Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Si l’influence de Cassavetes est nette dans cette façon d’étirer les scènes, Senses se distingue de Faces ou Husbands par son flegme surprenant, cette tranquillité tout en surface qui donne parfois l’impression trompeuse qu’Hamaguchi cherche des modèles de Bresson dans ses extraordinaires interprètes amateurs (...).
Le Monde
par Mathieu Macheret
"Senses" est une véritable merveille, une fresque chorale d’une beauté et d’une profondeur confondantes, dépeignant de sublimes portraits de femmes au quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Jérémy Piette
Par-delà ses beautés diverses, "Senses", le superbe film/série de Ryusuke Hamaguchi, présente quelque chose comme une méthode approfondie d’apprentissage du regard et de l’écoute, comme si l’on y atteignait soudain, pour la première fois depuis trop longtemps, un état de pleine conscience.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Elise Domenach
(...) une réussite majeure du cinéma japonais.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un portrait intime et pénétrant de la société japonaise à travers quatre femmes d’aujourd’hui vivant à Kobe.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Bande à part
par François-Xavier Taboni
À travers, notamment, l’évocation du divorce difficile d’une des protagonistes, c’est la place de la femme au Japon qui est questionnée dans "Senses", mais c’est surtout le talent de portraitiste du cinéaste qui impressionne le plus. Sur des partitions d’une grande justesse, les quatre comédiennes livrent des interprétations d’une finesse épatante, captées par un cinéaste qui leur laisse pleinement le temps de s’exprimer.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Une plongée subtile dans la société japonaise, en particulier les rapports hommes-femmes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une fiction sur l'ostracisme subi par les divorcées dans un Japon encore très patriarcal. Avec de bouleversants portraits de femmes dont la poignante mélancolie est captée à la dérobée par une belle mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une forme inédite, entre cinéma et série, où chaque personnage du groupe initial est successivement au centre d’un épisode. Les deux premiers, ici présentés, témoignent d’une sensibilité de touche et d’une maîtrise du récit qui font attendre impatiemment les suivants.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Au terme de ce trip mental et empathique, le monde nippon nous paraît infiniment proche, vrai et humain.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Que le spectateur-cinéphile ne s’y trompe pas, en une ou trois parties, le film reste une authentique merveille de sensibilité et de narration, une exploration de la condition féminine japonaise dont la longueur se justifie par le soin minutieux et nuancé apporté aux portraits des quatre héroïnes – et des maris qui les accompagnent.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Frédéric Mercier
(...) une expérience salutaire et douce de la durée, un film-ami que l’on peut revisiter n’importe où et par n’importe quel bout.
Télérama
par Samuel Douhaire
La voix neutre de la lectrice fait écho à la réalisation épurée de Ryûsuke Hamaguchi. Mais la simplicité affichée révèle des moments de grande beauté. Et de superbes trouvailles de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
OVNI cinématographique ou naissance d’un auteur ? Le film de Ryusuke Hamaguchi est en tout cas un bel objet filmique, délicatesse de narration, et dont la (relative) longueur renforce le pouvoir d’attraction.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une étude des mentalités et des rapports entre ces femmes insatisfaites qui se remettent mutuellement en question. D’où d’assez longs dialogues introspectifs, entrecoupés de politesses typiques. Cela étant contrebalancé par le quotidien (travail, famille, sorties) et d’autres interférences qui sont le sel d’un récit prenant de l’ampleur au fur et à mesure que certaines situations se délitent ou se compliquent.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
C’est le ‘’film’' que l’on attend encore de Noami Kawase. Une réflexion sur la condition de la femme au Japon et sur cette iniquité subie depuis toujours au sein d’une société immuablement patriarcale.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Hamaguchi fait figure de cousin du Coréen Hong Sang-Soo. Les deux sont des sortes de Rohmer dépressif. Les quatre actrices de Senses sont épatantes et n'ont pas volé leur prix d'interprétation au Festival de Locarno.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’histoire se réinvente constamment, quitte à malmener le spectateur avec des digressions théoriques qui cassent le rythme et perdent un peu de vue les enjeux principaux. Qu’importe, on est captivé par les quatre actrices, d’une justesse et d’une pudeur exceptionnelles.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Le récit est parfois lent, voire contemplatif, mais on s’attache à ces femmes qui se débattent, dans une société traditionnelle, avec leurs envies de liberté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Cette première salve d’un film-fleuve peut être vue comme une pièce unique (en ce sens, elle est sans doute encore plus intéressante), ou comme une jolie introduction, un brin stéréotypée, mais pas dénuée du charme cotonneux des portraits au long cours.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
Si l’influence de Cassavetes est nette dans cette façon d’étirer les scènes, Senses se distingue de Faces ou Husbands par son flegme surprenant, cette tranquillité tout en surface qui donne parfois l’impression trompeuse qu’Hamaguchi cherche des modèles de Bresson dans ses extraordinaires interprètes amateurs (...).
