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    Aquarius
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    3,8
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    126 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 7 novembre 2016
    Un film à l'image du Brésil d'aujourd'hui, décadent et coupé du monde extérieur. Ils font ce que personne ne fait plus depuis longtemps, et en plus de ça les scènes de cul ne sont à aucun moment mentionné en avertissement, un scandale.
    Thomas P
    Thomas P

    36 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 janvier 2017
    L'Aquarius, sur les rives d'un Brésil en pleine métamorphose urbaine et sociétale est le symbole et l'écrin de la vie d'une femme. Il concentre un pouvoir de force, de ténacité et d'amour sublimement réalisé et interprété.
    ATON2512
    ATON2512

    60 abonnés 1 140 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2016
    Tout d'abord un grand bravo à Sonia BRAGA une sacrée bonne femme . Inspirée par son rôle de mère, de femme qui se bat seule contre tous (ou presque). Une histoire sociale , une histoire de lutte. Un film puissament humain sur l'engagement . Une lutte filmée comme un thriller aussi passionnant qu'émouvant. Un conte social qui décrit avec force et subtilité sans en rajouter les nombreuses difficultés de ce grand pays aux innombrales facettes riche et pauvre à la fois .
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    94 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 novembre 2016
    Dans Aquarius, son deuxième long métrage, Kleber Mendonça Filho bâtit une œuvre mémorielle sur un patrimoine en perdition livré aux promoteurs immobiliers. Subtilement mis en musique, le récit colle au point de vue de son héroïne principale incarnée par Sonia Braga, envoûtante. Une femme forte dont le cinéaste brésilien tire un portrait sensuel et nuancé. D’abord classique, la mise en scène intelligente du cinéaste invoque progressivement les codes du cinéma fantastique pour mieux perdre son héroïne et les spectateurs dans les méandres d’une mémoire à jamais essentielle. Plus de détails sur notre blog ciné :
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 novembre 2016
    L'actrice est magnifique. Belle sexagenaire sensuelle. Elle vit pour elle-même et son bon plaisir.
    Ce personnage m'a suscité de l'agacement par certains aspects:
    - son air supérieur, méprisant et donneur de leçons.
    - son egocentrisme.
    Stéphane C
    Stéphane C

    63 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2016
    Un film intimiste où le quotidien est sublimé. On y respire le parfum de la nostalgie familiale, matérielle, de l'authenticité d'un monde aux valeurs intactes ... C'est aussi un très beau portrait de femme; Sonia Braga et sa beauté magnétique est stupéfiante !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 31 octobre 2016
    Ce qui frappe en premier c'est la performance d'actrice de Sonia Braga qui est de presque tous les plans et montre une beauté et une classe impressionnantes. Certains trouvent son personnage parfois antipathique et ce n'est pas mon avis. C'est vrai qu'elle est une bourgeoise mais plutôt classe moyenne intellectuelle aisée et ce n'est pas une tare ! Sa vie est bien entendu plus proche de la nôtre, Européens, que de celle des habitants des favelas. La mise en scène est fluide avec une bande son très agréable. J'ai aimé l'idée que cette sexagénaire est plus résistante que ses propres enfants prêts à négocier et à "laisser tomber" pour avoir la paix. La fin est surprenante, jubilatoire et laisse au spectateur le soin de poursuivre selon son optimisme ou son pessimisme... Un petit bémol quand même : certaines scènes de la vie quotidienne auraient mérité d'être écourtées, voire supprimées mais au final, ce n'est pas bien grave.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 octobre 2016
    Beau portait d'une femme forte et courageuse. A travers elle se dévoile la vie des Brésiliens de la classe moyenne supérieure. Un bon moment de cinéma.
    joelle g
    joelle g

    92 abonnés 879 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 octobre 2016
    Sonia Braga, que je ne connaissais pas est magistrale dans ce film...le pot de terre contre le pot de fer....
    Je suis allée voir ce film sans trop savoir de quoi il s'agissait et j'ai aimé cette ambiance d'une ville du Brésil en bord de mer....
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 26 octobre 2016
    film survendu .
    Trop long
    Les plus :la performance de Sonia Braga exceptionnelle
    Les moins : 1h trop long ,scénario pauvre , pas de description de la corruption et de la violence de la société
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 octobre 2016
    Clara n'est pas gentille: non, elle ne veut pas céder son appartement à un jeune promoteur aux dents longues, prêt à tout, qui a pourtant l'air si gentil, et qui lui fait une offre alléchante qu'elle ne veut même pas connaître...film brésilien donc, de 2h25 (ouille), qui nous fait petit à petit découvrir les raisons de cette obstination, de part et d'autre: Clara vit dans la nostalgie, mais c'est son droit, le jeune promoteur vit dans l'argent, mais c'est son intérêt...film qui aborde beaucoup de genres, la chronique familiale, un brin de fantastique, le thriller, même..;découpé en trois actes, il tourne bien sûr autour de cette femme de 65 ans, sympathique souvent, antipathique parfois, mais toujours entière: elle fait ce qu'elle veut, point. 2h25, oui, mais pas de temps mort, ni de longueurs, presque une expérience de cinéma. Le rapport entre les différents éléments qui la concernent, la famille, l'appartement, le cancer, tout se met en place subtilement jusqu'à l'explosion finale. L'actrice principale est tout simplement splendide, de par ses excès principalement. Aucun regret d'avoir vu ce film pour ma part.
    Henning P
    Henning P

