Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Marianne
par Danièle Heymann
Un passionnant voyage à travers le cheminement d'un homme.
Positif
par Ariane Allard
Ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre ! Voilà pourquoi ce 25e long-métrage, à la fois classique et moderne, limpide et complexe, fluide et poignant, doux et fulgurant, nous intrigue et absorbe à ce point.
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
L’écran est empoisonné de songes et de mensonges, surpeuplé de signes du réel et de l’imaginaire, saturé de culture environnante et traversé des appels les plus contradictoires, des invitations à vivre et à mourir, ou à ne pas pouvoir choisir – à vivre en retrait, en réclusion.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Vrai petit bijou d'émotion, ce très beau film nous fait à la fois rire et pleurer.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
L’ensemble s’apparente à un puzzle dont les pièces, souvenirs d’enfance, images de télévision ("Belphégor"), actualité (un scandale financier, la guerre des Balkans), phantasmes, analyse psychanalytique, s’assemblent sous la conduite d’un cinéaste virtuose.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Oscillant entre ombre et lumière au cœur de cette fresque intime, Valerio Mastandrea et Bérénice Bejo, acteurs à fleur de peau, se glissent délicatement entre les mailles de ses obsessions. Et Marco Bellocchio de signer à 77 ans son film le plus poignant.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Les grands thèmes de l’univers de Bellocchio, sur l’enfance, l’éducation, les rapports au père et à la mère, la souffrance, la foi, réunis dans un film subtilement construit, à la fois intimiste et cruel, tout entier porté par l’incompréhension devant le mal.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec "Fais de beaux rêves", Marco Bellocchio signe un film romanesque puissant et nostalgique, sur l'impossible guérison d'une blessure d'enfance.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une chronique bouleversante et pleine de grâce.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Marco Bellocchio explore avec grâce les souvenirs d’un jeune homme blessé par un drame familial.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Entre fantasme et réalité, ce parcours mental est transfiguré par Marco Bellocchio. À la fois émouvant, intelligent et lucide.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Toutes les scènes qui ont précédé la révélation finale du secret s’assemblent, prennent sens et s’ordonnent une fois le secret révélé, et affleurent enfin à la conscience du film, colorées d’une majestueuse et tragique nostalgie - la nostalgie du début du film, qui vaut pour celle du début de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Frédéric Foubert
"Fais de beaux rêves" est une ode envapée à l’amour maternel, quelque chose comme un opéra intime, qui permet de finir 2016 dans un cocon mélancolique et cotonneux. Et sur une conclusion qui nous convient très bien : pour faire de beaux rêves, ouvrir les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Une brillante variation sur le thème du deuil.
Transfuge
par Ilan Malka
La souffrance et l'espoir du personnage sont portés par des plans baroques et incarnés, par un montage sur le vif, dont la maîtrise impressionne d'un bout à l'autre. Et si le film n'a pas toujours une tonalité optimiste, il nous laisse effectivement sur de beaux rêves.
Télérama
par Jacques Morice
"Fais de beaux rêves", souvent poignant, aboutit à une sorte de délivrance, symbolisée par une danse endiablée — plus proche de Belphégor que de la foi chrétienne...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un film puissant et sensible.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Marco Bellochio garde toujours la main avec ce récit d’un traumatisme d’enfance saisissant de finesse et d’intensité. L’un des films majeurs de la Quinzaine des Réalisateurs 2016.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
par Claire Micallef
Limpide et déchirant, ce film ample, tragique et puissamment habité, exalte avec fougue les pouvoirs de l’imagination face à la dureté du destin.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Quelques clichés un peu faciles font des bouloches dans le tissus. Rien de rédhibitoire, pourtant, car le film est passionnant. (...) Magnifiquement filmé et témoignant d'une maîtrise inentamée de la mise en scène et de la capacité de Bellocchio à créer une émotion profonde.
Critikat.com
par Benoît Smith
Dans "Fais de beaux rêves" demeure, par épisodes, le problème des derniers films de Bellocchio, celui de l’adéquation d’une posture d’auteur avec une matière filmique appelant un désir de la filmer en la regardant sincèrement et sans narcissisme excessif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Le problème de "Fais de beaux rêves" est que, malgré les apparences qu’il veut se donner, il n’ouvre sur aucune interrogation, il ne fait que donner des réponses.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Marianne
Un passionnant voyage à travers le cheminement d'un homme.
