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Votre avis sur Victoria ?
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FaRem
Justine Triet dresse le portrait attachant, mais aussi parfois djant de Victoria, une avocate qui enchane les dboires amoureux puis professionnels. Autour d'elle gravite de nombreux personnages en tout genre et c'est ce qui fait la diffrence dans ce film qui multiplie les situations parfois dramatiques quand la jeune femme se retrouve au fond du trou accule par de nombreux problmes ou parfois dcales avec des moments loufoques comme ce procs o un chien est le tmoin cl. Cette valse entre les diffrents registres casse la linarit de certains vnements un peu artificiels et permet surtout Virginie Efira de montrer l'tendue de son talent. Le film est pas mal, je m'attendais quelque chose de plus amusant, mais il y a quand mme un bon quilibre entre les moments plus lourds et plus lgers ce qui est suffisant pour faire passer un bon moment.
Caine78
Dans le paysage peu glorieux des comédies françaises contemporaines, « Victoria » parvient à tirer habilement son épingle du jeu. Sans aller jusqu'à atteindre les grands classiques américains d'antan, au moins y a t-il une réelle volonté de nous offrir des personnages consistants et un minimum savoureux, à l'image de cette drôle d'héroïne moderne interprétée par la surprenante Virginie Efira, sa relation avec les deux personnages masculins principaux s'avérant souvent étonnante. Une fois n'est pas coutume, il y a d'ailleurs un vrai travail d'écriture (discret, mais réel) pour donner vie à ce curieux récit, finalement assez habile et n'hésitant pas à jouer du burlesque à certains moments
spoiler:
(notamment durant les scènes de procès, réjouissantes)
, oscillant régulièrement entre drame et légèreté, lui donnant quelque chose de vraiment attachant, dans sa manière de saisir les angoisses modernes tout en gardant une dimension presque intemporelle ou simplement de vouloir offrir un spectacle différent au public. Et même si l'œuvre ne m'a en définitive pas marqué plus que ça, je lui reconnais de la personnalité, des idées, voire une certaine audace par moments : une comédie intelligente (et française!) : voilà qui est suffisamment rare pour être signalé.
, oscillant régulièrement entre drame et légèreté, lui donnant quelque chose de vraiment attachant, dans sa manière de saisir les angoisses modernes tout en gardant une dimension presque intemporelle ou simplement de vouloir offrir un spectacle différent au public. Et même si l'œuvre ne m'a en définitive pas marqué plus que ça, je lui reconnais de la personnalité, des idées, voire une certaine audace par moments : une comédie intelligente (et française!) : voilà qui est suffisamment rare pour être signalé.
Une écriture trop fragile à mon goût et les personnages manquent clairement d’épaisseur et de profondeur. On raconte encore une fois l'histoire d'une femme qui gagne très bien sa vie et qui de plus est magnifique. Mais je reste vraiment bloqué sur l'écriture du film et je pense que c'est la raison pour laquelle je n'ai pas embarqué à 100.00 % dans cette comédie. Trop de légèreté ou de survol pour des sujets plus graves qu'il n'en parait pas. Les gags ne vont pas jusqu'au bout et ce qui fait qu'au final, on passe un bon moment, mais rien de bien marquant. Par chance, Vincent Lacoste a embarqué dans le projet, une vraie pépite d'acteur ce Vincent!
drôle de film dont je ne saurais dire si je l'ai aimé ou non. les acteurs oui, l'histoire bof, le rythme oui mais parfois le sentiment que les choses s'éternisent. bref, mi figue mi raisin.
