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    Senses 1&2
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    3,8
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    42 critiques spectateurs

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    mat niro
    mat niro

    352 abonnés 1 812 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 juin 2018
    Encensée par la critique, j'ai trouvé cette "série cinéma" assez lente avec beaucoup de vide malgré des dialogues omniprésents. On ne peut pas parler ici de thriller mais plutôt des états d'âmes de quatre amies subissant des problèmes dans leur travail ou dans leurs relations conjugales. Des femmes ordinaires du Japon découvrant leurs failles où toutefois la scène du café après l'atelier "corporel" mérite le détour. Et seulement cela, même si l'ensemble n'est pas si désagréable que ça. Peu convaincu pour visionner le reste de cette oeuvre...
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 351 abonnés 4 157 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 mai 2018
    Primé au Festival des Trois Continents et celui de Locarno sous le titre « Happy Hour », Ryusuke Hamaguchi réalise le projet fou de suivre le quotidien de quatre japonaises pour un film de cinq heures et dix-sept minutes. Finalement le distributeur a fait le choix de découper l’histoire en épisodes pour les sortir sur trois semaines consécutives. Rebaptisé Senses, la première série cinéma prend son temps lors de très longs échanges entre les personnages. Pourtant Senses fascine. Dans l’épisode 1 et 2 nous découvrons quatre femmes d’une trentaine d’années tout à fait normales, soit en couple ou en procédure de divorce. Elles aiment se retrouver pour quitter leur cocon et participer à un atelier de toucher, pour pique-niquer ou pour visiter la source thermale d’Arima. Dans une mise en scène épurée, le cinéaste dresse le portrait intime de femmes dans le Japon moderne aux travers de leurs déterminations, de leur honnêteté et aussi de leurs doutes et de leurs défauts. A la fois simple et profond Senses 1 & 2 nous éblouit par sa vitalité et sa délicatesse et nous serons au rendez-vous lors les prochains épisodes.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Ricco92
    Ricco92

    217 abonnés 2 147 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 mai 2018
    Film à la base constitué d’un seul et unique bloc, Senses sort en France sous la forme de 5 épisodes distribués en 3 films. Ce choix de distribution peut se comprendre car le rythme très lent se fait déjà ressentir sur les 2H19 que durent ces deux premiers volets. Même si on peut être intéressé par sa description de la vie d’un groupe d’amies japonaises, on peut facilement décrocher spoiler: (surtout avec la longue conversation finale dans le bus)
    : deviner ce qu’il en serait si on regardait d’un seul tenant les 5h17 que dure l’œuvre complète serait aisé. Intéressant, surtout d’un point de vue sociologique, mais trop lent.
    Yves G.
    Yves G.

    1 451 abonnés 3 475 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 mai 2018
    À Kobé de nos jours. Une amitié entre quatre femmes qui approchent de la quarantaine.
    Infirmière aguerrie, Akari vient de divorcer. Femme au foyer, Sakurako vit sous la coupe d'un mari autoritaire. Fumi semble elle heureuse en ménage avec un époux qui partage sa passion pour l'art. Jun a engagé une procédure de divorce particulièrement conflictuelle.

    Le bandeau qui surplombe l'affiche de "Senses" est trompeur. "Senses" n'est pas la première "série cinéma". Son distributeur Art House avait déjà innové en distribuant en 2013 en deux volets les cinq épisodes de la mini-série "Shokuzai" de Kiyoshi Kurosawa. En tout état de cause, "Senses" n'est pas vraiment une série, comme on en voit tant aux épisodes millimétrés et au scénario rebondissant, mais plutôt un long film de plus de cinq heures découpé en cinq tableaux d'une longueur inégale.

    Son résumé pourrait laisser penser qu'il s'agit d'un thriller, que son fil narratif s'organise autour de la disparition d'une des quatre héroïnes. Tel n'est pas le cas. Et sans doute ma déception est-elle née de ce malentendu. "Senses" est en fait un film contemplatif et lent dont il ne faut attendre ni coup de théâtre ni retournement. Il filme au scalpel quatre femmes et s'essaie à travers elles à une radiographie des rapports hommes-femmes dans un Japon encore largement patriarcal.

    C'est peu dire que les rapports humains au Japon n'empruntent pas les mêmes formes que celles auxquelles nous sommes familiers en Occident. Ils y sont d'une infinie délicatesse, d'une horripilante politesse. On peut s'en étonner ; on peut en sourire, mi-gêné, mi-moqueur ; on s'y habitue au fur et à mesure que "Senses" progresse, filmant ad nauseam d'interminables scènes de groupes de cinq ou six protagonistes où les héroïnes, en compagnie de leurs maris, se déchirent poliment. Leur "body language" est aux antipodes du nôtre : le buste est immobile, les mains ne sont jamais visibles. Tout au plus, à l'acmé d'une dispute, un personnage se permet-il d'élever le ton.

