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Fabios Om
52 abonnés
1 269 critiques
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0,5
Publiée le 14 septembre 2019
l'intérêt de faire un film sur les emoji ? la réponse aucun . Ce film est destiner vraiment ah tout petit car au de la des tout petit les enfant comprendront que c'est un film sur les emoji et ne verrait pas l'intérêt du film . Le film essaye de faire rire et n'y arrive pas tous comme le scénario qui est plat du début à a la fin . la bande son quand à elle est plutôt de qualité. Tout comme les couleur qui sont magnifique. Sinon le film essaye de faire passer le message que l'on peut être ce qu'on veux et que amitié c'est important, mais je ne suis pas sûr que les petit comprendront cela . Les tout petit eux devrait bien aimer le coter mignon .
Peut-être l’un des films d’animation les plus nauséabonds et dangereux pour le jeune public qui ait vu le jour. À partir d’une intrigue minable, Le Monde secret des Emojis sature ses images acidulées de placements de produits technologiques rendus ludiques et accessibles de sorte à vanter les mérites d’application qu’un enfant ne devrait ni connaître ni fréquenter. Cette mise à mort du langage, ce gouffre de créativité ne conduisent qu’à l’abrutissement à grands coups de blagues dites cool en réalité nulles et graveleuses. Pire ! le film se saisit de la dénonciation apparente du rapport à la technologie comme ressort immersif où le simple fait de montrer du doigt la publicité fonctionne en vitrine du produit à consommer. Le spectateur est conforté dans sa passivité, on lui braille ces fameuses phrases-type « il faut être soi-même » entre deux danses programmées. Le Monde secret des Emojis est un distributeur de sérotonine high-tech rempli de bêtises qui génère, en retour, un désespoir profond. Avec l’heureuse conséquence de provoquer un ultime sursaut d’humanité chez un spectateur qui, le générique arrivé, s’adresse à son voisin pour s’assurer que le cauchemar est fini. Il n’est d’ailleurs pas anodin que nos personnages n’osent franchir l’application couleur orange consacrée au cinéma qui les aurait, à coup sûr, fait disparaitre pour toujours.
Une suite de publicités abusives pour toutes sortes de marques dont le bourrage de crâne n'est même pas caché : Candy Crush, Just Danse, Twitter... (et on en passe des centaines). L'intrigue en elle-même tient de la mauvaise idée : contenue sur un Post-It, avec des personnages tous plus antipathiques les uns que les autres, dont le final est tout vu d'avance et sans grande morale...pour ne pas dire que la seule morale prônée est "les enfants, ne lâchez pas votre téléphone, sinon les petits personnages vont mourir...". Bravo. Franchement bravo pour ce genre de messages contreproductifs (sauf pour les compagnies de smartphones dont on se demande si elles n'ont pas versé quelques financements au film). Les rebondissements se suivent à une allure hyperactive (ce qui nous épuise rapidement), les musiques sont calibrées pour cette jeunesse en mal de sucre, et clairement le personnage principal ne nous est jamais familier. On est juste devant un humour estampillé sous une flopée de marques, avec des personnages très antipathiques. Grâce au lavage de cerveau marketing, le Razzie Award du Pire Film 2018 est amplement mérité.
Dès l'annonce du projet, "Le monde secret des Emojis" ne me tentait pas spécialement. Cela ne m'a donc pas trop chagriné de le rater en salles puis mon fils est né et par un après midi pluvieux, sans crier gare, je me suis retrouvé devant ce film qui passait à la télévision. Ayant du temps à perdre et mon fils aimant d'un œil distrait ses différentes couleurs qui bouge (il a un an donc le film, il s’en fout, il a du voir 5 minutes mis bout à bout), je me suis donc mis à voir ce long métrage.
Finalement, c'est plutôt bien passé. On n'est pas dans la grande surprise mais le scénario écrit par Eric Siegel, Tony Leondis et Mike White a réussi à me faire bugger dessus. Un comble lorsque l'on parle de nouvelles technologie mais je ne sais pas si c'est à cause de la pluie, du fait que je n'avais rien à faire, que c'est plutôt sympa de glander ou d'une association des trois mais je me suis laissé embarqué de façon totalement amorphe, avachi sur mon canapé.
