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    Neruda
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    Cine vu
    Cine vu

    141 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2017
    Tout n’est que fiction et la fiction est plus forte

    Que savons de Neruda ? Telle est la question que chacun peut se poser au moment d’entrer dans ce film.
    Car on y entre, et c’est la première bonne nouvelle, tant l’incertitude peut nous étreindre à l’instant où l’extinction se fait dans les salles obscures que sont nos cinémas : « Que suis-je donc venu voir ? ».

    Néruda est poète -l’immense poète comme nous l’a laissé la postérité- avant même qu’on lui demande quoi que ce soit et communiste. Il est communiste de salon et tant que tel penseur -il ne prend pas les armes- et ce sont les communistes pauvres, ceux du peuple, qu’on arrête pour mettre dans les camps. Et pourtant le film nous fait croire qu’on le pourchasse, qu’il est menacé.
    Comme il est aussi sénateur, il porte la parole contre le pouvoir qui cherche à éliminer les communistes. Et puis donc il fuira. Alors le jeu commence; pas vraiment au chat et à la souris; plutôt un parcours fait de méandres réels ou rêvés, presque traqué par un policier ectoplasme.

    On entre alors en Neruda bien plus qu’en Peluchonneau -obscur rejeton et flic- pris dans sa poésie, sa vie d’excès, ses lyriques dithyrambes pamphlétaires, son verre de Whisky posé à côté des feuilles qu’il noircit.

    Pablo Larrain nous prend, nous tient en Neruda, il joue avec nous sans jamais nous manipuler. Son film nous prend dans ses rets littéraires, trouvant l’inspiration d’un onirisme absurde, si cher à l’Amérique latine à travers bon nombre de ses écrivains; je pense notamment à Garcia Marquez, Juan Rulfo ou encore Juan-Carlos Onetti.

    P. Larrain a fait un film littéraire, jamais verbeux, jamais ennuyeux et si souvent subtil dans sa mise en scène que le montage -magnifique- joue avec elle et c’est d’une grande intelligence. La photo superbe colle au film.

    Chaque comédien(ne) est juste et à sa place.
    En premier lieu dans ce rôle-monstre : Luis Gnecco (déjà dans « No » du même Larrain). L’acteur -somme toute méconnu- recèle des trésors de finesse dans son interprétation.
    En pauvre petit flic Gaêl Garcia Bernal est très bien.

    Le film est d’une densité rare tant il nous propose des pistes, des idées, des voyages…
    La bande-son souligne et sous-tend superbement l’action et l’errance, nous immergeant plus encore dans le film, avec un thème hypnotique de Grieg.

    Le hasard du calendrier cinéma nous proposera (01/02/17) son prochain film « Jackie » : donc l’ex-madame-président assassiné (Natalie Portman dans le rôle titre) ; avec Larrain la politique n’est jamais loin, et le Cinéma lui est bien présent.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 janvier 2017
    Entendu, on peut entrer dans le jeu du scénario, ce que j'ai fait.
    Mais j'avoue ne pas du tout avoir adhéré à la façon dont cette histoire a été filmée.
    La mode qui veut que tout film qui se déroule avant les années 70 ou 80 soit tourné avec des couleurs ternes, blafardes et délavées devient franchement insupportable. Et c'est le cas pour Neruda. En plus, la dominante violacée n'a rien d'agréable.
    Même les scènes tournée par grand soleil sont pâles !
    Ben oui, pour faire vieux, faut donner dans le style photos qui ont mal vieilli ! A tel point que l'on aurait envie de faire restaurer ce film à la pellicule bien abîmée et au couleurs défaillantes.
    Peut-ont se faire à l'idée que même au Chili, sous un régime autoritaire, et dans les années 50, il pouvait faire beau ? Idem dans les pays du bloc de l'est avant la chute du mur de Berlin... De la même façon qu'avant les années 50, on vivait en couleur et non pas en noir et blanc et que dans les années 1900, les gens avaient une démarche normale et non saccadée !
    Ce parti pris esthétique me semble de plus en plus être une mode bien naïve et bien puérile.
    Supernono74
    Supernono74

    15 abonnés 470 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 janvier 2017
    Malgré des acteurs investis, le film pêche par une très mauvaise réalisation.
    Peut-être est-ce un effet de style, mais si c'est le cas c'est très maladroit.
    Cela dit, cela vaut pour les plans serrés, les plans larges sont bien plus convaincants, la scène dans la neige d'ailleurs est de toute beauté.

    De plus, c'est long et mou et finalement le film ne nous raconte pas grand chose sur l'histoire de Neruda, mais constitue plus une vision fantasque de sa fuite.

