Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Des films « ancrés localement », on en trouve à foison dans le cinéma français, mais peu comme Suite Armoricaine, qui fait précisément de la question de l’inscription dans un territoire sa raison d’être.
Critikat.com
par Clément Graminiès
"Suite armoricaine" trace sa route, aussi sinueuse soit-elle, vers un territoire aussi beau qu’inconnu.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un régionalisme éclairé, intime et nuancé, aux prolongements humanistes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Avec ces trois personnages centraux délicieusement trempés, plus tout un cortège d’universitaires filmé avec grâce, Pascale Breton compose une suite à la fois mélancolique et vivifiante, lyrique, pétrie d’émotions sensorielles allant du bruissement du vent dans les arbres au chahut de vieux airs punks.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Si Pascale Breton y parvient de façon aussi convaincante, c'est qu'elle a donné à son long film (deux heures et demie) l'ampleur du conte qui se déploierait sur plusieurs veillées.
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
La cinéaste Pascale Breton fait s'interpénétrer avec une intelligence et une délicatesse confondantes une multiplicité de couches d'histoire. Une œuvre fascinante, enracinée dans le réel et d'une légèreté étourdissante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Anne Diatkine
Dans ce personnage sans but, qui ne se laisse entraver par aucune ambition conformiste, mais découvre son dessein après coup, Valérie Dréville, son contour indéfini, et son physique si loin de toute mode, fait merveille.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Alain Masson
Ce jeu du débordement romanesque avec un propos strict n'est pas le moindre mérite de "Suite armoricaine".
Première
par Damien Leblanc
Rares sont les films français capables de faire surgir avec inspiration des univers peuplés de fantômes et de souvenirs enfouis. Tel est pourtant le miracle qui advient au cœur d’un décor labyrinthique (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Multipliant les énigmes et les coïncidences, bâti à la manière d'un thriller philosophique, le film n'est jamais empesé, cérébral ou oiseux. Fort de sa lumineuse inspiration, il va vers un dénouement bouleversant, conduit par cette proposition heureuse : « L'énigme est peut-être la seule langue à pouvoir dire la réalité ».
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Frédéric Mercier
Il y a du Desplechin dans cette façon de jouer avec les temporalités, de faire cohabiter le mythologique, le psychanalytique et le romanesque.
Télérama
par Frédéric Strauss
La cinéaste accompagne avec ferveur ce mouvement d'avancée inscrit dans le titre. Elle accueille la fragilité des personnages, qui ont tous perdu et pas encore retrouvé leurs repères, pour mieux les entraîner vers un territoire à défricher, à déchiffrer, dont ils prennent peu à peu la belle mesure : leur vie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le récit, labyrinthique, avance à tâtons, comme ses personnages qui refusent une partie de la réalité. Fluide, il captive par ses jeux de miroirs, sa progression par boucles successives, ses mystères qui prennent peu à peu sens, ses délicates ruptures qui ouvrent la fascinante reprise de scènes sous d’autres points de vue.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
La vision apaisante de cette Arcadie de fiction (…) est le point d’orgue d’un périple nostalgique, aussi mental que matériel, qui happe et intrigue sans recourir aux conventions habituelles du cinéma romanesque. Un pèlerinage habité.
Ouest France
par Pierre Fornerod
La réalisatrice distille un regard intéressant sur l'art et la mémoire. Mais pourquoi en faire un film si long !
L'Obs
par La Rédaction
Quelques scènes laissent entrevoir ce que le film aurait pu être, qu’il n’est que par instants : ainsi cette rencontre au café entre Françoise et Moon (Elina Löwensohn, parfaite), qui bouleverse les codes des relations entre l’intellectuelle dont les doutes exposés longuement n’entament pas les certitudes et la femme qui tente juste de survivre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Pascale Breton (...) se regarde bien trop filmer dans cet interminable récit d'une année universitaire vécue par deux personnages aux destins entrelacés.
