Papa ou maman 2 a réussi là où pas mal d’autres ont échoué: faire une suite mieux que le premier film ! Bon, le premier (sorti en février 2015) était sympa, mais il manquait de conviction ou de caractère surtout quand on joue sur le terrain de l’humour noir. Du coup, il y avait une bonne base mais aussi une belle marge de progression ! Celui-ci est plus intéressant, l’histoire est mieux construite, la relation plus complexe. Le duo Laurent Lafitte/Marina Foïs fonctionne très bien, les blagues sont plutôt bonnes certaines même très drôles, il manque encore un peu d’audace, de surprise, mais cette bataille à coup de répliques cinglantes qui sentent l’amour est agréable à suivre. On passe un bon moment et c’est l’essentiel !
plus drôle que le premier ? en tout cas , pour moi , plus lassant , plus répétitif , les éternels aller-et-retour entre amour et haine ne m 'amusent pas , la seule bonne idée , c ' est les deux maisons l ' une en face de l ' autre , belles maisons bien branchées d ' ailleurs , on est dans le beau monde ! jonathan cohen et sara giraudeau sont bien dans leur rôle et amènent un peu de " normalité " dans cet univers un tantinet déjanté !
En voilà une ingénieuse affiche qui résume un film bien construit , finement dialogué avec des trouvailles ici où là excellentes. Ah, bon! les auteurs sont ceux du parfaitissime "Le Prénom" on comprend donc pourquoi c'est une réussite. Alors, mais... WHY NOT un volet 3 qui ne serait point superfétatoire.
Un festival !!!! Vraiment la comédie à ne pas louper.... le tandem , Marina Foïs - Laurent Lafitte fonctionne à merveille, et c'est de l'humour pur jus, à tout instant, on se demande même si cela leur arrive d'être sérieux ! Il faut dire que le vie peut être compliquée quand on est divorcés avec 4 enfants, 2 chiens.... qu'on habite l'un en face de l'autre...et qu'on hésite en permanence entre jalousie, attirance méfiante, jeux de mots, jeux de mains, etc. C'est drôle comme une pièce de théâtre, les tirades sont cinglantes et le verbe est "haut" , tout en étant gorgé de fraîcheur et de spontanéité... !! Mention spéciale à Jonathan Cohen qui se fond dans cette série (si on peut dire, on verra... !!) comme un sucre dans le lait chaud.... Une très bonne idée de sortie avant ou pendant les fêtes !! **
j'ai vu le film en avant première, les acteurs sont très bon ! L'histoire est plutôt intéressante dans l'ensemble. On rigole assez souvent. Seul inconvénient il y a 2-3 passages trop long assez ennuyeux.. Cela reste un film sans prise de tête ou l'on passe un bon moment !
Fort du succès du premier volet il y a bientôt deux ans, le couple Foïs-Lafitte revient avec la même recette en invitant de nouveaux personnages. Il faut bien le dire, c'est bien, on rigole, les blagues sont drôles, les stéréotypes sont inversés et on ne s'ennuie pas. La réalisation est toujours aussi soignée. Les acteurs sont géniaux (Foïs et Lafitte sont tellement drôles). Bref, une bonne comédie. Mais bon, il va peut-être falloir s'arrêter là. On oublie le 3, hein?
J'avais moyennement aimé le premier volet, le trouvant trop "méchant". Cette suite est beaucoup mieux. Le fait qu'ils soient séparés et avec une autre personne chacun de leur côté, cela donne de savoureuses situations. Les enfants sont toujours au milieu de tout ça et l'histoire est bien rythmée. Voilà un très bon moment de divertissement.
Ce film est trop rapide et trop bâclé. On rigole moins que le premier mais ça fait plaisir de retrouver Marina Fois et Laurent Lafitte dans la suite qui est toujours complètement barré. Les seules points rafraîchissant et les notes positives sont les seconds rôles de Jonathan Cohen et (Edouard) et Sara Giraudeau (Béné)
L’excellente surprise comique qu’était « Papa ou maman » et le succès qui en a découlé appelait légitimement une suite. La voici avec toujours exactement la même équipe à la barre, de l’écriture à la production en passant par la réalisation et les comédiens. Et première bonne nouvelle, ce « Papa ou maman 2 » est tout aussi réussi que la mouture originale même si l’on rit peut-être un peu moins franchement ici que dans le premier épisode au postulat de base, il est vrai, imparable. Dans un sens tant mieux, car cette suite ne fonctionne plus sur les mêmes ressorts comiques et évite ainsi la redite, travers que les deux tiers des suites n’essaient même pas de contourner.
Le film reprend exactement deux ans après que le premier se soit arrêté et on a vraiment l’impression de continuer à suivre naturellement ces personnages et cette famille à la fois dysfonctionnelle, moderne et barrée. On prend beaucoup de plaisir à les retrouver et on rentre dans le film comme dans des chaussons bien chauds. Cette fois, le comique de situation est moins mis en avant au profit de dialogues encore plus piquants et drôles que dans le premier opus. Et ici c’est la jalousie véhiculée par les nouveaux conjoints respectifs des récemment divorcés Marina Foïs et Laurent Laffitte qui est au centre de l’intrigue. D’ailleurs Jonathan Cohen et Sara Giraudeau parviennent tout à fait à se faire une place pleine d’humour au milieu du rouleau compresseur comique qu’incarne le couple principal.