    Dommages, le sujet était intéressant.
    Hervé L
    Hervé L

    14 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 janvier 2017
    Un film singulier dans sa forme, c'est une sorte de "poème visuel"... qui est hélas seulement réussi dans les dernières scènes visuellement magnifiques (situées dans un sud du Chili enneigé). Le film est malheureusement d'abord "plombé" par 1h30 sans consistance, sans grand intérêt, avec une voix-off omniprésente et envahissante, 1h30 qui nous montre un Pablo Neruda narcissique, arrogant, placide et futile, bref très antipathique. Ce parti pris du réalisateur ne facilite pas les choses.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 janvier 2017
    Le cinéaste surprend pour avoir brisé les fondements des films biographiques, surtout par le rythme accéléré de sa narration mais aussi par le mélange entre la fiction et des personnages et situations réelles. Le réalisateur confère à la chasse du poète un ton de vaudeville policier qui fait que la charge comique du film soit plus remarquée, mettant face à lui des autorités si pathétiques comme maladroites. Comme conséquence, cet attachement au genre policier pour faire hommage à la poésie face aux barbares devient assez flou. Même s'il y a des moments magnifiques, comme le petit détail d'obliger cet abruti de détective à lire de la poésie pour pouvoir suivre les indices, ou l'interrogatoire de la travesti à la gendarmerie, quand elle déclare, plus ou moins: "Il m'a dit que j'étais un ouvrier de l'art, que j'étais comme lui. Mais ça, toi, connard de merde, jamais de ta vie arriveras à le comprendre".

    Ces scènes, aussi la lecture du poème Los enemigos, développe légèrement les capacités artistiques de son protagoniste. Cependant, Larrain traduit le scénario en images comme si Neruda était un romancier best-seller plutôt qu'un poète. spoiler: Une fois le dialogue entre sa femme et le détective fini, on comprend que la narration du film est création du protagoniste lui-même. Sauf que concernant Neruda, écrivait-il des romans policiers? Si c'est lui qui a créé cette histoire,
    où sont-elles la célébration de la beauté et la délicatesse? La mélancolie et la nostalgie? Le désamour et le chagrin? Même s'il est un film très amusant, voici sa valeur, on dirait que le portrait de Neruda est secondaire, au-delà d'insister sur sa condition de bourgeois communiste.

    Dernièrement, spoiler: une fois qu'on arrive au twist western aux Andes, on pense que le film fermera avec l'image de cet homme seul dans la neige, mais d'un coup,
    on nous explique mot par mot les conclussions que le film nous avait déjà insinuées, ayant comme résultat un dénouement réitératif et longue. Pour ne pas parler de l'épilogue à Paris, qui semble plus une imposition des producteurs que la volonté du réalisateur.

    /// Encore plus de fautes et d'erreurs sur le lien ci-dessous
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 janvier 2017
    Entre histoire, fiction et poésie, Pablo Larrain nous offre un film où il sera bien difficile de décortiquer la mythologie du véritable fait historique. Porté par une mise en scène œuvrant à cet effet et dynamique, l'on nous présente un Neruda imbu de lui-même et bien moins proche du peuple dont il deviendra la voix que la sexagénaire de ses pigeons au square. Durant cette course poursuite, l'inspecteur Oscar Peluchonneau qui porte ici le récit en y étant la voix off, et un Neruda en pleine construction de sa légende, viennent à se confondre, à s'entremêler, jusqu'à une fin aux allures de Western. Qui de la voix off ou du poète raconte l'autre ? Qui de Neruda ou de Peluchonneau naît de l'imagination de l'autre ? Qui est au service de l'autre ?

    En bref, en usant de ces nombreux artifices, et sans perdre de vue le contexte historique, Larrain parvient à mettre en abyme les propres artifices de ce personnage paradoxale, aux mots tantôt révolutionnaires, tantôt de chimères, et nous offre un film à l'image même du personnage qu'il présente.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    187 abonnés 686 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 janvier 2017
    Présenté comme un biopic, "Neruda" se focalise principalement sur la cavale du poète pour éviter le gouvernement chilien et durant laquelle il a écrit un de ses plus célèbres poèmes. Le film est filmé de manière originale. Les séquences autour d'un même dialogue changent facilement de lieux. Cela donne de la dynamique au film et aussi appuie sur l'authenticité de l'histoire. En effet, les biopics nous montrent une vision mais nous ne sommes jamais sur de la véracité des propos. Ensuite l'histoire n'est pas très prenante et la voix-off permanente est assez dérangeante. Visuellement, le film est plutôt bien réalisé. Les acteurs sont bons, surtout Luis Gnecco. Bientôt nous verrons le nouveau film du réalisateur,"Jackie", avec Natalie Portman.
    marcoenpolo
    marcoenpolo

    3 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 janvier 2017
    Très, très déçu par ce film !!!
    On n'apprend rien ou presque rien de la vie de Pablo Neruda.
    L'acteur qui joue Neruda est vulgaire, adipeux, répugnant
    On s'ennuie tout le long du film. Si vous avez 2 heures à perdre, allez voir ce film !
    Roger O.
    Roger O.

