Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Combien de films vont aussi loin dans la mise à nu sans tomber dans l’histrionisme ?
L'Humanité
par Vincent Ostria
On est désarmé et touché par l’éternelle fraîcheur de ce cinéma élémentaire, par la sobriété et le réalisme des situations, par les personnages aux défauts émouvants. Hong Sang-soo est un génie. Il a inventé le mouvement perpétuel au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Brève rencontre entre un cinéaste et une jeune peintre racontée deux fois, avec de subtiles variations. L’art sophistiqué de conteur de HSS à son sommet.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Que ce genre de magnifique gratuité soit érigée en panache, et que ce panache vienne entièrement recouvrir les modulations d’Un jour avec, un jour sans, hisse les existences minuscules qui s’y agitent, ainsi que les nôtres, à la dignité d’être vécues.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Consolidé par un duo d'acteurs éblouissant, ce pas de deux, mené sur la pointe des cœurs, est malicieusement dédoublé par le réalisateur coréen. Le film se divise en deux parties, la seconde étant la répétition de la première avec des variations. Drôle et mélancolique, passant de la délicatesse à l'ivresse, de la retenue à l'excès, "Un jour avec, un jour sans", c'est aussi un jour sans fin… mais avec soif.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TF1 News
par Romain Le Vern
Une cruelle douceur émane de ce marivaudage certes théorique mais aussi terriblement incarné où, en dépit de l'impression de déjà-vu, Hong Sang-Soo parvient encore à nous surprendre, composant quelques-uns des plus beaux plans de sa filmographie.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
20 Minutes
par Caroline Vié
Hong Sang-soo signe "Un jour avec, un jour sans", où il continue à explorer la Carte du Tendre avec délicatesse...
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Hong Sang-soo est passé maître dans l’art d’édifier tout un programme à partir de trois fois rien.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par William Lurson
Le dernier film du réalisateur coréen reprend le dispositif narratif en diptyque de ses premières réalisations, mais avec le trait lumineux qu'on lui connaît depuis quelques années. (…) Le film demeure une somme indistincte, sans causalité autre qu'empirique, (…) une sorte de repentir continu ; une correction qui ajoute imperfection sur imperfection ; un conte impossible de cinéma (et de vie) en forme de boucle défaite.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Vahid Mortazavi
Le dédoublement de "Un jour avec, un jour sans" suggère plus fortement que jamais que Hong Sang-soo tient autant de Rohmer que de Cassavetes.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
C'est, évidemment, la ruse et la finesse suprêmes. Et une joie profonde, pour le spectateur, de s'embarquer, sur cette proposition qui le ramène à l'enfance, au jeu des sept différences.
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
On est encore séduit par le cinéma de Hong Sang-soo, cocasse et élégant, même si sa mécanique narrative donne quelque peu le sentiment de virer au système.
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Les derniers plans sont parmi les plus beaux qu'ait jamais filmés le cinéaste.
Première
par Hendy Bicaise
Plus optimiste que jamais, Hong Sang-soo livre une démonstration réjouissante des vertus de l’honnêteté dans la parade amoureuse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Sidy Sakho
"Un jour avec, un jour sans" a ceci d'intéressant d'oser le pari risqué du dédoublement littéral de son récit.
Télérama
par Frédéric Strauss
Tout est dirigé, puis redirigé imperceptiblement, jusqu'à un renversement complet du tableau. Pour Hong Sang-soo, le cinéma est un tour de magie sans trucage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans une vertigineuse mise en abyme, Hong Sangsoo montre deux artistes perdus, dévoile leur fragilité et leur complexité, entre rires, maladresses et gênes. Avec une grande économie de moyens, il déploie une belle puissance émotionnelle dans des tonalités douces-amères.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Lent et bavard, cet exercice de style n’en demeure pas moins touchant et traversé d’instants de grâce.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un cinéaste en quête d'amour, l'ivresse comme seul moyen d'échapper à la réalité et un récit-miroir qui joue avec le spectateur : on retrouve ce qui fait le cinéma d'Hong Sang-soo.
L'Obs
par La Rédaction
Vaut mieux rester à la maison regarder le robinet goutter. Au moins, il se passe quelque chose.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
Combien de films vont aussi loin dans la mise à nu sans tomber dans l’histrionisme ?
