que je ne suis pas resté concentrer sur l'intrigue bien longtemps) est tout de même très clichée et ne nous offre aucune surprise. Les relations entre les personnages sont elles aussi très clichées car les personnages sont tout d'abord stéréotypés et puis ce genre de relation mère/fille a déjà été utilisée maintes et maintes fois au cinéma. La mise en scène n'est pas non plus exceptionnelle, tout est très classique et nous avons de plus quelques fois un montage assez aléatoire nous offrant des plans parfois incompréhensibles, notamment des zooms, des gros plans etc. qui n'ont à priori rien à faire là. En ce qui concerne les acteurs, nous retiendrons surtout Lucy Boynton qui ne s'en sort à la limite pas trop mal, Katee Sackhoff étant quant à elle constamment dans le surjeu. "Baba Yaga" est donc un film d'horreur bien classique qui est très vite oubliable.
Franchement, j'ai vraiment cru que je tenais LE film d'horreur de l'année ! Le scénario, classique et solide, raconte une flippante histoire de fantôme qui tient carrément la route, d'autant que le suspense est également bien présent. En effet, la tension monte peu à peu pendant les deux tiers du film pour trouver son apogée avec l'apparition de cette effrayante sorcière qui m'a fichu la chair de poule comme rarement. J'en profite d'ailleurs pour signaler l'excellente qualité des effets spéciaux, qui sont discrets mais qui remplissent efficacement leur rôle. Même les actrices y mettent du leur en nous épargnant les hurlements décérébrés des habituelles « cruches de service », pour nous offrir un jeu tout à fait correct. Puis, soudain, sans prévenir, le réalisateur « pète un câble » et fait dévier son intrigue vers une mortelle histoire de possession, sans intérêt et déjà vue 1000 fois. Du coup, tout est remis en question, la tension s'effondre, notre patience aussi et la fin est juste calamiteuse ! Je n'ai jamais vu un sabordage aussi parfait et je ne comprends pas ce que M. Caradog W. James a voulu prouver en massacrant ainsi le dernier tiers de son film qui s'annonçait pourtant comme un must. C'est totalement incompréhensible, si quelqu'un trouve une explication qu'il la donne. Moi, je passe mon tour !
Film d’horreur correct, disposant d’une histoire usuelle et d’un développement familier. Il n’y a donc rien de fondamentalement nouveau dans ce métrage.
Le rythme est bien orchestré et les jump scares sont, certes classiques, mais particulièrement efficaces pour certains. La distribution offre d’honorables prestations sans pour autant rendre les personnages particulièrement attachants. L’ensemble se laisse regarder et offre finalement un divertissement plaisant, malgré certaines incohérences et autres questions sans réponses.
Avis Bref ; Que dire de "Baba Yaga" ? Bah pas grand chose .. comme ce que nous propose le film. Une ouverture qui commence assez bien mais le film fini par très vite se dessaisir et subsisté au néant. Perte de temps et sans aucun intérêt et quelques détails sont vraiment de trop.. Pourtant sa paraît tellement simple de faire des choses sympa sur les sorcières mais croyez que non.. Enfin bref, une belle daube.
Un film qui lorgne plus vers le drame relationnel entre une mère et sa fille que le film d'épouvante avec sa créature difforme qui recherche des âmes pour le dîner.
Loin d’être un incontournable, « Don’t knowk twice » propose un beau mix de tout ce qu’on a déjà vu ici. Dans sa réalisation de Caradog W. James, fait dans le net et précis et parviendra peut-être à combler certains amateurs de flippe. Néanmoins, il risque de laisser les autres devant un constat alarmant : quand aurons-nous du neuf à nous mettre sous la dent en matière d’horreur… ?
Connaissant la légende et étant friand de ce genre d'histoire, j'ai été intrigué par ce film. Malheureusement, il s'agit d'un film qui mise beaucoup sur une ambiance particulière, trop plate et insipide à mon goût. La fin est bien et surprenante mais on s'endort un peu pendant le reste du temps, car nous n'avons que trop peu peur. Et la méchante tombe trop dans le cliché (cheveux noirs et longs, membres désarticulés, minceur squelettique...)