Kurosawa
Après "La Bataille de Solférino", Justine Triet signe encore une fois une comédie originale, moins hystérique et globalement plus maîtrisée. Le film met en scène Victoria Spick, une avocate douée qui doit à la fois gérer ses problèmes sexuels, défendre un de ses amis dans un procès aux tendances animalières prononcées et lutter face à son ex-mari qui souhaite publier un texte sur son blog, lequel comporte des informations confidentielles. Le film jongle entre tous ces aspects et nage dans un faux-rythme qui colle à l'état dépressif de Victoria, mais perd du même coup en percussion en refusant de se focaliser sur un des ces trois pôles d'écriture. Il est intéressant de voir Triet créer un rythme qui va à l'encontre de ce que réclame la comédie, à savoir de la vitesse, et des dialogues qui sont à l'instar des personnages, décalés et nonchalants; mais ces choix d'écriture et de montage empêchent un véritable débordement de la comédie, qui s'attache finalement à résoudre de façon un peu scolaire ses enjeux. "Victoria" ne manque pas de charme, qui tient en partie à ses formidables acteurs, encore moins d'originalité, mais tient trop à contrôler sa singularité et à ne pas la livrer pleinement à un potentiel burlesque qui fait souvent rire alors qu'il aurait pu être hilarant.
Une sympathique comédie avec de bons dialogues et une actrice au diapason pour son rôle. Mais ça reste à mon goût qualitativement en deçà des critiques plutôt élogieuses de la presse, la faute sans doute à un scénario pas toujours crédible, et un décalage certain avec la vrai vie: en effet, notre héroïne ne semble pas beaucoup s'occuper de ses charmantes petites filles, et ses rapports avec les hommes sont plutôt décalés. Bon, il est vrai qu'il ne s'agit que d'un film , il faut donc bien rêver un peu, et aussi sortir de notre quotidien...
Une comédie française qui ose bien plus que ses congeneres et c est encourageant.
Virginie Efira est une comédienne aujourd'hui bién plus que sympathique: la façon d interprète ce rôle démontre iun lien fort avec les femmes de sa génération, par une mise à nue peu consensuelle et un rapport à la place de mere qui tranche.
Par sa capacité à mettre en lumière les difficultés de l époque le film est enthousiasmant.
Sérieux bémol par contre quant à la véracité des éléments liés à son métier : avocat penaliste. Rien ne tient et on se demande quand en France on osera parler de ce métier sans grotesque.
Virginie Efira est une comédienne aujourd'hui bién plus que sympathique: la façon d interprète ce rôle démontre iun lien fort avec les femmes de sa génération, par une mise à nue peu consensuelle et un rapport à la place de mere qui tranche.
Par sa capacité à mettre en lumière les difficultés de l époque le film est enthousiasmant.
Sérieux bémol par contre quant à la véracité des éléments liés à son métier : avocat penaliste. Rien ne tient et on se demande quand en France on osera parler de ce métier sans grotesque.
Sympa
V. Efira est vraiment belle e bien faite ! Elle joue tres bien.
Victoria n et pas un modèle de mère mais une Working girl !
Vincent est un acteur particulier ! Si jeune et deja doué !
V. Efira est vraiment belle e bien faite ! Elle joue tres bien.
Victoria n et pas un modèle de mère mais une Working girl !
Vincent est un acteur particulier ! Si jeune et deja doué !
Le film est très drôle ! Pierre Niney et Virginie Efira sont vraiment très bien tout au long du film. Par contre le scénario aurait pu être mieux travaillé. Bref, un peu léger mais c'est un très bon moment de détente. Il ne faut pas chercher davantage dans ce film, à voir pour avoir le sourire.
Une comédie sympathique qui doit beaucoup à l'interprétation de Virginie Effira. Présentée à tort comme une grosse comédie, le film alterne les scènes drôles, sensibles parfois loufoques. En creux, une chronique caustique du difficile équilibre vie privée / vie professionnelle pour les parents séparés. La relation entre Vincent Lacoste et Virginie Effira est moins crédible tant Vincent Lacoste ne semble pas avoir "grandi" depuis "Les beaux gosses". L'univers et l'ambiance ne sont pas sans rappeler "9 mois après" avec Sandrine Kiberlain et Albert Dupontel.
Un scénario original qui rappelle certains Lelouche, une histoire dynamique qui repose sur l'antagonisme des deux acteurs principaux Vincent Lacoste et Virginie Efira.
D'habitude, je ne suis pas fan de Virginie Efira qui joue ses rôles de manière trop linéaire.
Ce film m'amène à reconsidérer ce jugement avec les hauts et les bas du personnage.