Cahiers du Cinéma
Des films « ancrés localement », on en trouve à foison dans le cinéma français, mais peu comme Suite Armoricaine, qui fait précisément de la question de l’inscription dans un territoire sa raison d’être.
Critikat.com
"Suite armoricaine" trace sa route, aussi sinueuse soit-elle, vers un territoire aussi beau qu’inconnu.
L'Humanité
Un régionalisme éclairé, intime et nuancé, aux prolongements humanistes.
Le Journal du Dimanche
Avec ces trois personnages centraux délicieusement trempés, plus tout un cortège d’universitaires filmé avec grâce, Pascale Breton compose une suite à la fois mélancolique et vivifiante, lyrique, pétrie d’émotions sensorielles allant du bruissement du vent dans les arbres au chahut de vieux airs punks.
Le Monde
Si Pascale Breton y parvient de façon aussi convaincante, c'est qu'elle a donné à son long film (deux heures et demie) l'ampleur du conte qui se déploierait sur plusieurs veillées.
Les Fiches du Cinéma
La cinéaste Pascale Breton fait s'interpénétrer avec une intelligence et une délicatesse confondantes une multiplicité de couches d'histoire. Une œuvre fascinante, enracinée dans le réel et d'une légèreté étourdissante.
Libération
Dans ce personnage sans but, qui ne se laisse entraver par aucune ambition conformiste, mais découvre son dessein après coup, Valérie Dréville, son contour indéfini, et son physique si loin de toute mode, fait merveille.
Positif
Ce jeu du débordement romanesque avec un propos strict n'est pas le moindre mérite de "Suite armoricaine".
Première
Rares sont les films français capables de faire surgir avec inspiration des univers peuplés de fantômes et de souvenirs enfouis. Tel est pourtant le miracle qui advient au cœur d’un décor labyrinthique (...).
Sud Ouest
Multipliant les énigmes et les coïncidences, bâti à la manière d'un thriller philosophique, le film n'est jamais empesé, cérébral ou oiseux. Fort de sa lumineuse inspiration, il va vers un dénouement bouleversant, conduit par cette proposition heureuse : « L'énigme est peut-être la seule langue à pouvoir dire la réalité ».
Transfuge
Il y a du Desplechin dans cette façon de jouer avec les temporalités, de faire cohabiter le mythologique, le psychanalytique et le romanesque.
Télérama
La cinéaste accompagne avec ferveur ce mouvement d'avancée inscrit dans le titre. Elle accueille la fragilité des personnages, qui ont tous perdu et pas encore retrouvé leurs repères, pour mieux les entraîner vers un territoire à défricher, à déchiffrer, dont ils prennent peu à peu la belle mesure : leur vie.
La Croix
Le récit, labyrinthique, avance à tâtons, comme ses personnages qui refusent une partie de la réalité. Fluide, il captive par ses jeux de miroirs, sa progression par boucles successives, ses mystères qui prennent peu à peu sens, ses délicates ruptures qui ouvrent la fascinante reprise de scènes sous d’autres points de vue.
Les Inrockuptibles
La vision apaisante de cette Arcadie de fiction (…) est le point d’orgue d’un périple nostalgique, aussi mental que matériel, qui happe et intrigue sans recourir aux conventions habituelles du cinéma romanesque. Un pèlerinage habité.
Ouest France
La réalisatrice distille un regard intéressant sur l'art et la mémoire. Mais pourquoi en faire un film si long !
L'Obs
Quelques scènes laissent entrevoir ce que le film aurait pu être, qu’il n’est que par instants : ainsi cette rencontre au café entre Françoise et Moon (Elina Löwensohn, parfaite), qui bouleverse les codes des relations entre l’intellectuelle dont les doutes exposés longuement n’entament pas les certitudes et la femme qui tente juste de survivre.
Studio Ciné Live
Pascale Breton (...) se regarde bien trop filmer dans cet interminable récit d'une année universitaire vécue par deux personnages aux destins entrelacés.