Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Positif
par Ophir Levy
Le film (...) impressionne tout d'abord par son art de la composition des plans, reposant sur des effets de déséquilibre au sein du cadre associés à la frontalité et à la durée des prises.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On retrouve dans ce deuxième long-métrage, tourné en noir et blanc et d’un laconisme extrême, tout le talent d’Avishai Sivan pour suggérer une atmosphère étrange, un univers sans affect apparent, tourné entièrement vers la recherche d’un autre monde, une sorte de rêve éveillé où le réalisme joue à tout moment sa peau aux franges de l’onirisme.
Marianne
par Grégoire Chertok
À méditer par ces temps de résurgence des communautarismes.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Avishai Sivan film ce trouble intérieur avec une mise en scène à l'ascèse fascinante et un noir et blanc d'une beauté renversante.
Télérama
par Frédéric Strauss
Davantage que le fanatisme religieux, c'est la liberté qui est questionnée, presque philosophiquement. L'Homme peut-il vraiment changer de place, faire un pas de côté ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Jérémy Gallet
Envoûtant, d’une indéniable beauté poétique, assurément la marque d’un grand cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Que cela en déconcerte certains, c’est possible, mais les cinéastes casse-cou sont toujours préférables aux faiseurs policés.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Ce réalisateur, dont c’est le deuxième film après "le Vagabond", a un style et une vision. On aime ou on déteste. Mais le talent est vrai.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Un film énigmatique et sensuel, mais un peu trop austère.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Sans être complètement convaincu, car on ne voit pas bien à quoi tout cela rime, on ne peut pas ignorer l’humour sous-jacent de cette fable, aussi déroutant que discret.
Libération
par Julien Gester
Pétri de maîtrise, le film brode la doublure de son trouble d’une drôlerie certaine, hélas lestée par le symbolisme soutenu (à base notamment d’origine du monde et de crocodile surgi des chiottes) et le hiératisme noir et blanc de ses atours trop léchés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
Le film (...) impressionne tout d'abord par son art de la composition des plans, reposant sur des effets de déséquilibre au sein du cadre associés à la frontalité et à la durée des prises.
Le Monde
On retrouve dans ce deuxième long-métrage, tourné en noir et blanc et d’un laconisme extrême, tout le talent d’Avishai Sivan pour suggérer une atmosphère étrange, un univers sans affect apparent, tourné entièrement vers la recherche d’un autre monde, une sorte de rêve éveillé où le réalisme joue à tout moment sa peau aux franges de l’onirisme.
Marianne
À méditer par ces temps de résurgence des communautarismes.
Studio Ciné Live
Avishai Sivan film ce trouble intérieur avec une mise en scène à l'ascèse fascinante et un noir et blanc d'une beauté renversante.
Télérama
Davantage que le fanatisme religieux, c'est la liberté qui est questionnée, presque philosophiquement. L'Homme peut-il vraiment changer de place, faire un pas de côté ?
aVoir-aLire.com
Envoûtant, d’une indéniable beauté poétique, assurément la marque d’un grand cinéaste.
L'Humanité
Que cela en déconcerte certains, c’est possible, mais les cinéastes casse-cou sont toujours préférables aux faiseurs policés.
L'Obs
Ce réalisateur, dont c’est le deuxième film après "le Vagabond", a un style et une vision. On aime ou on déteste. Mais le talent est vrai.
Les Fiches du Cinéma
Un film énigmatique et sensuel, mais un peu trop austère.
Les Inrockuptibles
Sans être complètement convaincu, car on ne voit pas bien à quoi tout cela rime, on ne peut pas ignorer l’humour sous-jacent de cette fable, aussi déroutant que discret.
Libération
Pétri de maîtrise, le film brode la doublure de son trouble d’une drôlerie certaine, hélas lestée par le symbolisme soutenu (à base notamment d’origine du monde et de crocodile surgi des chiottes) et le hiératisme noir et blanc de ses atours trop léchés.