Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Ces petits hommes qui deviennent grands, leur intime vérité, leurs regards sur ce qui les surplombe, Ira Sachs les filme avec une grâce bouleversante et une ouverture d’esprit qui semble ne pas connaître de limite.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film d’amitié et d’apprentissage, comme un adieu à l’enfance, où la délicatesse de touche cache la cruauté sous-jacente d’un monde qui change.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
On en sort des étoiles plein les yeux, le cœur battant la chamade, comme après un concert de Simon et Garfunkel à Central Park.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
A la fin de Brooklyn Village, on aurait presque envie de remercier Ira Sachs, son réalisateur, figure encore discrète mais déjà vénérable de la scène indépendante new-yorkaise, pour avoir tant pris soin de ses personnages, pour les avoir filmés comme s’il tenait avant tout à les protéger.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
par Caroline Vié
(Une) charmante chronique.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Avec "Brooklyn Village", le dramaturge et réalisateur Ira Sachs livre un film délicat sur l'amitié de deux adolescents mise à mal par la basse réalité du monde.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Cette douceur, dont le film ne se départit jamais, tient au regard d’Ira Sachs, à cette sorte de tempérance d’honnête homme, son art mesuré et profond de la description des vies qu’il filme, où le détail prévaut sur la superstructure, la sublime insignifiance des choses ayant une portée aussi grande que le climax d’une scène intelligemment scénarisée.
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Epures, ellipses et élégance du montage brodent tout en légèreté un travail aérien qui nous enrobe dans la gaze irréelle des relations adolescentes fusionnelles.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une jolie chronique adolescente portée par deux jeunes acteurs talentueux. Et un état des lieux sur un quartier en pleine mutation.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Une émotion toute particulière émane de ce "Brooklyn Village", à visiter sans détour.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Dominique Widemann
De film en film, Ira Sachs aiguise son sens des nuances et en élargit la portée. Là il parvient à ce petit miracle qui consiste à cristalliser à l’écran tout ce qui est mobile, libre, aérien dans ce qui lie Jake et Tony en dépit de leurs différences, brossées sans surcharges.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
On n’avait jamais si bien montré comment et pourquoi les enfants, qui ont la vie devant eux, sont les victimes collatérales de l’embourgeoisement des grandes villes, où les moins favorisés restent bloqués dans l’ascenseur social.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Mehdi Omaïs
Sans hystérie ni précipitation, le cinéaste prend le temps de faire exister ses personnages à l’écran, jusqu’à les rendre plus vrais et proches de nous que jamais.
La Septième Obsession
par Jérôme D’Estais
Ira Sachs n’est pas un moraliste, il nous montre simplement la marche du monde, la nature des gens et des choses. Avec intimité et objectivité, tolérance et bienveillance.
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Grand prix au Festival de Sundance en 2005 pour "Fifty Shades of Blue", Sachs, 50 ans et presque dix films derrière lui, est l’un des cinéastes indépendants américains les plus intéressants et les plus doués de sa génération. Loin de s’assécher, son cinéma s’épanouit. "Brooklyn Village" est peut-être son plus beau film.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Thierry Dague
Comme dans son précédent film, le superbe "Love Is Strange", où un couple d'hommes âgés perdait leur logement et devait squatter dans leurs familles respectives, Ira Sachs touche au coeur sans en faire trop. On se sent bien dans son joli « Village ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
La violence de classes, la discrimination sociale et les antagonismes générationnels à la lumière d'un conflit immobilier. Une comédie dramatique sentimentale et tendue, impeccable dans la précision de son trait.
Libération
par Clémentine Gallot
Derrière ce portrait spleenétique et secret d’une entente juvénile, on a rarement vu New York ainsi magnifié, sans mièvrerie ni œillades touristiques (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Pierre Eisenreich
Avec une très grande sensibilité qui rend honneur à la précision des sentiments du théâtre de Tchekhov, "Brooklyn Village" offre un des regards les plus riches sur les États-Unis d'aujourd'hui : l'espoir d'une société métissée et urbaine traversée par la violence de l'argent.
Positif
par Pierre Eisenreich
Avec une très grande sensibilité qui rend honneur à la précision des sentiments du théâtre de Tchekhov, Brooklyn Village offre un des regards les plus riches sur les États-Unis d’aujourd’hui : l’espoir vivant d’une société métissée et urbaine traversée par la violence de l’argent.
Première
par Caroline Veunac
Avec ses adultes lestés par les responsabilités et ses ados filant vers l'avenir, "Brooklyn Village" creuse avec grâce le sillon tracé par le chef-d'oeuvre d'Ira Sachs, le sublime "Love is Strange".