    Le distributeur a eu le bon goût de diviser ce film en trois épisodes d'une inégale longueur. J'invite ceux que le premier volet - qui dure à lui seul plus de deux heures - n'aurait pas convaincu à ne pas regarder les deux suivants. J'aurais dû suivre ce sage conseil ; mais j'ai imaginé que "l'action" allait démarrer. Je me suis lourdement trompé. Le rythme reste le même : catatonique. Pour autant, fidèle lecteur, n'écoute pas mon seul avis : des "Cahiers du Cinéma" au "Monde", en passant par "Libération" et "Les Inrocks", "Senses" est couvert d'éloges.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 mai 2018
    Ce film est beaucoup trop lent, les scènes sont interminables, certaines manquent d’intérêt. Ce film manque également d’émotions.
    Severine S
    Severine S

    8 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2018
    Le film commence dans un brouillard épais a Kobe au Japon ou quatre femmes travaillent intensément telles une infirmière de 40 ans,très prise par son métier une autre mère au foyer d'un adolescent de 13 ou 14 ans dont le mari travaille et deux autres femmes que l'on découvre peu a peu surtout lors d'un stage sensoriel ou l'expérience est de se toucher pour rentrer en contact,cela peut sembler d'ailleurs un peu déroutant pour nous spectateurs Français mais au final cette expérience sera marquante et chaque femme va a la fin de la journée se livrer sur son ressenti mais aussi sa vie personnelle spoiler: ,divorce
    notamment et son travail et ses difficultés;On apprend donc peu a peu a cerner ces 4 femmes quadragénaires je pense ou ayant autour de 40 ans et a connaitre leur tempérament,leurs joies et leur peines..C'est tout un temps d'apprivoisement qui se crée autour de rites tels des repas,des balades dans une nature merveilleuse spoiler: a' l'instar de cascades sublimes et dépaysantes et apaisantes et
    de jeux spoiler: comme le scrabbl
    e qui met en relation plus étroite et amicale ces 4 jeunes japonaises toutes attachantes malgré leur personnalité différente.L'une ceci dit vit un combat bien plus éprouvant, spoiler: son mari ne veut pas divorcer [spoiler]e
    t on[/spoiler] spoiler: assiste a une douloureuse séance au tribunal impuissant ou
    spoiler: Jun l'une des quatre femmes tente de se défendre et de faire valoir sa position sans être vraiment entendue ni reconnue[/spoiler[spoiler]]Et son mari la harcèle .
    .Ensuite vient le temps d'une journée magnifique de décontraction autour d'une cascade,de photos de rire échangés de petits plaisirs puis d'une conversation dans un bus qui présage de la suite.
    .On pressent la suite évidemment.;et j'ai hâte de la connaitre même si je dois avouer que le film m'a semblé s'étirer un peu.2 h 20 c'est long et pas long a la fois mais il ya quelques longueurs,quelques scènes pas forcément nécessaires même si c'est un film a voir absolument spoiler: ou plutôt une télésérie en 2 Parties
    .Ca ne m' a pas déçue et j'avoue avoir été suprise par la décontraction même et modernité de ces femmes que je pensais plus coincées,entre guillemets plus soumises alors qu'elles ont leur franc parler et sont comme nous les occidentales au final a quelques nuances près,comme les salutations mais bon c'est typiquement japonais..Je recommande quand même ce film pour les décors et surtout l'histoire,la psychologie des ces 4 femmes et leur vécu qui ne laisse pas indifférent..
    ffred
    ffred