    64 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 octobre 2016
    Tout d'abord pour répondre aux quelques critiques négatives : non ce n'est pas un film exotique, et encore moins un thriller !
    C'est un film social qui dépeint une femme dans la soixantaine qui a vécu avec son mari et ses enfants dans un appartement qu'elle ne voudrait quitter pour rien au monde. Et ce malgré l'intérêt d'un promoteur ambitieux qui a réussi à acheter tous les autres appartements et vider l'immeuble de ses occupants.
    Pour ceux qui sont allés au Brésil, on retrouve cette atmosphère si bien retranscrite ici : joie et gravité sont entrelacés, l'une ne va pas sans l'autre.
    Cette femme, Clara (remarquable Sonia Braga), nous émeut pendant presque 2h30; son intimité; sa force et sa personnalité font le film; Peu importe l'histoire (qui est une réalité pour de nombreux brésiliens), c'est ce magnifique portrait de femme qui nous bouleverse.

    C'est un film profondément humain et prenez le temps d'aller le voir si vous aimez les films qui ne livrent pas tout dès la première demi-heure.et qui se dégustent comme un bon vin; lentement et jusqu'à la fin de la bouteille !

    18/20
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    136 abonnés 1 632 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 octobre 2016
    Encensé par les critiques lors du dernier festival de Cannes dont il repartira malgré tout bredouille ; « Aquarius » est un portrait de femme forte, une critique de la société brésilienne mais aussi une fable autour du petit qui refuse de se faire dévorer par le grand.
    L’Aquarius, c’est un immeuble ancien en bord de côte à Récife où vit Clara, la soixantaine. Mais il est plus que çà, il est la vie de Clara : son enfance, son cancer, ses enfants et sa vie actuelle ; il est ses souvenirs. Quand un promoteur immobilier essaie par des moyens plus ou moins légaux de lui acheter son appartement afin de construire un bâtiment plus moderne, Clara prouve qu’elle existe ; elle résiste (allusion à sa passion pour la musique). Mais le combat de Clara n’est pas animé par le regret ou la mélancolie ; il est profondément ancré dans le présent, elle veut rester fidèle à son passé. Face au libéralisme débridé, Clara pourrait passer pour une héroïne des temps modernes ; mais le film décide de ne pas en faire une sainte ; elle a ses travers dont celui de, par égoïsme, priver les autres copropriétaires des revenus issus de la vente de leur appartement. Ensuite dans sa critique sociale, le film montre avec intelligence les inégalités de classes et l’importance de la couleur de peau dans la réussite au Brésil. Le promoteur la renvoie à sa couleur peau à deux reprises. Clara ne fait pourtant pas parti des classes supérieures, on l’envisage plutôt de la classe moyenne éduquée. Même si elle se tutoie avec sa femme et qu’elle a beaucoup de respect pour elle, on voit le fort décalage avec les pauvres à plusieurs reprises : l’épisode de la photo de la femme de ménage voleuse, l’intervention de la femme de ménage en plein épluchage des photos de famille par la famille de Clara, la plage des pauvres et la plage des riches,… La critique de la société brésilienne est acerbe comme l’an dernier dans le fameux « Une seconde mère ». Ce film est très intelligent mais aussi très indolent. Indolence qui fait écho à une intrigue légère s’étirant en longueur sans apporter du contenu au récit à l’image de l’acte 2. L’intelligence on la trouve par contre à de nombreuses reprises. N’en citons qu’une : l’épilogue du prologue où l’on tout comprit à l’affect amoureux, culturels, filiaux, politique liant Clara à l’Aquarius. Et plus largement dans le prologue, on comprend que la famille de Clara est éduquée, aux idées progressistes, aisée ; et aussi que l’Aquarius est un membre de la famille, la joie est possible ici, la liberté de penser aussi alors qu’à l’extérieur un régime autoritaire dicte sa loi.
    Bilan des opérations un film intelligent et ample mais aussi plein de vacuité. « Seconde mère », moins cinématographique, avait le mérite d’être plus direct ; un coup de poing à plus d’impact qu’une gifle.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 355 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 octobre 2016