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Cette comédie douce-amère prouve de nouveau que si les films d'Ira Sachs ne changent pas le monde, ils aident à mieux en saisir les subtilités.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Personne n'est méchant, tout le monde essaie d'être juste, mais l'argent, lui, s'invite partout sans se soucier des sentiments. Jake et Tony voudraient bien résoudre les choses. Punir les adultes d'être si raisonnables. Trouver le moyen de ne pas abîmer leur amitié. Mais "Brooklyn village" est un film sur la perte de l'innocence et la cruauté du récit vient de cette douceur qui sans bruits, dicte sa loi.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Pierre Murat
Presque rien n'est dit. La suggestion règne. On dirait une de ces nouvelles sensibles et féroces qu'écrivait Tchekhov (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par La Rédaction
Une poignante miniature intimiste sur les amitiés d'enfance.
Voici
par Lola Sciamma
Un drame sensible, d'une forte intensité émotionnelle.
aVoir-aLire.com
par Pierre Vedral
Avec une pudeur remarquable, Ira Sachs extrait de la banalité du quotidien new-yorkais un moment de cinéma délicat gagné peu à peu par un fragile sentiment d’amertume.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
Par petites touches délicates, sans jamais asséner, partant du principe cher à Jean Renoir que « chacun a ses raisons », le scénario de Mauricio Zacharas et Ira Sachs est un bijou de délicatesse.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Aucun manichéisme dans les films d’Ira Sachs. Les parents de Jake envisagent d’augmenter le loyer du magasin loué à Leonor par nécessité : le père, comédien, gagne très modestement sa vie. Le cinéaste filme avec subtilité un glissement.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaux
Une œuvre s(c)olaire qui pose cependant un regard lucide mais non dénué d'ironie sur la gentrification et l'amitié.
Critikat.com
par Josué Morel
Si le film multiplie les points de résonance possibles, il ne parvient toutefois jamais à trouver un cap formel suffisamment fort pour se départir de sa platitude. Ne subsiste, ici et là, que quelques lointaines réminiscences de ce qui faisait la beauté des derniers films de Sachs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Cette comédie douce-amère qui dénonce la « boboisation » des grandes villes, bien jouée et délicatement mise en scène, ne réussit pourtant pas à émouvoir, faute d’une histoire qui manque d’enjeux.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Cette amitié adolescente, perturbée par les histoires d'argent des adultes, est au coeur de ce film d'Ira Sachs et c'est c'est ce qu'il y a de mieux. Mais cette fibre délicate est un peu ténue pour en faire une vraie réussite.
L'Express
par Christophe Carrière
Les proprios songent à augmenter le loyer, tandis que leur fils se lie d'amitié avec celui de la malheureuse. Et ? Et alors rien.
La Voix du Nord
Ces petits hommes qui deviennent grands, leur intime vérité, leurs regards sur ce qui les surplombe, Ira Sachs les filme avec une grâce bouleversante et une ouverture d’esprit qui semble ne pas connaître de limite.
Le Dauphiné Libéré
Un film d’amitié et d’apprentissage, comme un adieu à l’enfance, où la délicatesse de touche cache la cruauté sous-jacente d’un monde qui change.
Le Figaro
On en sort des étoiles plein les yeux, le cœur battant la chamade, comme après un concert de Simon et Garfunkel à Central Park.
Le Monde
A la fin de Brooklyn Village, on aurait presque envie de remercier Ira Sachs, son réalisateur, figure encore discrète mais déjà vénérable de la scène indépendante new-yorkaise, pour avoir tant pris soin de ses personnages, pour les avoir filmés comme s’il tenait avant tout à les protéger.
20 Minutes
(Une) charmante chronique.
CNews
Avec "Brooklyn Village", le dramaturge et réalisateur Ira Sachs livre un film délicat sur l'amitié de deux adolescents mise à mal par la basse réalité du monde.
Cahiers du Cinéma
Cette douceur, dont le film ne se départit jamais, tient au regard d’Ira Sachs, à cette sorte de tempérance d’honnête homme, son art mesuré et profond de la description des vies qu’il filme, où le détail prévaut sur la superstructure, la sublime insignifiance des choses ayant une portée aussi grande que le climax d’une scène intelligemment scénarisée.
Culturopoing.com
Epures, ellipses et élégance du montage brodent tout en légèreté un travail aérien qui nous enrobe dans la gaze irréelle des relations adolescentes fusionnelles.
Femme Actuelle
Une jolie chronique adolescente portée par deux jeunes acteurs talentueux. Et un état des lieux sur un quartier en pleine mutation.
Franceinfo Culture
Une émotion toute particulière émane de ce "Brooklyn Village", à visiter sans détour.
L'Humanité
De film en film, Ira Sachs aiguise son sens des nuances et en élargit la portée. Là il parvient à ce petit miracle qui consiste à cristalliser à l’écran tout ce qui est mobile, libre, aérien dans ce qui lie Jake et Tony en dépit de leurs différences, brossées sans surcharges.
L'Obs
On n’avait jamais si bien montré comment et pourquoi les enfants, qui ont la vie devant eux, sont les victimes collatérales de l’embourgeoisement des grandes villes, où les moins favorisés restent bloqués dans l’ascenseur social.