    1 686 abonnés 4 013 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 mai 2018
    Sorti au Japon et dans les festivals en un seul film de plus de cinq heures, Senses arrive sur nos écrans en trois films séparés et cinq parties (1 & 2 : 2h19, 3 & 4 : 1h25 et 5 : 1h15). On ne peut pas dire que pour son premier film le réalisateur japonais Ryusuke Hamaguchi a fait dans la facilité. Il nous offre quatre magnifiques portraits de femmes, quatre amies, dans le Japon d’aujourd’hui, à travers leurs amitiés, leurs vies quotidiennes -maris, enfants, travail…-, leurs espoirs et leurs déceptions. Le rythme est très lent. Il s’y passe pourtant énormément de choses. Sur plus de cinq heures, la mise en scène (magnifique, discrète) et le scénario (subtil et profond, comme seuls les japonais savent le faire) prennent le temps pour dresser ces portraits et nous rendre les personnages aussi sympathiques qu’énervant, mais au final tous attachants. Les quatre actrices (dont c’est, pour chacune, le premier film) sont formidables. Elles ajoutent au charme et à la fascination que l’ensemble finit par créer. Au final, on est là, certes, devant un certain exercice de style, mais parfaitement maitrisé et jamais ennuyeux. Techniquement superbe, voilà donc, sous forme de série cinématographique, un magnifique portrait du Japon d’aujourd’hui. Une très belle surprise.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 mai 2018
    Senses 1 and 2 (toucher et ouïe) dure 2h19. C'est un film sans action au sens propre. Il s'agit des déboires ordinaires (coupe et divorce, travail...) de 4 femmes. Ces amies découvrent des faces cachées de la vie et/ou du caractère de chacune. Leur amitié est alors bousculée dans ce qui était pourtant une évidence. On s'attache aux personnages interprétés par de très belles actrices. On y retrouve tous les codes de la société japonaise et pour ma part j'y 'ai découvert la condition des femmes dans ce pays. Le film est beau et délicat mais lent.
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    78 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2018
    Quatre jeunes femmes japonaises. Cinq épisodes. On pense à Shokuzai -évidemment! Sauf que, analyse sur fond de thriller de l'évolution difficile de ces jeunes femmes après un événement atroce de leur enfance, le viol et l'assassinat d'une de leurs compagnes de classe, et réalisé par le grand Kiyoshi Kurosawa.... Shokuzai était un chef d'œuvre. Ici, on en est loin, très loin.... Senses, s'apparente plutôt à un long pensum prétentieux dont le but (assez bien atteint par ailleurs) serait de nous montrer la difficile cohabitation des hommes et des femmes dans le Japon contemporain. Non, Ryusuke Hamaguchi n'est pas Kurosawa. Ni Kenji Mizoguchi comme il le pense, peut être. Non, il ne suffit pas de rouler en seconde pour être un génie. Chez Mizoguchi, quand il ne se passe rien, on est émerveillé. Chez Hamaguchi, quand il ne se passe rien, on s'ennuie ferme.... Et dès le premier acte, qui commence par une scène d'une longueur insupportable, on est dans l'ambiance. Il s'agit d'un "atelier" auquel assistent les amies, entre gêne et ravissement, où on se touche par le front pour former une "boucle", où l'on écoute le ventre de son partenaire, pour arriver à une meilleure connaissance de soi. Bref, charlatanisme de gourou ordinaire mais comme on est encore très intrigué, très en attente, cela ne passe pas trop mal. 
              Deux parmi ces jeunes femmes sont des amies d'enfance; les deux autres ont rejoint le groupe plus récemment, sous l'influence de la très sociable Jun. Toutes plutôt bourgeoises, elles ont des vies très différentes. 
              Akari (Sachie Tanaka) est infirmière. Grande gueule, habillée plutôt mode, n'hésitant pas à faire le clown tout comme à agresser un contradicteur, intrusive vis à vis  du groupe dont elle exige une sincérité totale, elle n'a en fait jamais assumé son divorce: le fait d'avoir été trompée, puis larguée, et se cherche désespérément un mec. Sakukaro (Hazuki Kikuchi) est presque son contraire. Femme au foyer soumise, elle se dévoue à son mari, tyran domestique mal gracieux, sa belle-mère -une vieille dame plutôt rigolote et de bon sens- et son fils ado, qui a l'air encore d'un grand bébé, ne pas se fier aux apparences. Les sorties avec les copines sont son oxygène.... Pour Fumi (Maiko Mihara) tout semble aller bien. Elle vit avec son mari (dont le côté intello se manifeste par une chevelure jusqu'à la taille...) dans le monde culturel; il est éditeur; elle est dans l'événementiel. Pourtant, elle a souvent l'air triste, comme si elle craignait quelque chose (pour son couple?)  Enfin il y a Jun (Rira Kawamura), qui a décidé de demander le divorce [il semble qu'elle n'ait aucune chance de l'obtenir, ce divorce; apparemment, au Japon, si le mari n'est pas consentant, c'est niet.... on pense à Vivian Amsalem, sous d'autres cieux!], parce qu'elle ne supporte plus son chercheur de mari, revendique le droit d'avoir un amant, assume de devoir faire des petits boulots pour subsister, refuse absolument de reprendre la vie commune, et qui malgré tout semble bien plus vivante que les autres..... Jun dont le culot tranquille est pour les autres filles un révélateur. Jun qui les ramène au morne de leurs existences.
              Dans ce Japon, on a l'impression que hommes et femmes vivent dans des mondes séparés. Pour les hommes, raides, empesés dans leurs responsabilités professionnelles, engoncés dans leurs certitudes, quasiment castrés, la jeune fille dont ils ont été amoureux n'est plus qu'un meuble dans leur vie. Pour les femmes, l'amitié entre filles  est alors quelque chose de fort et d'important.... 
              Dans ce Kobe coince entre mer et montagne verdoyante, noyée sous la végétation (mais où sont les boeufs?), il semble que la politesse traditionnelle soit éternelle.... On ne cesse de se saluer avec courbettes, de se remercier avec courbettes, de s'excuser avec courbettes..... Aligatô par ci, alligatô par là.... Ce qui culmine avec une scène quasiment surréaliste. La famille d'un jeune sacripant vient s'excuser avec forces courbettes, en kimono traditionnel, une enveloppe bourrée de billets à la main, chez les parents d'une ado enceinte, et contrainte d'avorter. Ce côté ethnologique là est évidemment amusant pour nous autres européens. Si du moins il est vrai. Si le réalisateur n'a pas forcé le trait pour épater un public occidental. Car, grands admiratrice de Kawase et de Koré-Eda, et par ce biais familière avec le Japon contemporain, je n'y retrouve pas autant de cérémoniel....
    soulman
    soulman

