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Votre avis sur La Voie de la justice ?
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La Voie de la justice est encore un film cliché où les injustices vont de pair avec ce monde des obligation de rencontrer des bons sentiments par rapport aux histoires de chacun . Mais rien de ma émue, dans ce récit-modèle cousu de fil blanc.
Excellent film très bon authentique touchant et remarquablement bien interprété par Michael B Jordan ce jeune avocat juste et très bon à la fois le casting est excellent aussi tiré d'une réel histoire sur fond de racisme c'est à regarder !!!!!
Excellent une belle claque. Inspiré d'une histoire c'est tellement vrai aux vues des commentaires et images à la fin du film. Vaut le coup d'oeil
“Justice pour tous !”
Avec “Just Mercy” (“La voie de la justice” en Français), magistral biopic et poignant drame intimiste dans la lignée de “La dernière marche” de Tim Robbins - et non pas le digne successeur de “La ligne verte” comme indiquer sur l’affiche - le cinéaste hawaïen Destin Daniel Cretton filme l’homérique, l’historique et le véridique combat du jeune avocat Bryan Stevenson interprété par un Michael B.Jordan (“Creed”) qui n’en finit pas d’exceller. Tout commence en 1989, après de brillantes études à Harvard, le jeune Bryan aurait pu faire carrière dans n’importe quel grand cabinet d’avocats réputés. Originaire du Delaware, ce jeune diplômé assoiffé de justice, l’idéalisme chevillé au corps (forgé par une jeunesse marquée par la ségrégation), décide de se rendre en Alabama, au grand dam de sa mère, pour y ouvrir un cabinet de conseils spécialisés dans la défense des minorités (en très grande majorité afro-américaine), avec le soutien d’Eva Ansley (Brie Larson), une militante locale. Pour se faire, Bryan va tenter de se constituer une clientèle au sein même du couloir de la mort de la prison de Montgomery. Dans ce lieu terrifiant, Bryan croisera le chemin de Walter “Johnny D” McMillian (Jamie Foxx), qui, en 1987, fut condamné à la peine capitale, pour le meurtre d’une jeune femme. En prenant l’affaire à son compte, Bryan va très vite s’apercevoir qu’au milieu d’un grand nombre de preuves attestant de l’innocence de McMillian, un seul témoignage à son encontre provenant d’un certain Ralph Meyers (Tim Blake Nelson), un criminel notoire, l’envoya directement dans le couloir de la mort ! Aucun doute possible, des manœuvres opaques tant juridiques que politiques ont œuvré pour trouver le coupable idéal, afin de calmer les administrés. Bien souvent révoltant dans ses images et dans ses propos, “Just Mercy” est un poignant réquisitoire à charge contre une justice partiale et raciste - à travers son bras vengeur qu’est la peine de mort - mais le long-métrage se veut aussi espoir en suivant le parcours déterminé de Bryan et de tous ces héros de l’ombre qui tentent par tous les moyens (parfois au péril de leur vie), d’enrayer le fléau de l’injustice !!