En effet, si l’effet de surprise est logiquement moins présent (mais le film sait cependant nous surprendre) et que le rire est plus jaune cette fois, ces deux là sont sacrément bien assortis et se révèlent des as de la comédie. Marina Foïs et sa tête de Droopy comme Laurent Laffitte et ses airs de grand benêt possèdent un tempo et une aura comique comme peu de leurs semblables peuvent se targuer d’avoir en France. Alliés à la précision de l’écriture, à un rythme en flux tendu toujours aussi roboratif et à une mise en scène énergique, ils font de cette suite un agréable moment de rire corrosif et gentiment méchant. A mille lieux de tous les standards lisses et interchangeables de la comédie française actuelle calibrée pour les prime-time de TF1 ou M6. On prend et on attend la suite !
Vraiment navrant. pauvre, tout sonne faux. Beaucoup d'énergie déployée pourtant, le jeu est bon mais ni le texte ni le scénario ne prennnent (chez moi en tout cas).
On s’était régalé de « Papa ou maman » il y a une bonne année de cela et voilà que ce mercredi, le deuxième volet débarque sur nos écrans. Si d’ordinaire les suites sont souvent décevantes, « Papa ou maman 2 » est l’exception qui confirme la règle.
Martin Bourboulon et son équipe remettent le couvert et nous offre un deuxième opus à la hauteur du premier. On retrouve avec un plaisir incommensurable le tandem Marina Foïs/ Laurent Lafitte dans des situations aussi rocambolesques que précédemment. On rit de bon cœur, on se régale des répliques cinglantes, des exubérances des deux adultes immatures, bref, qu’il est bon de se retrouver en famille !
La force de « Papa ou maman 2 » est de reprendre les mêmes ingrédients qu’auparavant et d’y ajouter un peu de piment. Même l'affiche a quelque chose de déjà vu, de nouveaux visages en plus... Les mois ont passé mais finalement, rien n’a véritablement changé. Florence et Vincent vivent séparés, l’un en face de l’autre, se reconstruisent une vie amoureuse chacun de leur côté tout en se renvoyant les enfants comme un palet de hockey. A cela, ajoutons que la famille s’est agrandie avec la naissance de la petite Charlotte (qui sera l’objet d’un running gag savoureux) et qu’il n’est pas facile d’imposer la présence de nouveaux compagnons dans cette tribu déjà instable. Le décor est planté, il reste à l’animer.
Derrière la caméra, on retrouve Martin Bourboulon, le réalisateur prodigue du premier volet. A l’écriture, Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte (scénaristes du premier film) mais aussi Marina Foïs et Laurent Lafitte. L’expérience théâtrale des uns et le potentiel comique des autres s’allient pour servir un scénario solide aux répliques exquises ! Il y a peu de temps mort : les railleries fusent, les coup bas s’enchaînent et même si par moments, on par dans une direction étonnante, c’est pour mieux revenir ensuite. On craignait d’assister à un copier- coller de leur première aventure mais ce n’est pas totalement le cas : les Leroy nous offrent aussi plus que cela! Si l’on tait volontairement quelques moments hilarants du film (pour vous laisser le plaisir jubilatoire de les découvrir) sachez que vous ne regretterez pas le déplacement en salles !
Le duo Laffite/Foïs reprend du service pour notre plus grand plaisir et est vraiment la valeur ajoutée à cette comédie de qualité. Leur complicité dans la vie transparaît vraiment à l’écran et sert le film à merveille ! Si leur talent n’est plus à démontrer, ils continuent de nous surprendre et de montrer qu’il existe de vrais bons comédiens capables de jouer juste dans un registre où l’exagération est trop souvent de mise.
Le couple n’a pas changé mais les enfants non plus. On retrouve l’équipe de comédiens au grand complet : Alexandre Desrousseaux, Anna Lemarchand et Achille Potier retrouvent leur personnage avec le même bagout qu’auparavant et continuent de performer dans les rôles qui leur sont attribués. Les petits nouveaux, Jonathan Cohen et Sara Giraudeau (la fille de Bernard et d’Anny Duperey) se fondent avec aisance dans l’univers loufoque de Bourboulon and co. L’alchimie entre les quatre protagonistes est totale et le résultat drôlissime : on en redemande !
Alors non, le film n’est pas parfait mais qu’importe. Le principal est qu’on trouve ce qu’on est venu chercher : un excellent moment de détente comme on les aime. Et on doit dire qu’en terme de comédies françaises réussies, on n’a pas été très gâté ces derniers temps. Si un numéro 3 n’est pas à exclure, nous n’avons qu’un seul souhait : qu’il soit du même acabit que les deux autres…
Chose rare dans le cinéma français actuel, la mise en scène est alerte (Jolis plans séquences réalisés par un des grands nom du steadicam) le montage rapide et rythmé. Abattage sans faute des comédiens malgré certaines séquences qui n'évitent pas la vulgarité. Non, ce qui pêche, c'est tout simplement le scénario. La mise en place est trop longue pour un film d'une heure vingt, et la fin trop attendue. C'est souvent très drôle grâce au dialogue travaillé et à l'interprétation du duo d'acteurs. Mais on reste sur sa faim car on attendait un scénario plus fouillé.