    Pfffff… Roh l’ennui… Franchement, ce n’est pas faute d’essayer : essayer de se conserver un horizon le plus large possible ; essayer d’aller là où je ne serais pas tenté d’aller… Mais bon, moi, face à des films comme cet « Aquarius », je ne peux clairement pas. Quand je vois l’engouement qui existe autour de la sortie de ce film, je repense soudainement à la sortie d’ « Une séparation », ou bien encore de celle de « Lunchbox ». L’un était iranien, l’autre était indien. C’était plat, lent, basique… Mais c’était exotique et bien-pensant. Alors qu’importait la forme rêche ; qu’importait la platitude de la narration et du rythme. Au contraire ! C’est tellement typique de l’image que l’on voulait se faire du cinéma exotique que ça marchait du coup à fond les ballons ! Ainsi tout le monde avait encensé des films qui, dans la forme comme dans le fond, n’avaient pourtant que bien peu d’idées… Alors bon… Après tout pourquoi pas. Tant mieux pour ceux qui s’y retrouvent ! Mais bon, pour moi qui aime de la densité dans le propos, dans la forme, dans le style, je dois bien avouer que je crie vite famine face à ce genre de films, et malheureusement « Aquarius » en fait partie. Ah ça ! On peut s’émouvoir en observant cette Dona Clara méditer au beau vieux temps ! On peut être touché en la regardant contempler les brèches que ce temps creuse dans son corps et dans les fondations de son immeuble… Mais qu’on nous propose une telle forme ; un tel rythme… Sérieusement ? Ça tourne en rond, c’est didactique, ça se perd dans autant de scènes qui illustrent en permanence ce confort mêlé de mal-être. Et tout ça sur plus de deux heures… C’est bon, je n’avais pas besoin d’autant, surtout si la seule idée formelle du film se limite à simplement porter étrangement l’attention du spectateur sur une commode… Alors après voilà : le cinéma n’est qu’une vague question de goûts et de couleurs. Là où, parmi les critiques de la presse, je vois qu’on nous parle « d’auteur surdoué », de « complexité lumineusement taillée », d’un « puissant récit de résistance à la marche du monde », « d’indolence », « d’étonnant mille-feuille », de « fluidité mystérieuse », je vois surtout des hommes et des femmes qui ne savent finalement même pas nous dire pourquoi ils apprécient ce film. Bon après c’est sûr que c’est plus glam que de dire : « certes, c’est tout con, mais j’ai aimé parce que ça se déroule dans un décorum bobo que je surkiffe, et en plus de ça c’est brésilien donc je peux ouvrir mes chakras en toute sécurité : ça me donne à moi-même une image tellement ouverte sur le monde que ça suffit à mon bonheur. » Allons bon… Pourquoi pas, mais encore faut-il que ça n’aille pas trop loin… Moi quand je lis que ce film est sensé être « un film politique contre l’agressivité d’un capitalisme débridé », je trouve quand même qu’on se fout un peu de nous quand même. Non. Arrêtons deux secondes. Cette intrigue de promoteur immobilier c’est juste un vieux poncif pas inventif pour un sou, développé de manière ultra linéaire et didactique, dont le vide est systématiquement comblé par de longs plans sur l’actrice qui joue le rôle principal. Alors OK, on peut le trouver admirable ce personnage. Mais bon, il est quand même aussi étrangement écrit. Clara, finalement, comme la réalisation, est elle aussi très didactique dans ce qu’elle dit et dans ce qu’elle exprime ; et au fond, elle n’est pas aussi charmante que cela dans ce qu’elle est et dans ce qu’elle fait. En termes d’écriture, difficile de faire plus plat… Bon, après, ce n’est pas hideux non plus. Formellement Kleber Mendonça Filho maitrise les codes. C’est juste qu’il les exécute sans talent ni audace… Sans idée aussi… Au fond, c’est peut-être d’ailleurs cela qui résumerait le mieux le film. A part son pitch de départ et sa fameuse commode, le film n’a aucune idée… Et pourtant il dure deux heures… Donc voilà. A vous de méditer. Une pluie de laurier de la presse parisienne vaut-elle à ce point que vous preniez de tels risques d’ennui ?...
    Funky-Peanut
    Funky-Peanut

    2 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 octobre 2016
    C'est très long, c'est mou .. Très déçue par rapport aux concert d'éloges de la presse. Des scènes interminables et trop nombreuses de la vie quotidienne qui n'apportent rien au film (mention spéciale pour la couche merdeuse du petit fils, on s'en serait passé ..). Avec une fin qui n'en ait pas une ... je ne conseille pas.
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