J'ai passé un très bon moment!
D'habitude, je ne suis pas fan de Virginie Efira qui joue ses rôles de manière trop linéaire.
Ce film m'amène à reconsidérer ce jugement avec les hauts et les bas du personnage.
J'ai passé un très bon moment!
Victoria est avocate. Elle a deux filles. Très occupée. Vie sexuelle via des sites de rencontres. Elle cède à l'insistance d'un ami qui lui demande de le défendre : il est accusé d'avoir porté un coup de couteau à sa compagne lors d'un mariage. Dans le même temps, pour remplacer son baby sitter démissionnaire, elle accepte les services, gratuits, d'un jeune et sympathique ancien client qui veut devenir juriste, tournant le dos à son passé de dealer. On sait que la situation va tourner au vinaigre, c'est l'introduction du film, mais quoi, comment, pourquoi ... ça va nous être raconté.
Victoria ça démarre comme une comédie. Au début, je me suis délecté de l'enchaînement des malheurs de l'héroïne. Mais petit à petit, j'ai perdu pied. Je me suis surpris avec du temps de cerveau disponible pour m'interroger sur la nature du film. Comédie psychologique ? Comédie sentimentale ? Chronique de nos années bobos, modernes et égocentriques ? Je ne sais toujours pas et mon enthousiasme du début est peu à peu retombé, en dépit de l'engagement de Virginie Efira, du charme de Vincent Lacoste dont il me semble bien qu'il a un potentiel vénéneux en tant qu'acteur, et de quelques situations très drôles.
On peut ne pas voir comme on dit dans le Canard.
Victoria ça démarre comme une comédie. Au début, je me suis délecté de l'enchaînement des malheurs de l'héroïne. Mais petit à petit, j'ai perdu pied. Je me suis surpris avec du temps de cerveau disponible pour m'interroger sur la nature du film. Comédie psychologique ? Comédie sentimentale ? Chronique de nos années bobos, modernes et égocentriques ? Je ne sais toujours pas et mon enthousiasme du début est peu à peu retombé, en dépit de l'engagement de Virginie Efira, du charme de Vincent Lacoste dont il me semble bien qu'il a un potentiel vénéneux en tant qu'acteur, et de quelques situations très drôles.
On peut ne pas voir comme on dit dans le Canard.
Film d’ouverture de la Semaine de la Critique, Victoria est le second long métrage de Justine Triet. On se souvient bien évidemment du premier film de la réalisatrice, La Bataille de Solférino, présenté à l’ACID au Festival de Cannes en 2013 soit à la même période que d’autres productions françaises minimalistes mais intéressantes comme La Fille du 14 Juillet de Antonin Peretjatko, 2 Automnes 3 Hivers de Sébastien Betbeder ou même Les Garçons et Guillaume, à table ! de Guillaume Gallienne. Un cinéma français de l’audace donc, avec un humour aux antipodes de la potacherie grand public et aux accents délicieusement godardiens. Les critiques les plus enthousiastes parlaient un peu trop vite d’une Nouvelle Nouvelle Vague Française portée par ces jeunes réalisateurs qui osent et ne tombent pas dans la facilité. Si la vague n’a finalement pas déferlé sur le cinéma français, Justine Triet était tout de même attendue au tournant. Pour Victoria, elle décide d’abandonner la forme semi-documentaire de son premier film pour aborder une mise en scène plus classique mais tout aussi élégante et assurément plus maîtrisée. A n’en pas douter que la réalisatrice ait dû bénéficier d’une augmentation du budget de production tant la critique française avait apprécié son premier film et attendait impatiemment son retour derrière la caméra, sans compter qu’elle a pu se reposer sur une éblouissante tête d’affiche. Si dans son premier film, le bordel était général, il est autrement plus personnel ici et ne s’attarde que sur le personnage de Victoria, influencée par les gens qui gravitent autour d’elle avec tout ce que cela peut comporter d’absurde, de dramatique et de romantique. Une manière pour la réalisatrice de remanier un genre apprécié, loin des poncifs rabattus dans l’hexagone.
