Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Good Time est un film efficace, franc et direct, un geste ramassé et tendu, mais aussi une œuvre à plusieurs facettes.
Le Parisien
par Catherine Balle
C'est rare, les films qui vous scotchent à votre fauteuil et aimantent chaque parcelle de votre cerveau jusqu'à vous donner l'impression d'être en apnée. "Good time" est de ceux-là.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Tout ceci paraît arbitraire, improvisé, mais procède en réalité d’une grande précision d’écriture et de mise en scène, permettant l’éclosion d’un drôle d’actionner, bizarre, indécidable, mi-haletant mi-burlesque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Malgré son glacis rétro, l’hyperréalité dont Connie-Pattinson se fait le champion et le convecteur d’électricité et de vitesse se révèle bien celle d’une frémissante archive du temps présent, comme intoxiquée par la real TV policière, les JT et GTA.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Sélectionné cette année à Cannes, où il fit son petit effet au milieu d’une compétition bien morne, "Good Time" confirme tout le bien que l’on pouvait penser de la fratrie Safdie, à qui l’on doit déjà trois longs métrages lo-fi et pleins de qualités (The Pleasure of being robbed, Lenny and the kids, Mad love in New York).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
CinemaTeaser
par La Rédaction
Cette course en avant finit par s'essouffler dans sa dernière demi-heure mais rien qui n'entame vraiment la démentielle énergie du film.
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Scénario, mise en scène et partition musicale composent ce que les frères Safdie appellent un « opéra de la rue » à l'esthétique à la fois violente et sensuelle, évocation artistique et contemporaine du Queens, leur quartier natal.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Derrière ses airs de minuscule polar fauché, Good Time déploie un univers proche de la fantasmagorie où Robert Pattinson impressionne.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Christophe Carrière
Un mélange des genres pour une savoureuse chronique de la loose avec Robert Pattinson en braqueur pied nickelé, fermement décidé à sortir de prison son frère un peu simplet.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Tous les personnages importent et tous sont traités à égalité de regard. Celui de Connie nous rend ce qu’il peut d’étincelles. La boucle du film sera bouclée. En plongée, les lumières de la ville que la vitesse déroule en rubans se cassent du cliché.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Etienne Sorin
Porté par l'électro anxiogène d'Oneohtrix Point Never, le trip ne ménage personne. Il n'en vaut pas moins le déplacement.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le Londonien Robert Pattinson, transformé en petit délinquant du Queens, est ici dans une forme d’abattage qui porte le film et qui marque, non seulement son talent, mais aussi l’intelligence remarquable avec laquelle ce jeune acteur mène sa carrière.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Film noir dont le récit tient, pour l’essentiel, à une nuit, “Good Time” compose une épatante épopée de la lose, au son de la splendide BO d’Oneohtrix Point Never.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Les frères Safdie offrent à Robert Pattinson une partition fiévreuse, qu'il interprète en mode majeur.
Télérama
par Louis Guichard
L’intégration de l’ex-vampire sentimental de Twilight à ce monde interlope (où de vrais malfrats jouent peu ou prou leur propre rôle) relève du sans-faute. Robert Pattinson entre dans le film avec les cheveux bruns et l’assurance de la vedette encanaillée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un polar noir et fiévreux, mêlant violence et humour, avec un Robert Pattinson impressionnant en loser crado.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Ce voyage au bout de la nuit, tout en s’en tenant à un habile mélange d’influences entre mélodrame d’auteur et réalisations plus mainstream, s’avère l’un des meilleurs films du duo du Queens. Expérience fougueuse autant que poignante, de la fraternité, de l’intime et de l’impassibilité ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Au centre de leur sixième long-métrage, Connie (Robert Pattinson dans son meilleur rôle), un branque qui, pour lui éviter un placement en institution, entraîne Nick, son frère autiste, dans le braquage d’une banque. (...) Ses rencontres (...) font le sel de cette cavale sans espoir, portée par la faune et l’énergie d’une ville que l’on a l’impression de redécouvrir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
"Good Time" n’est jamais déterministe et misérabiliste, trouvant sa véritable puissance dans la description de la relation poignante entre deux frères, où chacun tente de sauver l’autre de l’abîme qui le menace.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Une poignante nature écorchée. Un style viscéral à la John Cassavetes. Dommage que l’exercice de style ait un petit goût de déjà-vu.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Hypnotisant, le récit orchestre une descente aux enfers inéluctable, et offre à Robert Pattinson un personnage étonnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Gérard Delorme
On a l'impression d'être embarqué dans une voiture qui roule sur trois roues mais dont le conducteur contrôle miraculeusement la vitesse pour ne pas s'écraser dans le fossé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Inégal mais percutant.
Critikat.com
par Fabien Reyre
Qui trop embrasse, mal étreint, et "Good Time" aurait probablement gagné à resserrer son intrigue sur une poignée de personnages, plutôt que de tenter la fusion improbable entre le Scorsese de "After Hours" et les oiseaux de nuit de Cassavetes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans la ligne d’un cinéma qui donne au rythme mission d’anesthésier chez le spectateur toute forme de répit réflexif, les deux réalisateurs multiplient plans à effets, montage cut, flashes de lumière et surtout musique à fond la caisse, essayant de lier le tout par un humour qui long feu et tombe assez régulièrement à plat. Comme le film.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Reste que dans cette nuit américaine, on flotte à mi parcours, dans une impasse narrative que les rencontres de hasard et les erreurs de parcours ne comblent pas. Le film en dit long néanmoins sur la survie de cette jeunesse sans pères (...).
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
Good Time est un film efficace, franc et direct, un geste ramassé et tendu, mais aussi une œuvre à plusieurs facettes.