Ça casse pas trois pattes à un canard, c'est aussi prévisible que gentillet mais il y a un humour très léger qui a tout pour plaire à un jeune public avec une intrigue simpliste que l'on étire juste ce qu'il faut pour tenir une heure et demie. Non en fait, ce qui me dérange le plus, c'est l'overdose de publicités. Vu le concept de la téléphonie mobile avec tous ce que les smartphones peuvent nous offrir, je peux le comprendre mais là, il y a un petit côté malsain qui m'a quand même un peu dérangé.
Dans "Le monde de Ralph", on utilisait un peu le même principe mais on restait dans le domaine du jeu. Là, on va un peu plus loin avec des mises en avant purement commerciales que je trouve un peu dangereuses de mettre à disposition des enfants. C'est peut-être mon coté vieux jeu, je n'en sais rien mais vu leurs "apports" dans l'intrigue, je ne vois pas l'intérêt d'exposer à un jeune public des marques comme Youtube, Twitter, Facebook ou Instagram encore plus à une époque où l'on connaît les dangers des réseaux sociaux pour les plus jeunes. Il y aurait un intérêt encore pour l'histoire je ne dis pas mais là, ils ne servent vraiment à rien vu que les personnages parlent surtout par texto. On s'inscrit juste dans un matraquage publicitaire de grosses boîtes ayant dû donner un gros chèque pour figurer dans le film... Bref, ça doit venir de moi...
Malgré les nombreuses voix connues dans la version originale, je n'ai pas dérogé à la règle que je me donne pour un film d'animation et j'ai vu ce long métrage dans sa version française. A l'image du scénario, c'est très léger et très gentil. Les voix sont bien choisies, elles sont agréable à écouter, elles collent bien avec les différents personnages et chaque voix fait juste ce qu'il faut pour coller au caractère de son rôle. Que ce soit Jérôme Commandeur (Bof), Jonathan Cohen (Tope-là) ou encore Caroline Receveur (Rebelle), le minimum syndical est respecté. Il n'y a pas de grandes originalités, de prises de risques mais des voix sympathiques qu'un jeune public prendra plaisir à entendre.
Côté animation, c'est mignon aussi. La réalisation de Tony Leondis n'est pas catastrophique mais il ne prends pas de gros risques. La "vision" du téléphone est assez plate une fois qu'on sort du monde des Emojis. Le monde des Emojis est pourtant riche avec pleins de bonnes idées mais très vite, on sort pour voyager dans le téléphone et la folie disparaît quelque peu.
Ce n'est pas mauvais pour autant, c'est juste que cela n'aide pas ce film à être mémorable et à marquer les esprits. Comme je le disais pour le scénario, on a juste l'impression de voir un gros spot publicitaire qui étouffe un peu les petits personnages que l'on voulait suivre à la base. Maintenant, cela se laisse regarder quand même (je ne vais pas dire le contraire vu que j'ai comater devant) et ça passe assez vite mais je pense que malgré le sujet, on aurait pu avoir davantage. La bande originale composée par Patrick Doyle reste appréciable sinon et s'inscrit bien dans la continuité de ce projet.
Pour résumer, je n'ai vraiment rien perdu en ne faisant pas le déplacement en salles pour voir "Le monde secret des Emojis". On délaisse beaucoup trop nos héros au profit d'un matraquage publicitaire dérangeant dans un monde téléphonique sans grande saveur. Reste que le film est gentillet et que pour une diffusion à la télévision, on peut facilement se laisser distraire avant de prendre notre télécommande et de passer à autre chose. Ce n'est pas vraiment la catastrophe que je craignais mais ça reste sans surprise et vite oubliable. Dommage.
c'est moyen il y a des bonnes choses quand même par exemple le visuel est très beau je trouve mais il y a des gros défauts comme tous ces clichés . si vous êtes enfants je vous conseille de le voir mais adultes ne le voyait pas .
Le thème de ce film est plutôt original de base mais au fond pas tant que ça. En effet, dans un monde hyper-connecté, les emojis font partis entières de la vie de tous les jours de beaucoup de monde. L'originalité de ce film est que l'on assiste à la vie des emojis d'un téléphone portable, comment ils cohabitent, leur job, etc... Après, le scénario n'a vraiment rien d'original et c'est du vue et revue. Film sympa pour les enfants.