Positif
Ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre ! Voilà pourquoi ce 25e long-métrage, à la fois classique et moderne, limpide et complexe, fluide et poignant, doux et fulgurant, nous intrigue et absorbe à ce point.
Cahiers du Cinéma
L’écran est empoisonné de songes et de mensonges, surpeuplé de signes du réel et de l’imaginaire, saturé de culture environnante et traversé des appels les plus contradictoires, des invitations à vivre et à mourir, ou à ne pas pouvoir choisir – à vivre en retrait, en réclusion.
Femme Actuelle
Vrai petit bijou d'émotion, ce très beau film nous fait à la fois rire et pleurer.
L'Obs
L’ensemble s’apparente à un puzzle dont les pièces, souvenirs d’enfance, images de télévision ("Belphégor"), actualité (un scandale financier, la guerre des Balkans), phantasmes, analyse psychanalytique, s’assemblent sous la conduite d’un cinéaste virtuose.
La Voix du Nord
Oscillant entre ombre et lumière au cœur de cette fresque intime, Valerio Mastandrea et Bérénice Bejo, acteurs à fleur de peau, se glissent délicatement entre les mailles de ses obsessions. Et Marco Bellocchio de signer à 77 ans son film le plus poignant.
Le Dauphiné Libéré
Les grands thèmes de l’univers de Bellocchio, sur l’enfance, l’éducation, les rapports au père et à la mère, la souffrance, la foi, réunis dans un film subtilement construit, à la fois intimiste et cruel, tout entier porté par l’incompréhension devant le mal.
Le Figaro
Avec "Fais de beaux rêves", Marco Bellocchio signe un film romanesque puissant et nostalgique, sur l'impossible guérison d'une blessure d'enfance.
Le Journal du Dimanche
Une chronique bouleversante et pleine de grâce.
Le Monde
Marco Bellocchio explore avec grâce les souvenirs d’un jeune homme blessé par un drame familial.
Les Fiches du Cinéma
Entre fantasme et réalité, ce parcours mental est transfiguré par Marco Bellocchio. À la fois émouvant, intelligent et lucide.
Libération
Toutes les scènes qui ont précédé la révélation finale du secret s’assemblent, prennent sens et s’ordonnent une fois le secret révélé, et affleurent enfin à la conscience du film, colorées d’une majestueuse et tragique nostalgie - la nostalgie du début du film, qui vaut pour celle du début de la vie.
Première
"Fais de beaux rêves" est une ode envapée à l’amour maternel, quelque chose comme un opéra intime, qui permet de finir 2016 dans un cocon mélancolique et cotonneux. Et sur une conclusion qui nous convient très bien : pour faire de beaux rêves, ouvrir les yeux.
Studio Ciné Live
Une brillante variation sur le thème du deuil.
Transfuge
La souffrance et l'espoir du personnage sont portés par des plans baroques et incarnés, par un montage sur le vif, dont la maîtrise impressionne d'un bout à l'autre. Et si le film n'a pas toujours une tonalité optimiste, il nous laisse effectivement sur de beaux rêves.
Télérama
"Fais de beaux rêves", souvent poignant, aboutit à une sorte de délivrance, symbolisée par une danse endiablée — plus proche de Belphégor que de la foi chrétienne...
Voici
Un film puissant et sensible.
aVoir-aLire.com
Marco Bellochio garde toujours la main avec ce récit d’un traumatisme d’enfance saisissant de finesse et d’intensité. L’un des films majeurs de la Quinzaine des Réalisateurs 2016.
La Septième Obsession
Limpide et déchirant, ce film ample, tragique et puissamment habité, exalte avec fougue les pouvoirs de l’imagination face à la dureté du destin.
Les Inrockuptibles
Quelques clichés un peu faciles font des bouloches dans le tissus. Rien de rédhibitoire, pourtant, car le film est passionnant. (...) Magnifiquement filmé et témoignant d'une maîtrise inentamée de la mise en scène et de la capacité de Bellocchio à créer une émotion profonde.
Critikat.com
Dans "Fais de beaux rêves" demeure, par épisodes, le problème des derniers films de Bellocchio, celui de l’adéquation d’une posture d’auteur avec une matière filmique appelant un désir de la filmer en la regardant sincèrement et sans narcissisme excessif.
Culturopoing.com
Le problème de "Fais de beaux rêves" est que, malgré les apparences qu’il veut se donner, il n’ouvre sur aucune interrogation, il ne fait que donner des réponses.