Le Parisien
C'est rare, les films qui vous scotchent à votre fauteuil et aimantent chaque parcelle de votre cerveau jusqu'à vous donner l'impression d'être en apnée. "Good time" est de ceux-là.
Les Inrockuptibles
Tout ceci paraît arbitraire, improvisé, mais procède en réalité d’une grande précision d’écriture et de mise en scène, permettant l’éclosion d’un drôle d’actionner, bizarre, indécidable, mi-haletant mi-burlesque.
Libération
Malgré son glacis rétro, l’hyperréalité dont Connie-Pattinson se fait le champion et le convecteur d’électricité et de vitesse se révèle bien celle d’une frémissante archive du temps présent, comme intoxiquée par la real TV policière, les JT et GTA.
Chronic'art.com
Sélectionné cette année à Cannes, où il fit son petit effet au milieu d’une compétition bien morne, "Good Time" confirme tout le bien que l’on pouvait penser de la fratrie Safdie, à qui l’on doit déjà trois longs métrages lo-fi et pleins de qualités (The Pleasure of being robbed, Lenny and the kids, Mad love in New York).
CinemaTeaser
Cette course en avant finit par s'essouffler dans sa dernière demi-heure mais rien qui n'entame vraiment la démentielle énergie du film.
Culturopoing.com
Scénario, mise en scène et partition musicale composent ce que les frères Safdie appellent un « opéra de la rue » à l'esthétique à la fois violente et sensuelle, évocation artistique et contemporaine du Queens, leur quartier natal.
Ecran Large
Derrière ses airs de minuscule polar fauché, Good Time déploie un univers proche de la fantasmagorie où Robert Pattinson impressionne.
L'Express
Un mélange des genres pour une savoureuse chronique de la loose avec Robert Pattinson en braqueur pied nickelé, fermement décidé à sortir de prison son frère un peu simplet.
L'Humanité
Tous les personnages importent et tous sont traités à égalité de regard. Celui de Connie nous rend ce qu’il peut d’étincelles. La boucle du film sera bouclée. En plongée, les lumières de la ville que la vitesse déroule en rubans se cassent du cliché.
Le Figaro
Porté par l'électro anxiogène d'Oneohtrix Point Never, le trip ne ménage personne. Il n'en vaut pas moins le déplacement.
Le Monde
Le Londonien Robert Pattinson, transformé en petit délinquant du Queens, est ici dans une forme d’abattage qui porte le film et qui marque, non seulement son talent, mais aussi l’intelligence remarquable avec laquelle ce jeune acteur mène sa carrière.
Les Fiches du Cinéma
Film noir dont le récit tient, pour l’essentiel, à une nuit, “Good Time” compose une épatante épopée de la lose, au son de la splendide BO d’Oneohtrix Point Never.
Télé 7 Jours
Les frères Safdie offrent à Robert Pattinson une partition fiévreuse, qu'il interprète en mode majeur.
Télérama
L’intégration de l’ex-vampire sentimental de Twilight à ce monde interlope (où de vrais malfrats jouent peu ou prou leur propre rôle) relève du sans-faute. Robert Pattinson entre dans le film avec les cheveux bruns et l’assurance de la vedette encanaillée.
Voici
Un polar noir et fiévreux, mêlant violence et humour, avec un Robert Pattinson impressionnant en loser crado.
aVoir-aLire.com
Ce voyage au bout de la nuit, tout en s’en tenant à un habile mélange d’influences entre mélodrame d’auteur et réalisations plus mainstream, s’avère l’un des meilleurs films du duo du Queens. Expérience fougueuse autant que poignante, de la fraternité, de l’intime et de l’impassibilité ordinaire.
L'Obs
Au centre de leur sixième long-métrage, Connie (Robert Pattinson dans son meilleur rôle), un branque qui, pour lui éviter un placement en institution, entraîne Nick, son frère autiste, dans le braquage d’une banque. (...) Ses rencontres (...) font le sel de cette cavale sans espoir, portée par la faune et l’énergie d’une ville que l’on a l’impression de redécouvrir.
La Septième Obsession
"Good Time" n’est jamais déterministe et misérabiliste, trouvant sa véritable puissance dans la description de la relation poignante entre deux frères, où chacun tente de sauver l’autre de l’abîme qui le menace.
La Voix du Nord
Une poignante nature écorchée. Un style viscéral à la John Cassavetes. Dommage que l’exercice de style ait un petit goût de déjà-vu.
Le Journal du Dimanche
Hypnotisant, le récit orchestre une descente aux enfers inéluctable, et offre à Robert Pattinson un personnage étonnant.
Première
On a l'impression d'être embarqué dans une voiture qui roule sur trois roues mais dont le conducteur contrôle miraculeusement la vitesse pour ne pas s'écraser dans le fossé.
Studio Ciné Live
Inégal mais percutant.
Critikat.com
Qui trop embrasse, mal étreint, et "Good Time" aurait probablement gagné à resserrer son intrigue sur une poignée de personnages, plutôt que de tenter la fusion improbable entre le Scorsese de "After Hours" et les oiseaux de nuit de Cassavetes.
Le Dauphiné Libéré
Dans la ligne d’un cinéma qui donne au rythme mission d’anesthésier chez le spectateur toute forme de répit réflexif, les deux réalisateurs multiplient plans à effets, montage cut, flashes de lumière et surtout musique à fond la caisse, essayant de lier le tout par un humour qui long feu et tombe assez régulièrement à plat. Comme le film.
Sud Ouest
Reste que dans cette nuit américaine, on flotte à mi parcours, dans une impasse narrative que les rencontres de hasard et les erreurs de parcours ne comblent pas. Le film en dit long néanmoins sur la survie de cette jeunesse sans pères (...).