    12 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 janvier 2017
    Après nous avoir offert le revigorant No (sur le référendum perdu par Pinochet) et le glaçant El club (sur un groupe de prêtres pédophiles exilés), Pablo LarraÍn s'est cru obligé de s'attaquer au monument national chilien, le poète et homme politique Neruda. Il n'a pas voulu, dit-il, faire un film sur Neruda, mais un film nerudien. C'est un peu, ajoute-t-il, comme si, voulant rendre hommage aux Beatles, il avait composé une chanson des Beatles. On voit la modestie de l'entreprise. 
    Le film tourne très vite au jeu de massacre gratuit: le poète en fuite devant la police de Videla déclame des vers sur un ton pompeux, il est égocentrique, lubrique, ridicule. Confondant sans doute Neruda et Borges, le cinéaste imagine que l'un des personnages, le flic narrateur lancé à la poursuite de celui qui n'est présenté que comme une baudruche pleine de vide, est en fait la créature fictive créée par le poète lui-même: le récit devient alors une mise en abyme qui se veut le reflet du baroque sud-américain. 
    L'ensemble suinte de prétention et sombre dans l'ennui, d'autant plus qu'on se demande constamment quel est le but réellement poursuivi par le réalisateur et que l'on craint d'être peut-être passé à côté d'une oeuvre intéressante.
    Gael Garcia Bernal est transparent face au comédien qui interprète Neruda tel un histrion. Pour bien insister sur l'aspect visionnaire du film, Pinochet fait une apparition en responsable d'un camp de prisonniers...
    Prochainement sur vos écrans, Jackie du même...
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    78 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2017
    J'ai peu d'affinités avec la littérature sud-américaine. Je ne sais pas pourquoi: c'est comme ça. Autrement dit, je ne sais pas grand chose sur Pablo Neruda. Et ce n'est pas après Neruda que j'en saurais plus. Car ce film est tout..... sauf un biopic.
    C'est une oeuvre intégralement baroque, qui ne saurait en aucune façon être signée par un Européen. Si, un Russe, sans doute, avec d'autres moyens, arriverait à récréer cette réalité délirante... En tous cas, le jeune Pablo Larrain est doué! Un talent unique, même si par moments on a l'impression qu'il tourne un peu à vide; qu'il y a un peu trop d'étincelles, et trop peu de fond.
    C'est attrape moi si tu peux, l'histoire d'une course poursuite. Tantôt on est chez les Pieds Nickelés (le flic sur sa moto avec ses lunettes oeil-de-mouche); tantôt chez Sergio Leone (les superbes scènes finales de poursuite à cheval dans la Cordilière des Andes enneigée...)
    Pablo Neruda est un diplomate, un sénateur communiste (bien qu'il ait soutenu la candidature de Videla?????) qui se retrouve donc dans une situation difficile quand le gouvernement commence à arrêter les communistes en masse.
    Pas un biopic, ou alors à charge, car le grand homme est drôlement esquinté. Fêtard ridicule qui se déguise en Néron au milieu de filles à poil (apparemment, l'intelligentsia chilienne de gauche adorait ces festivités d'un goût douteux), profitant de son épouse peintre, riche et cultivée, Delia del Carril, (Mercedes Moràn, magnifique actrice!) avant de la larguer, et tout bouffi de son statut de GGRRRAND artiste, défenseur du peuple (avec lequel il ne partage rien...). L'acteur, Luis Gnecco, est lui aussi fantastique! Neruda se retrouve entièrement aux mains du Parti qui ne veut pas que son GRAND homme soit arrêté, et le trimbale d'une bout à l'autre du pays, de cache en cache.... sa seule liberté restant de jouer des tours à ses gardes du corps en s'échappant en douce pour faire une petite ballade en ville.... Assez pathétique, non? Mais le gouvernement souhaite t-il vraiment mettre sur la main sur Neruda? On peut se le demander: l'écrivain internationalement reconnu serait plus gênant dedans que dehors.... Mais il y en a un qui y croit, c'est l'inspecteur Oscar Peluchonneau, "El director general de la Policía de Investigaciones de Chile es el jefe máximo de la policía civil" (sic), car oui, malgré ce nom ridicule qu'on croirait inventé par quelque auteur de BD, il a bien existé...
    Gael Garcia Bernal est stupéfiant! Affublé d'une ignoble moustache, sous en feutre et en imperméable cintré, avec une coupe de chevaux improbable, il ressemble à une petite frappe échappée de la rue Lauriston
    Dans un tourbillon, ce que d'aucun appellerait une mise en abîme..... on est dans la tête de Peluchonneau qui, confronté au grand homme, se sent pousser des ailes, ou plus exactement, dans ce que Neruda imagine se passer dans la tête de l'inspecteur.
    Brillantissime, inventif, du vrai cinéma excitant. A voir
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    J'ai vraiment aimé la manière dont l'histoire est racontée, c'est originale, et vraiment très bien joué !
    DestroyGunner
    DestroyGunner

