Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Positif
par Jean A. Gili
Après un début aussi exigeant, l'on pouvait se demander ce que serait le second film du cinéaste. "Bella e Perduta" apporte une réponse éclatante.
Critikat.com
par Axel Scoffier
Le caractère grotesque du personnage de la commedia dell’arte est presque effacé au profit d’une mélancolie certaine, son outrance n’a d’usage que visuel, attirant l’œil sur une image, introduisant un regard spleenétique sur les terres oubliées de Campanie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Là où le cinéaste parvenait à une vraie grandeur dans "la Bocca del Lupo" (2009) en filmant les bas-fonds de Gênes, ici, le mélange entre le conte de fées et le documentaire est plus hasardeux. Néanmoins, le film ne ressemble à personne : les élans poétiques, à eux, seuls, sont des instants de bonheur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Marie Soyeux
Pietro Marcello réalise une fable documentaire aussi belle que douloureuse sur l’Italie contemporaine, et la perte du lien unissant l’homme à la nature.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un voyage qui offre à Pietro Marcello l’occasion de plans somptueux de son pays, de la richesse chromatique et sensuelle de cette terre qu’on sait pourrie de l’intérieur.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un cri d'amour émouvant et envoûtant, alliant conte et documentaire, et dédié à un homme humble autant qu'à l'Italie.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Certes, le petit buffle est une métaphore de l’Italie tout entière, au destin guidé par la voracité, le mépris de l’histoire, le mépris de la nature. Mais au premier degré, c’est aussi ce plaidoyer pour une égalité entre les espèces, en terrible résonance avec l’actualité, qui tire "Bella e Perduta" du bon côté de la fable.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Le film navigue sans cesse entre un écrin de haute culture et un mélange de trivialité et d’émerveillement.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cette pérégrination au cœur des derniers archaïsmes de l’Italie profonde n’a pas la force de la Bocca del Lupo, superbe fable du cinéaste sur les bas-fonds de Gênes, mais son charme picaresque est entêtant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
D'une beauté renversante, mais trop abscons pour susciter l'enthousiasme.
Télérama
par Nicolas Didier
Quelque part entre fiction et documentaire, voilà une singulière épopée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
Après un début aussi exigeant, l'on pouvait se demander ce que serait le second film du cinéaste. "Bella e Perduta" apporte une réponse éclatante.
Critikat.com
Le caractère grotesque du personnage de la commedia dell’arte est presque effacé au profit d’une mélancolie certaine, son outrance n’a d’usage que visuel, attirant l’œil sur une image, introduisant un regard spleenétique sur les terres oubliées de Campanie.
L'Obs
Là où le cinéaste parvenait à une vraie grandeur dans "la Bocca del Lupo" (2009) en filmant les bas-fonds de Gênes, ici, le mélange entre le conte de fées et le documentaire est plus hasardeux. Néanmoins, le film ne ressemble à personne : les élans poétiques, à eux, seuls, sont des instants de bonheur.
La Croix
Pietro Marcello réalise une fable documentaire aussi belle que douloureuse sur l’Italie contemporaine, et la perte du lien unissant l’homme à la nature.
Le Monde
Un voyage qui offre à Pietro Marcello l’occasion de plans somptueux de son pays, de la richesse chromatique et sensuelle de cette terre qu’on sait pourrie de l’intérieur.
Les Fiches du Cinéma
Un cri d'amour émouvant et envoûtant, alliant conte et documentaire, et dédié à un homme humble autant qu'à l'Italie.
Libération
Certes, le petit buffle est une métaphore de l’Italie tout entière, au destin guidé par la voracité, le mépris de l’histoire, le mépris de la nature. Mais au premier degré, c’est aussi ce plaidoyer pour une égalité entre les espèces, en terrible résonance avec l’actualité, qui tire "Bella e Perduta" du bon côté de la fable.
Cahiers du Cinéma
Le film navigue sans cesse entre un écrin de haute culture et un mélange de trivialité et d’émerveillement.
L'Humanité
Cette pérégrination au cœur des derniers archaïsmes de l’Italie profonde n’a pas la force de la Bocca del Lupo, superbe fable du cinéaste sur les bas-fonds de Gênes, mais son charme picaresque est entêtant.
Studio Ciné Live
D'une beauté renversante, mais trop abscons pour susciter l'enthousiasme.
Télérama
Quelque part entre fiction et documentaire, voilà une singulière épopée.