Le Monde
"Senses" est une véritable merveille, une fresque chorale d’une beauté et d’une profondeur confondantes, dépeignant de sublimes portraits de femmes au quotidien.
Libération
Par-delà ses beautés diverses, "Senses", le superbe film/série de Ryusuke Hamaguchi, présente quelque chose comme une méthode approfondie d’apprentissage du regard et de l’écoute, comme si l’on y atteignait soudain, pour la première fois depuis trop longtemps, un état de pleine conscience.
Positif
(...) une réussite majeure du cinéma japonais.
Sud Ouest
Un portrait intime et pénétrant de la société japonaise à travers quatre femmes d’aujourd’hui vivant à Kobe.
Bande à part
À travers, notamment, l’évocation du divorce difficile d’une des protagonistes, c’est la place de la femme au Japon qui est questionnée dans "Senses", mais c’est surtout le talent de portraitiste du cinéaste qui impressionne le plus. Sur des partitions d’une grande justesse, les quatre comédiennes livrent des interprétations d’une finesse épatante, captées par un cinéaste qui leur laisse pleinement le temps de s’exprimer.
Franceinfo Culture
Une plongée subtile dans la société japonaise, en particulier les rapports hommes-femmes.
L'Obs
Une fiction sur l'ostracisme subi par les divorcées dans un Japon encore très patriarcal. Avec de bouleversants portraits de femmes dont la poignante mélancolie est captée à la dérobée par une belle mise en scène.
Le Dauphiné Libéré
Une forme inédite, entre cinéma et série, où chaque personnage du groupe initial est successivement au centre d’un épisode. Les deux premiers, ici présentés, témoignent d’une sensibilité de touche et d’une maîtrise du récit qui font attendre impatiemment les suivants.
Les Inrockuptibles
Au terme de ce trip mental et empathique, le monde nippon nous paraît infiniment proche, vrai et humain.
Paris Match
Que le spectateur-cinéphile ne s’y trompe pas, en une ou trois parties, le film reste une authentique merveille de sensibilité et de narration, une exploration de la condition féminine japonaise dont la longueur se justifie par le soin minutieux et nuancé apporté aux portraits des quatre héroïnes – et des maris qui les accompagnent.
Transfuge
(...) une expérience salutaire et douce de la durée, un film-ami que l’on peut revisiter n’importe où et par n’importe quel bout.
Télérama
La voix neutre de la lectrice fait écho à la réalisation épurée de Ryûsuke Hamaguchi. Mais la simplicité affichée révèle des moments de grande beauté. Et de superbes trouvailles de mise en scène.
aVoir-aLire.com
OVNI cinématographique ou naissance d’un auteur ? Le film de Ryusuke Hamaguchi est en tout cas un bel objet filmique, délicatesse de narration, et dont la (relative) longueur renforce le pouvoir d’attraction.
L'Humanité
Une étude des mentalités et des rapports entre ces femmes insatisfaites qui se remettent mutuellement en question. D’où d’assez longs dialogues introspectifs, entrecoupés de politesses typiques. Cela étant contrebalancé par le quotidien (travail, famille, sorties) et d’autres interférences qui sont le sel d’un récit prenant de l’ampleur au fur et à mesure que certaines situations se délitent ou se compliquent.
La Septième Obsession
C’est le ‘’film’' que l’on attend encore de Noami Kawase. Une réflexion sur la condition de la femme au Japon et sur cette iniquité subie depuis toujours au sein d’une société immuablement patriarcale.
Le Figaro
Hamaguchi fait figure de cousin du Coréen Hong Sang-Soo. Les deux sont des sortes de Rohmer dépressif. Les quatre actrices de Senses sont épatantes et n'ont pas volé leur prix d'interprétation au Festival de Locarno.
Le Journal du Dimanche
L’histoire se réinvente constamment, quitte à malmener le spectateur avec des digressions théoriques qui cassent le rythme et perdent un peu de vue les enjeux principaux. Qu’importe, on est captivé par les quatre actrices, d’une justesse et d’une pudeur exceptionnelles.
Le Parisien
Le récit est parfois lent, voire contemplatif, mais on s’attache à ces femmes qui se débattent, dans une société traditionnelle, avec leurs envies de liberté.
Les Fiches du Cinéma
Cette première salve d’un film-fleuve peut être vue comme une pièce unique (en ce sens, elle est sans doute encore plus intéressante), ou comme une jolie introduction, un brin stéréotypée, mais pas dénuée du charme cotonneux des portraits au long cours.