Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Critikat.com
par Adrien Dénouette
"No Home Movie" boucle ainsi (...) l’œuvre immense d’une petite fille qui avait commencé par saccager la cuisine de maman.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Découvrir ce film aujourd’hui, c’est évidemment ressentir l’émotion d’un double deuil face à un lien mère-fille qui était si puissant dans la vie qu’il s’est prolongé au cinéma et jusque dans la mort. C’est constater aussi que sous ses dehors superficiels de petit film de famille, "No Home Movie" est une puissante oeuvre récapitulative (comme l’on comprend ce titre!), l’épilogue d’une immense cinéaste en lequel résonnent les échos de "Saute ma ville", "News from Home", "Jeanne Dielman…", "Demain on déménage"…
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Les derniers instants du film, qui sont aussi les ultimes vibrations d’une œuvre immense, forment alors comme un projet de cinéma : contre la mort qui s’avance inexorablement, chercher par l’image à garder vivants ceux qu’on aime.
La Septième Obsession
par Arnaud Hallet
"No Home Movie" est ainsi un cinéma de résilience et de résistance. Son pouvoir d’action ? Raviver les mémoires. Il porte en lui une mémoire double : intime et collective.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
"No Home Movie" est un film infiniment touchant où l’intime et l’universel ne font qu’un, de même la vie et la création. L’art documentaire de Chantal Akerman y déploie toute sa force, intuitive, souterraine, quasi primitive.
Positif
par Éric Derobert
"No Home Movie", avouons-le, relève d'un art brut essentiellement habité par et pour ses protagonistes. Il nous émeut cependant, parce qu'il renvoie aux débuts de Chantal Akerman comme cinéaste expérimentale des années 1970.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Chantal Akerman, décédée cette année, aura inventé le cinéma de l'intime. Cet ultime regard filme sa mère qui s'en va peu à peu, et transfigure le réel en morceaux de poésie bruts.
Télérama
par Jacques Morice
Il y a quelque chose de troublant à savoir que Chantal Akerman a disparu peu de temps après sa mère.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Isabelle Regnier
L'honnêteté absolue de ce dispositif rappelle la frontalité nue avec laquelle elle (Chantal Akerman) approchait ses sujets dans les années 1970 (...).
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Constitué de bouts épars, issus d'archives personnelles, ce travail radical pourra en décourager plus d'un.
Première
par Isabelle Danel
Exigeant et minimaliste, tourné avec une petite caméra à l’image approximative et au son idoine, ce documentaire centré sur sa mère est un pêlemêle. (...) Paroles et silences, non-dits et résurgences… On pense à Jeanne Dielman... Une vie de rien, si grande pourtant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
"No Home Movie" boucle ainsi (...) l’œuvre immense d’une petite fille qui avait commencé par saccager la cuisine de maman.
Les Inrockuptibles
Découvrir ce film aujourd’hui, c’est évidemment ressentir l’émotion d’un double deuil face à un lien mère-fille qui était si puissant dans la vie qu’il s’est prolongé au cinéma et jusque dans la mort. C’est constater aussi que sous ses dehors superficiels de petit film de famille, "No Home Movie" est une puissante oeuvre récapitulative (comme l’on comprend ce titre!), l’épilogue d’une immense cinéaste en lequel résonnent les échos de "Saute ma ville", "News from Home", "Jeanne Dielman…", "Demain on déménage"…
Cahiers du Cinéma
Les derniers instants du film, qui sont aussi les ultimes vibrations d’une œuvre immense, forment alors comme un projet de cinéma : contre la mort qui s’avance inexorablement, chercher par l’image à garder vivants ceux qu’on aime.
La Septième Obsession
"No Home Movie" est ainsi un cinéma de résilience et de résistance. Son pouvoir d’action ? Raviver les mémoires. Il porte en lui une mémoire double : intime et collective.
Le Journal du Dimanche
"No Home Movie" est un film infiniment touchant où l’intime et l’universel ne font qu’un, de même la vie et la création. L’art documentaire de Chantal Akerman y déploie toute sa force, intuitive, souterraine, quasi primitive.
Positif
"No Home Movie", avouons-le, relève d'un art brut essentiellement habité par et pour ses protagonistes. Il nous émeut cependant, parce qu'il renvoie aux débuts de Chantal Akerman comme cinéaste expérimentale des années 1970.
Studio Ciné Live
Chantal Akerman, décédée cette année, aura inventé le cinéma de l'intime. Cet ultime regard filme sa mère qui s'en va peu à peu, et transfigure le réel en morceaux de poésie bruts.
Télérama
Il y a quelque chose de troublant à savoir que Chantal Akerman a disparu peu de temps après sa mère.
Le Monde
L'honnêteté absolue de ce dispositif rappelle la frontalité nue avec laquelle elle (Chantal Akerman) approchait ses sujets dans les années 1970 (...).
Les Fiches du Cinéma
Constitué de bouts épars, issus d'archives personnelles, ce travail radical pourra en décourager plus d'un.
Première
Exigeant et minimaliste, tourné avec une petite caméra à l’image approximative et au son idoine, ce documentaire centré sur sa mère est un pêlemêle. (...) Paroles et silences, non-dits et résurgences… On pense à Jeanne Dielman... Une vie de rien, si grande pourtant.