LCI
Sans hystérie ni précipitation, le cinéaste prend le temps de faire exister ses personnages à l’écran, jusqu’à les rendre plus vrais et proches de nous que jamais.
La Septième Obsession
Ira Sachs n’est pas un moraliste, il nous montre simplement la marche du monde, la nature des gens et des choses. Avec intimité et objectivité, tolérance et bienveillance.
Le Figaroscope
Grand prix au Festival de Sundance en 2005 pour "Fifty Shades of Blue", Sachs, 50 ans et presque dix films derrière lui, est l’un des cinéastes indépendants américains les plus intéressants et les plus doués de sa génération. Loin de s’assécher, son cinéma s’épanouit. "Brooklyn Village" est peut-être son plus beau film.
Le Parisien
Comme dans son précédent film, le superbe "Love Is Strange", où un couple d'hommes âgés perdait leur logement et devait squatter dans leurs familles respectives, Ira Sachs touche au coeur sans en faire trop. On se sent bien dans son joli « Village ».
Les Inrockuptibles
La violence de classes, la discrimination sociale et les antagonismes générationnels à la lumière d'un conflit immobilier. Une comédie dramatique sentimentale et tendue, impeccable dans la précision de son trait.
Libération
Derrière ce portrait spleenétique et secret d’une entente juvénile, on a rarement vu New York ainsi magnifié, sans mièvrerie ni œillades touristiques (...).
Positif
Avec une très grande sensibilité qui rend honneur à la précision des sentiments du théâtre de Tchekhov, "Brooklyn Village" offre un des regards les plus riches sur les États-Unis d'aujourd'hui : l'espoir d'une société métissée et urbaine traversée par la violence de l'argent.
Positif
Avec une très grande sensibilité qui rend honneur à la précision des sentiments du théâtre de Tchekhov, Brooklyn Village offre un des regards les plus riches sur les États-Unis d’aujourd’hui : l’espoir vivant d’une société métissée et urbaine traversée par la violence de l’argent.
Première
Avec ses adultes lestés par les responsabilités et ses ados filant vers l'avenir, "Brooklyn Village" creuse avec grâce le sillon tracé par le chef-d'oeuvre d'Ira Sachs, le sublime "Love is Strange".
Studio Ciné Live
Cette comédie douce-amère prouve de nouveau que si les films d'Ira Sachs ne changent pas le monde, ils aident à mieux en saisir les subtilités.
Sud Ouest
Personne n'est méchant, tout le monde essaie d'être juste, mais l'argent, lui, s'invite partout sans se soucier des sentiments. Jake et Tony voudraient bien résoudre les choses. Punir les adultes d'être si raisonnables. Trouver le moyen de ne pas abîmer leur amitié. Mais "Brooklyn village" est un film sur la perte de l'innocence et la cruauté du récit vient de cette douceur qui sans bruits, dicte sa loi.
Télérama
Presque rien n'est dit. La suggestion règne. On dirait une de ces nouvelles sensibles et féroces qu'écrivait Tchekhov (...).
VSD
Une poignante miniature intimiste sur les amitiés d'enfance.
Voici
Un drame sensible, d'une forte intensité émotionnelle.
aVoir-aLire.com
Avec une pudeur remarquable, Ira Sachs extrait de la banalité du quotidien new-yorkais un moment de cinéma délicat gagné peu à peu par un fragile sentiment d’amertume.
Bande à part
Par petites touches délicates, sans jamais asséner, partant du principe cher à Jean Renoir que « chacun a ses raisons », le scénario de Mauricio Zacharas et Ira Sachs est un bijou de délicatesse.
La Croix
Aucun manichéisme dans les films d’Ira Sachs. Les parents de Jake envisagent d’augmenter le loyer du magasin loué à Leonor par nécessité : le père, comédien, gagne très modestement sa vie. Le cinéaste filme avec subtilité un glissement.
Les Fiches du Cinéma
Une œuvre s(c)olaire qui pose cependant un regard lucide mais non dénué d'ironie sur la gentrification et l'amitié.
Critikat.com
Si le film multiplie les points de résonance possibles, il ne parvient toutefois jamais à trouver un cap formel suffisamment fort pour se départir de sa platitude. Ne subsiste, ici et là, que quelques lointaines réminiscences de ce qui faisait la beauté des derniers films de Sachs.
Le Journal du Dimanche
Cette comédie douce-amère qui dénonce la « boboisation » des grandes villes, bien jouée et délicatement mise en scène, ne réussit pourtant pas à émouvoir, faute d’une histoire qui manque d’enjeux.
Ouest France
Cette amitié adolescente, perturbée par les histoires d'argent des adultes, est au coeur de ce film d'Ira Sachs et c'est c'est ce qu'il y a de mieux. Mais cette fibre délicate est un peu ténue pour en faire une vraie réussite.
L'Express
Les proprios songent à augmenter le loyer, tandis que leur fils se lie d'amitié avec celui de la malheureuse. Et ? Et alors rien.