L'Humanité
On est désarmé et touché par l’éternelle fraîcheur de ce cinéma élémentaire, par la sobriété et le réalisme des situations, par les personnages aux défauts émouvants. Hong Sang-soo est un génie. Il a inventé le mouvement perpétuel au cinéma.
Les Inrockuptibles
Brève rencontre entre un cinéaste et une jeune peintre racontée deux fois, avec de subtiles variations. L’art sophistiqué de conteur de HSS à son sommet.
Libération
Que ce genre de magnifique gratuité soit érigée en panache, et que ce panache vienne entièrement recouvrir les modulations d’Un jour avec, un jour sans, hisse les existences minuscules qui s’y agitent, ainsi que les nôtres, à la dignité d’être vécues.
Paris Match
Consolidé par un duo d'acteurs éblouissant, ce pas de deux, mené sur la pointe des cœurs, est malicieusement dédoublé par le réalisateur coréen. Le film se divise en deux parties, la seconde étant la répétition de la première avec des variations. Drôle et mélancolique, passant de la délicatesse à l'ivresse, de la retenue à l'excès, "Un jour avec, un jour sans", c'est aussi un jour sans fin… mais avec soif.
TF1 News
Une cruelle douceur émane de ce marivaudage certes théorique mais aussi terriblement incarné où, en dépit de l'impression de déjà-vu, Hong Sang-Soo parvient encore à nous surprendre, composant quelques-uns des plus beaux plans de sa filmographie.
20 Minutes
Hong Sang-soo signe "Un jour avec, un jour sans", où il continue à explorer la Carte du Tendre avec délicatesse...
Critikat.com
Hong Sang-soo est passé maître dans l’art d’édifier tout un programme à partir de trois fois rien.
Culturopoing.com
Le dernier film du réalisateur coréen reprend le dispositif narratif en diptyque de ses premières réalisations, mais avec le trait lumineux qu'on lui connaît depuis quelques années. (…) Le film demeure une somme indistincte, sans causalité autre qu'empirique, (…) une sorte de repentir continu ; une correction qui ajoute imperfection sur imperfection ; un conte impossible de cinéma (et de vie) en forme de boucle défaite.
La Septième Obsession
Le dédoublement de "Un jour avec, un jour sans" suggère plus fortement que jamais que Hong Sang-soo tient autant de Rohmer que de Cassavetes.
Le Monde
C'est, évidemment, la ruse et la finesse suprêmes. Et une joie profonde, pour le spectateur, de s'embarquer, sur cette proposition qui le ramène à l'enfance, au jeu des sept différences.
Les Fiches du Cinéma
On est encore séduit par le cinéma de Hong Sang-soo, cocasse et élégant, même si sa mécanique narrative donne quelque peu le sentiment de virer au système.
Positif
Les derniers plans sont parmi les plus beaux qu'ait jamais filmés le cinéaste.
Première
Plus optimiste que jamais, Hong Sang-soo livre une démonstration réjouissante des vertus de l’honnêteté dans la parade amoureuse.
Transfuge
"Un jour avec, un jour sans" a ceci d'intéressant d'oser le pari risqué du dédoublement littéral de son récit.
Télérama
Tout est dirigé, puis redirigé imperceptiblement, jusqu'à un renversement complet du tableau. Pour Hong Sang-soo, le cinéma est un tour de magie sans trucage.
La Croix
Dans une vertigineuse mise en abyme, Hong Sangsoo montre deux artistes perdus, dévoile leur fragilité et leur complexité, entre rires, maladresses et gênes. Avec une grande économie de moyens, il déploie une belle puissance émotionnelle dans des tonalités douces-amères.
Le Journal du Dimanche
Lent et bavard, cet exercice de style n’en demeure pas moins touchant et traversé d’instants de grâce.
Studio Ciné Live
Un cinéaste en quête d'amour, l'ivresse comme seul moyen d'échapper à la réalité et un récit-miroir qui joue avec le spectateur : on retrouve ce qui fait le cinéma d'Hong Sang-soo.
L'Obs
Vaut mieux rester à la maison regarder le robinet goutter. Au moins, il se passe quelque chose.