    85 abonnés 1 205 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mai 2018
    Des personnages sans aspérités, un récit lisse évitant une dramatisation excessive, ces deux premières parties de "Senses" ne m'ont pas convaincu. Les longueurs du récit (les échanges interminables autour d'un verre, à la suite de l'atelier) ne m'incitent pas, hélas, à continuer l'expérience...
    Quoide9docteur
    Quoide9docteur

    5 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mai 2018
    Senses 1&2 dure 2h19 et on les sent passer. Il représente qu'une partie d'un film de plus de 5h. Le film a des qualités notamment sociologique sur le rôle des femmes dans la sociétés japonaise actuelle. Mais c'est bavard, des scènes sont trop longues ou inutiles et le rythme est lent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 mai 2018
    Comment résumer: le temps s'écoule, la vie aussi et les 2 h20 semblent déjà trop courtes! Comédiennes amatrices paraît il, toutes quatre d'un naturel bluffant! Mise en scène légère, d'un classicisme naturaliste. Une entreprise cinématographique hors norme qui nous emporte. On attend la suite avec gourmandise. Ce cinéma nous rend heureux.
    Stephen S
    Stephen S

    17 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mai 2018
    Je suis en pleine lecture d'Aki Shimazaki alors Sense est du pain béni pour ressentir le japon d'aujourd'hui. Je pratique le kendo, donc mon regard sur le japon était surtout d'avant Meiji.
    Le film est une construction de plan d'un équilibre étrange, comme l'artiste japonnais qui créer des équilibre avec les déchets des plages.
    Il y a quelque chose qui dans cette première partie qui m'a fait penser à "Après la guerre" d'Annarita Zambrano, des gros plans ou s'exprime la profondeur des êtres, avec une petite porte quelque part au fin fond de soi qui veut s'ouvrir sur l'inconnaissable.
    zoupeurman
    zoupeurman

    13 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 mai 2018
    Une belle tranche de vie ternie par un rythme lent caractéristique du genre japonais. Les personnages sont lisses et il est difficile d'éprouver de l'empathie et de l'attachement.
    Anne M.
    Anne M.

    70 abonnés 639 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mai 2018
    « Senses » est un feuilleton cinématographique en 5 épisodes, présenté sur trois semaines.

    Après plus de deux heures pour ces deux premiers épisodes, chacun consacré à un des 5 sens, il est certain que j’irai voir les 3 épisodes suivants.

    De nos jours à Kobe. 4 amies empruntent un funiculaire vers les hauteurs de la ville et déjeunent ensemble abritées sous la pluie.

    Le film s’attache ensuite a brosser un portrait progressif et détaillé de chacune de ces femmes. Les dialogues y ont une importance capitale, occupant une place importante et animent un décor sobre et agréable mais plutôt statique.

    J’ai eu l’impression d’être invitée parmi ces amies à l’autre bout du monde, partageant avec elles diverses questions du quotidien des femmes japonaises. Certaines plus intéressantes que d’autres. Le cinéaste parvient à insuffler du ressort dramatique à l’ensemble, le film suscite petit à petit un intérêt croissant.

    A suivre …

    Mon blog : larroseurarrose.com
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