Victoria est un bon film. Une comédie dramatique néanmoins quelque peu survendue, que ce soit par la presse, les médias ou bien même Cannes. L’accroche comédie hilarante est à prendre avec des pincettes, clairement. Perso je ne m’attendais pas forcément à aimer surtout par rapport au film précédent de la réalisatrice mais il s’est avérer au final que l’œuvre m’a plu sans qu’elle soit extra pour autant. Présenté en Séance Spéciale en tant que film d’ouverture dans la sélection de la Semaine de la critique au 69ème Festival De Cannes en 2016.
Victoria Spick, avocate, assure au boulot, s’occupe de ses filles, collectionne les amants, fait la fête, jusqu’à ce qu’un vieil ami, accusé d’avoir poignardé son épouse, réapparaisse. La cinéaste tire ici le portrait d’une femme moderne et au bord de la crise de nerfs. Ce film est également un sacré gloubi-boulga où se mélangent l’amitié, l’amour et la justice. J’ai beaucoup apprécié justement le côté de la justice avec les scènes de procès assez réussies où des animaux notamment un dalmatien Jacques et un singe Daisy qui méritent tous deux des mentions spéciales viennent témoigner à la barre.
La bande son qui rythme le film résonne dans l’air du temps et reste de bonne facture.
La réalisatrice Justine Triet signe donc ici son deuxième long métrage qui est pour moi bien meilleur que son précédent sans être un film excellent pour autant, mais ici exit la caméra d’épaule qui était quand même plutôt bien gérée, nous revenons à une mise en scène stabilisée et une bonne réalisation. Les acteurs sont tous convaincants dont Virginie Efira irrésistible quadra sexy et bordélique ne change pas trop de ses registres et elle joue toujours aussi bien ses rôles, Vincent Lacoste y est très bon par rapport à d’habitude en ce qui me concerne. Melvil Poupaud, Laurent Poitrenaux, Laure Calamy et le reste du casting y sont tous bons.
Pas toujours convaincant, le film reste néanmoins bon et donne envie de passer un moment avec Victoria.
Ma note : 7/10 !
Victoria Spick, avocate, assure au boulot, s’occupe de ses filles, collectionne les amants, fait la fête, jusqu’à ce qu’un vieil ami, accusé d’avoir poignardé son épouse, réapparaisse. La cinéaste tire ici le portrait d’une femme moderne et au bord de la crise de nerfs. Ce film est également un sacré gloubi-boulga où se mélangent l’amitié, l’amour et la justice. J’ai beaucoup apprécié justement le côté de la justice avec les scènes de procès assez réussies où des animaux notamment un dalmatien Jacques et un singe Daisy qui méritent tous deux des mentions spéciales viennent témoigner à la barre.
La bande son qui rythme le film résonne dans l’air du temps et reste de bonne facture.
La réalisatrice Justine Triet signe donc ici son deuxième long métrage qui est pour moi bien meilleur que son précédent sans être un film excellent pour autant, mais ici exit la caméra d’épaule qui était quand même plutôt bien gérée, nous revenons à une mise en scène stabilisée et une bonne réalisation. Les acteurs sont tous convaincants dont Virginie Efira irrésistible quadra sexy et bordélique ne change pas trop de ses registres et elle joue toujours aussi bien ses rôles, Vincent Lacoste y est très bon par rapport à d’habitude en ce qui me concerne. Melvil Poupaud, Laurent Poitrenaux, Laure Calamy et le reste du casting y sont tous bons.
Pas toujours convaincant, le film reste néanmoins bon et donne envie de passer un moment avec Victoria.
Ma note : 7/10 !
Voilà encore un film mal présenté par sa promo via Télérama : Victoria n'est pas une super héroïne et cette comédie n'est pas hilarante (il faut que je me procure la liste des substances absorbées par les journalistes de Télérama avant d'écrire). Par contre c'est une bonne comédie portée par un excellent couple d'acteurs : Virginie Effira (Le goût de merveilles) et Vincent Lacoste (LoLo). On rit parfois, on sourit souvent et on compatit tout le temps. Bref, un agréable moment même si le tout manque parfois un peu de rythme.
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