Avec “Just Mercy” (“La voie de la justice” en Français), magistral biopic et poignant drame intimiste dans la lignée de “La dernière marche” de Tim Robbins - et non pas le digne successeur de “La ligne verte” comme indiquer sur l’affiche - le cinéaste hawaïen Destin Daniel Cretton filme l’homérique, l’historique et le véridique combat du jeune avocat Bryan Stevenson interprété par un Michael B.Jordan (“Creed”) qui n’en finit pas d’exceller. Tout commence en 1989, après de brillantes études à Harvard, le jeune Bryan aurait pu faire carrière dans n’importe quel grand cabinet d’avocats réputés. Originaire du Delaware, ce jeune diplômé assoiffé de justice, l’idéalisme chevillé au corps (forgé par une jeunesse marquée par la ségrégation), décide de se rendre en Alabama, au grand dam de sa mère, pour y ouvrir un cabinet de conseils spécialisés dans la défense des minorités (en très grande majorité afro-américaine), avec le soutien d’Eva Ansley (Brie Larson), une militante locale. Pour se faire, Bryan va tenter de se constituer une clientèle au sein même du couloir de la mort de la prison de Montgomery. Dans ce lieu terrifiant, Bryan croisera le chemin de Walter “Johnny D” McMillian (Jamie Foxx), qui, en 1987, fut condamné à la peine capitale, pour le meurtre d’une jeune femme. En prenant l’affaire à son compte, Bryan va très vite s’apercevoir qu’au milieu d’un grand nombre de preuves attestant de l’innocence de McMillian, un seul témoignage à son encontre provenant d’un certain Ralph Meyers (Tim Blake Nelson), un criminel notoire, l’envoya directement dans le couloir de la mort ! Aucun doute possible, des manœuvres opaques tant juridiques que politiques ont œuvré pour trouver le coupable idéal, afin de calmer les administrés. Bien souvent révoltant dans ses images et dans ses propos, “Just Mercy” est un poignant réquisitoire à charge contre une justice partiale et raciste - à travers son bras vengeur qu’est la peine de mort - mais le long-métrage se veut aussi espoir en suivant le parcours déterminé de Bryan et de tous ces héros de l’ombre qui tentent par tous les moyens (parfois au péril de leur vie), d’enrayer le fléau de l’injustice !!
thème du racisme anti black vu, revu et réchauffé. rien de nouveau au soleil. Cette thématique devient lassante .
Excellent !!! Émouvant et impressionnant car c'est tiré d'une histoire vraie et surtout récente... 1987, ce n'est pas si loin et tellement d'actualité
Que dire si ce n est que ce film mérite un maximum d oscars tant pour le jeux des acteurs que pour sa véritable histoire. Et je en parle pas de l histoire des personnages, mais bien de l histoire murmurée à nos oreilles. Toute
personne qui voit ce film en ressort avec de la compassion pour ceux qui ont subis ou même qui continuent à subir un système totalement injuste et immoral.
Bravo pour cette leçon de vie.
Vive notre démocratie à la française!!!
personne qui voit ce film en ressort avec de la compassion pour ceux qui ont subis ou même qui continuent à subir un système totalement injuste et immoral.
Bravo pour cette leçon de vie.
Vive notre démocratie à la française!!!
Voilà un bon biopic avec du charme et du charisme !
A la fin des années 80, Bryan Stevenson, un jeune avocat diplômé d'Harvard, décide de se rendre en Alabama pour aider des condamnés à mort à se battre pour tenter de réduire leurs peines.
Le souci, c'est qu'un avocat noir de peau qui essaye de défendre des détenus d'origines diverses dans l'un des états américains les plus racistes s'attire forcément rapidement des tas d'ennuis et d'ennemis.
Michael B. Jordan (Le héros de "Creed") est impressionnant de force, de maîtrise et d'autorité dans ce rôle difficile mais parfaitement sous contrôle.
Nous allons assister au combat presque déloyal entre un homme de loi qui possède la foi en ce qui est juste, et une collectivité alabamienne encore coincée à l'époque des plantations de coton.
Malgré quelques moments un peu bavards et un peu longs, "La Voie de la Justice" est un très bon film engagé et engageant.
Puissant !
Site www.cinemadourg.free.fr
A la fin des années 80, Bryan Stevenson, un jeune avocat diplômé d'Harvard, décide de se rendre en Alabama pour aider des condamnés à mort à se battre pour tenter de réduire leurs peines.
Le souci, c'est qu'un avocat noir de peau qui essaye de défendre des détenus d'origines diverses dans l'un des états américains les plus racistes s'attire forcément rapidement des tas d'ennuis et d'ennemis.
Michael B. Jordan (Le héros de "Creed") est impressionnant de force, de maîtrise et d'autorité dans ce rôle difficile mais parfaitement sous contrôle.
Nous allons assister au combat presque déloyal entre un homme de loi qui possède la foi en ce qui est juste, et une collectivité alabamienne encore coincée à l'époque des plantations de coton.
Malgré quelques moments un peu bavards et un peu longs, "La Voie de la Justice" est un très bon film engagé et engageant.
Puissant !