Le principal écueil du cinéma d’épouvante contemporain se tient dans la conviction que le monstre fera le film. Il est d’ailleurs amusant de constater que cet écueil – qui atteste la facilité croissante avec laquelle donner vie à des images numériques – s’oppose à la difficulté que rencontraient les productions horrifiques plus anciennes, difficulté liée à l’exhibition d’un corps costumé ou d’une bête-machine dont l’animation s’avérait périlleuse. Jadis on montrait moins pour suggérer davantage, la peur se construisant ainsi dans la durée, jusqu’à la confrontation finale avec la chose sortie de l’ombre. Aujourd’hui c’est l’inverse : on tend à reléguer la structure dramatique au dernier rang pour asseoir devant elle le frisson facile. Baba Yaga a en effet une créature, une terrible créature à mi-chemin entre la sorcière et l’araignée. Le souci est qu’elle se manifeste par une série de jump scare insupportables qui ne participent nullement à l’immersion du spectateur dans l’univers déployé mais brise une immersion déjà affaiblie par une écriture médiocre des personnages. La relation entre la mère et la fille ne prend jamais l’épaisseur nécessaire et se révèle vite prétexte à une juxtaposition d’apparitions spectrales. De même, les arcs narratifs peinent à coïncider les uns avec les autres. Des pièces d’un puzzle sont jetées en vrac mais, une fois mises côte à côte, ne forment pas un tout homogène. Pourtant, reconnaissons deux qualités au long-métrage : d’une part sa bande originale axée sur la répétition d’un court motif terrifiant que l’on suppose joué au didgeridoo (bien que nous ne puissions en avoir la certitude, la composition n’étant pas éditée…) ; d’autre part certaines scènes horrifiques qui orchestrent avec talent un crescendo traumatique, comme la disparition de Danny ou la clausule. Baba Yaga emprunte beaucoup à Jusqu’en Enfer de Sam Raimi, ne dispose cependant ni du propos ni du savoir-faire de son aîné. Reste un divertissement correct qui garantit quelques sueurs froides.
Ce film m'a laissé une impression bizarre : j'ai bien aimé, il y a vraiment de bons trucs, la légende, la poursuite du "démon", .... A côté de ça c'est sûr le scénario n'est en rien original (une légende urbaine, une entité invoquée (oooops), comment la renvoyer dans son monde, ...) et l'histoire est un peu tordue.
On a regardé ce film entre potes. Mais quelle tranche de rire. C'est tellement mauvais qu'on a fini par faire des simulations de dialogues qui auraient pu passer et rendre le film ultra comique. Alors le Best est la scène au bout d'une heure ou le flic se la joue série américaine avec une mise en scène qui ne va pas avec le reste... Mais vous allez me dire, pourquoi dire the Best ? C'est tellement nul que le flic perd ses lunettes de soleil au raccord. Regardez entre 1h 20 s et 1h24s, les lunettes ont disparu. Même les monteurs du film ne croyaient plus au projet. J'aurais pu mettre 5 étoiles tant j'ai ri mais faut pas pousser mamie dans les orties non plus
Film que j'attendais avec une certaine impatience, c'est finalement déçue que je ressors du visionnage. Les quelques personnages rencontrés sont peu convaincants, peu attachants, et surtout peu crédibles dans leurs conclusions ou jugements hâtifs tout au long du film. Si l'on se retrouve très vite immergé au cœur de l'épouvante, celle-ci n'est malheureusement pas tant au rendez-vous que cela en dépit du potentiel qu'avait l'histoire. On notera toutefois une volonté de taper dans l'originalité (point positif que je tiens à souligner), mais intention mal exploitée puisque l'intrigue se retrouve bâclée, précipitée, dans sa dernière partie, et reste prévisible.