    24 abonnés 883 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 janvier 2017
    Un plaisir en partie insatisfait domine à la fin de la séance. Le traitement cinématographique est bon, les acteurs sans reproche, mais un quelque chose manque pour rendre le scénario (tributaire de l'Histoire) pleinement intéressant. Reste l'ironie du récit, et donc de la véritable histoire du héros. Recommandé sans attendre sa diffusion sur Arte..
    Yves G.
    Yves G.

    1 455 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Pablo Neruda fut le plus grand poète chilien du XXème siècle. Prix Nobel de littérature en 1971, il fut aussi un homme politique de premier plan, engagé au Parti communiste, soutien de Salvador Allende et décédé, dans des conditions troubles, quelques jours après le coup d’État de Augusto Pinochet en septembre 1973.

    Ce n’est pas un biopic en bonne et due forme que réalise Pablo Larrain. Il s’attache à un épisode de sa vie. En 1948, le président Videla mène une politique anticommuniste soutenue par les États-Unis. Neruda est destitué de son mandat. Menacé d’emprisonnement, le poète prend le chemin de l’exil. Il défie les services de police et compose son grand œuvre, Chant général, un poème épique de quinze mille vers.

    Pablo Larrain est désormais bien connu en France. En attendant son Jackie – avec Natalie Portman dans le rôle de l’épouse de John Kennedy – qui sortira le mois prochain, on y a vu le glacial "Santiago 73" (2010) l’euphorisant "No" (2012) et le traumatisant "El Club" (2015). Trois films qui, chacun à leur façon, interrogent l’identité chilienne après les années de plomb de la dictature.

    Le réalisateur chilien continue à disséquer l’histoire de son pays en racontant l’épisode d’une vie d’un géant de sa littérature. Sans doute l’écho de ce film sera-t-il moins fort en France où l’œuvre et la personnalité de Neruda sont moins connues. Aussi la frappante ressemblance de l’acteur principal, Luis Gnecco, avec son modèle ne frappera-t-elle que ceux qui connaissent ses traits (soit qu’ils possèdent une vaste culture littéraire, soit qu’ils viennent de consulter sa notice sur Wikipédia).

    Le film raconte une traque. Mais il le fait sur un mode déroutant presque cocasse. Neruda est un hédoniste qui joue au chat et à la souris avec son poursuivant, le policier Oscar Peluchonneau. Il n’est pas sans rappeler le personnage d’Eisenstein dans le dernier film de Peter Greenaway "Que viva Eisenstein!" . Contre toute attente, aucune tension ne s’installe dans un film inclassable, aux frontières de la reconstitution historique, du drame et de la comédie. Le dernier quart d’heure, qui verse dans un onirisme métaphysique, a achevé de me déconcerter.
    titicaca120
    titicaca120

    383 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Neruda le célèbre poète chilien qui prend position pour les communistes et
    dénigre le président élu doit désormais vivre dans la clandestinité.
    à mi chemin entre un policier pourchassé par un flic obnubilé par l'arrestation
    de ce dernier et un biopic le film nous évoque l'après guerre au Chili et le
    sort réservé aux opposants politiques (déjà) Pinochet fait même une courte apparition
    en directeur de camp.
    Marclille
    Marclille

    24 abonnés 105 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 janvier 2017
    Le film est très indigeste. Techniquement très imparfait : les effets de polarisation et de contre jour
    sont exaspérants, les dialogues se voulant poétiques et métaphoriques sont trop souvent abscons et peu signifiants : beaucoup de prétention pour ce film long ennuyeux et agaçant & son scénario à rallonges.
    Bref nous avons passé un mauvais moment devant ce produit irritant et prétentieux.
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