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Cinéphiles 44
Inspiré d’un livre autobiographique de l’avocat Bryan Stevenson, “La voie de la justice”, raconte le combat d’une association à défendre des personnes condamnées à tort, la plupart du temps car elles sont noires. Tout juste diplômé de Harvard, nous suivons Bryan jusqu’en Alabama et nous nous passionnons à le voir enquêter pour éclairer le mystère de l’affaire Walter McMillian, condamné à mort pour le meurtre d’une jeune fille. Bien que très classique dans la mise en scène, le film parvient à nous tenir en haleine grâce au charisme de Michael B. Jordan et la discrétion mélancolique de Jamie Foxx. Au-delà des dénonciations du racisme et des arrangements judiciaires, “La voie de la justice” est un excellent plaidoyer contre la peine de mort
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elriad
Coincé entre la Géorgie et le Mississippi , l' Alabama, l'un des états les plus réactionnaires des USA où 9 électeurs sur 10 ont voté pour Donald Trump, s'illustre ici avec une histoire vraie ayant eu lieu fin des années 80. Entre " la ligne verte " et " la dernière marche ", le combat d'un homme dans le couloir de la mort, parce qu'il fallait un coupable et que ce coupable ne pouvait être que noir. Enquête bâclée et falsifiée, flic pourri, racisme d'un côté, et combat d'un jeune avocat noir venu de Harvard de l'autre côté. qui donnera lieu à "Equal Justice Initiative ". Un film forcément dur, forcément révoltant et forcément émouvant. Le duo Michael B Jordan / Jamie Foxx fonctionne parfaitement.
stallonefan62
Inspiré de faits réels, ce drame bénéficie d'une histoire juste incroyable !! Incroyable que le système judiciaire américain soit aussi laxiste !! Beaucoup d'émotions pour ce film servis par des comédiens très très bon !!
ned123
J'ai vu un film... qui traite de l'injustice d'être Noir dans un Etat du Sud des Etats-Unis, en l'occurrence de l'Alabama... On ressent à chaque instant l'humiliation d'être un Homme vivant en état d'Apartheid face aux institutions de la Justice, censée protéger chaque citoyen, ce qui n'est absolument pas le cas. C'est une histoire d'Homme qui va à l'encontre de l'idée établie, au nom de la Justice, au nom de la Vérité, au nom de la Morale... C'est magnifique plaidoyer contre la Peine de Mort qui tue des innocents, et qui tue des coupables qui se repentent... Est-ce de la justice ? de la vengeance ? Le film pose une véritable question philosophique. Il nous montre la dérive de la justice américaine et du scandale d'envoyer des innocents à la mort. Et le pire de tout, c'est que ce film retrace une histoire vraie... Michael B. Jordan et Jamie Foxx sont vraiment incroyables... Et à la fin, on est littéralement bouleversé de découvrir les vrais personnages... La réalisation est sobre, toute en douceur... Il n'y a de grands plans, pas de grands mouvements de caméra, même une certaine humilité face au sujet, et c'est parce que tout est sobre qu'on se laisse prendre par la narration, au plus près de l'émotion des comédiens qui sont grands...
shindu77
Si l'histoire et les différents acteurs et actrices sont vraiment de qualité, le film pâti quand même d'une réalisation de moyenne facture. C'est mon seul regret vis-à-vis de ce long-métrage qui aborde un sujet très intéressant, à savoir la peine de mort aux États-Unis tout y en y incluant le racisme et une justice à deux vitesse.
Un film qui dénonce l'injustice dans la justice américaine pour la communauté afro-américaines qui condamne une fois encore, un innocent, à la mort. Dans les années 80, ce qui prouve une fois de plus que le racisme est encore malheureusement bien présent. Un film solide, avec une interprétation pleine sensibilité, Micheal b Jordan et Jamie Foxx sont fabuleux. Une fin émouvant et juste. Très beau bijoux de cinéma !
On hésite entre chef d'oeuvre et excellent.
Par sa gravité et son émotion, ce film dépasse le cadre du cinéma.
Un hymne à la liberté et à la justice.
Par sa gravité et son émotion, ce film dépasse le cadre du cinéma.
Un hymne à la liberté et à la justice.
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