Quand les scénaristes n’ont plus d’idées et touchent le fond que font-ils ? Ils creusent encore, mais pas leur tête, ni les fonds de tiroir (ce serait encore trop bon), non là ils vont direct dans les poubelles crasseuses, dans les décharges ou les restrooms. Du coup ils trouvent des idées de déjections dirons-nous, et ça fait ce truc. Ben oui, faire un film sur les émoji, sérieux ? Ok on s’adresse aux gamins et ils sont de plus en plus sur l’ordi, ils connaissent donc très bien ces petits dessins, mais on sent trop le manque d’inspiration, la trame banale et bâclée, l’obligation de sortir quelque chose pour que les producteurs touchent de l’oseille, l’idée qui vient en matant son bureau (sur l’ordi hein ?), le graphisme naze justifié par le style de persos, l’humour facile et naïf (mais ça marche pas, l’excuse pourrie du public visé pour un ratage complet… Bref merci mais la seule utilité de ça c’est de montrer qu’Hollywood n’a définitivement plus d’idée à exploiter pour le cinéma, qu’importe le genre, et c’est désastreux.
Avec "The Emoji Movie", on tient là un concept de base bien idiot spoiler: (les emojis sont des travailleurs qui n'ont qu'une émotion et peuvent avoir des enfants!!!) pour un pitch qui l'est tout autant spoiler: (un emoji qui a plusieurs émotions veut devenir "normal" en se faisant reprogrammer en allant sur le cloud) . On pourrait rapprocher l'idée de rendre vivants les emojis à ce qu'ont fait les excellents films "Toy Story" ou "Vice-Versa", sauf que "The Emoji Movie" n'a pas la profondeur de ces 2 oeuvres. En effet, alors que "Toy Story" (à travers les jouets qui parlent) évoquait le passage de l'enfance à l'âge adulte, et que "Vice Versa" analysait avec brio les émotions d'une ado lors de moments clés de sa vie (le déménagement, l'école) tout en étant intelligent sur sa description du fonctionnement cérébral, "The Emoji Movie" laisse l'ado propriétaire du smartphone au second plan, se bornant à un banal souci technique et à une amourette faiblarde. Dès lors, le film se contente de proposer une aventure extrêmement bavarde et hystériquespoiler: (la main est horripilante) , aux gags très paresseuxspoiler: (sur le doigt, l'emoji caca ou bien l'ampoule) , aux références dépassées spoiler: (le fameux "Mon précieux" est épuisé) et à la publicité insupportable spoiler: (Youtube, Wechat, Faceboook, Candy Crush, Just Dance, Twitter, Spotify, Instagram, tout y passe) . Sur le fond, si on excepte quelques délires sympathiques spoiler: (trolls, virus, spam, vidéo chat, Hack Daniels, les émoticônes assimilées aux Anciens) , c'est franchement décevant, entre le couple nul que forment Rebelle et Gene, le passage musical de fin classique du film d'animation, une issue douteuse spoiler: (c'est le smartphone qui sauve l'ado, le débranchement restitue tout) et Gene incarnant de manière grossière la métaphore de la différence. J'ai largement préféré la touche de féminisme spoiler: (Princesse qui devient Rebelle) . Enfin, visuellement, le film est très mitigé, certes bon sur les emojis, mais aussi médiocre sur certains décors et sur le design interne du smartphone (ultra moche), et abusant des couleurs flashy. Au final, le produit marketing pour enfants que constitue "The Emoji Movie" est bien loin du niveau des Pixar dans tous les domaines et constitue une tentative de lobotomisation infantile.
J'ai décidé de voir ce film après sa performance à la 38e cérémonie des Razzie Awards et je peux vous assurer qu'il mérite sa récompense. Déjà ce qui frappe c'est le manque d'histoire, enfin il y a une trame mais très plate. Le réalisateur se perd dans la morale qu'il veut donner et on ne sait plus trop quoi penser à la fin. Le placement de produit est omniprésent : spoiler: facebook, youtube, spotify, candy crush, just dance, ... .
La bande son correcte spoiler: Pitbull, Major Lazer, Christina Aguilera, Bruno Mars, ... ne suffit pas à tout rattraper.