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Alain P.
8 critiques
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1,5
Publiée le 1 octobre 2016
On a guère envie de partager le quotidien de cette hystérique qui vit et fait vivre ses bambins dans une soute à cochon( raison du départ de son baby sitter) Le reste de ses aventures sentimentalo pelviennes est lassant Mis;a part la séquence rigolote du chien témoin au procés qui est la seule histoire de queue qui mérite une mention, on s'ennuie ferme. J'espère n'avoir jamais affaire à une avocate de cet accabis.,ses rondeurs appétissantes ne suffisent pas à sauver ce film bavard et agité,
Ah le beau nanar que voila ! Il y a longtemps que je n'avais pas quitté une salle avant le clap de fin...mais là, vraiment....Inepte, chiant et glauque : voila mon verdict de spectateur indépendant : bien enfumé par la presse qui encense ce médiocre navet : le copinage journalistique de la présentatrice tv qui tient lieu d'actrice principale a bien fonctionné : Messieurs les "critiques", vous avez bien peu de choses à vous mettre sous la dent pour gratifier ce pensum cinematographique de 4 étoiles... A fuir!!!
Hélas trop de longueurs dans ce film qui par moment finit par être ennuyeux. Pas de réels rebondissements dans ce scénario poussif. Les acteurs sont toutefois excellents.
Victoria est une séduisante avocate parisienne. Elle va devoir défendre un de ses amis, impliqué dans un drame passionnel assez tordu. Le scenario déroule l’histoire des faits jusqu’au procès. C’est très bien joué, Virginie Efira est une Victoria très convaincante (même si son métier d’animatrice télé reste prégnant. Quand on la voit, on se dit, « Tiens je la verrai bien présenter le 20h »). Mention spéciale pour Vincent Lacoste déjà repéré dans « Hippocrate » et même Melvil Poupaud (l’ami accusé) qui incarne parfaitement le côté obsédé sexuel déjanté de son personnage. A part cela c’est le néant absolu, le film aurait pu se nommer avec à propos « La nausée » ou « On a touché le fond », voire « Les abysses du désir ». On baigne dans le sexe malsain du début à la fin : l’objet du procès et surtout Victoria. L’héroïne de ce film éponyme est effectivement paumée et broyée par sa vie affective. Séparée du père de ses deux filles, elle recrute sur internet des gigolos qui ont pour mission de lui rappeler qu’elle a un corps. Comme cela ne marche pas elle tente aussi de séduire les baby-sitter en frôlant le harcèlement sexuel...Peine perdue, consultations psy, voyance, burn-out et panique se succèdent… Le nombrilisme narcissique de Victoria, comme des autres personnages mène au chaos. Au milieu de cette confusion, ses deux filles livrées à elle même font n’importe quoi, accompagnées à chaque fois de l’adulte présent qui, déguisé de façon grotesque en rajoute dans la régression infantile et le comportement adulescent. Ne croyez pas que Victoria soit un procès en creux de ce que je décris plus haut. A en croire les rires de certains spectateurs, on est dans le graveleux et on n’en sort pas. Pour la forme, le film s'articule en une suite de scènes inachevées montées les unes à là suites des autres, en utilisant des répétitions qui ne font pas avancer les spectateurs: Les rendez vous chez le psy, chez la voyante......l'intrigue elle même ne se renouvelle pas: En effet le nœud du départ est cette relation calamiteuse entre son ami accusé et sa partenaire. La encore le scénario n'évolue pas. Enfin, le plus marquant est qu'il y avait matière à une satire féroce et drolatique de la justice (un chien et un chimpanzé sont convoqués lors du procès!!) mais on passe à côté et l'ensemble du scénario reste figé sur le personnage de Victoria et ses errances....Dommage. Bref, ilm à éviter ou à fuir…
Mais quel ennui ! On pourrait s'attendre à un portait d'avocate pénaliste aux prises avec les réalités du temps. On assiste à une enfilade de poncifs nombrilistes. Les personnages sonnent creux et ne tiennent pas la route. Ni du réel ni de l'aburde. Quelques véritables conneries dans les dialogues en plus, signes de cuistrerie et de paresse. Virginie s'ennuie. Et nous aussi.
Ce film est incohérent, on part sur un début comique qui se converti en drame puis repart en comédie. Je ne suis pas contre de mélanger les deux mais cela aurais pu être mieux fait. Le personnage principale, Victoria est plutôt bien développé mais Sam, est, comme il l'affirme lui même à un moment du film un personnage transparent qui n'a à mon goût aucun intérêt sachant que son boulot est de s'occuper des filles de Victoria et de la maison, il ne fait au final ni l'un ni l'autre, il squat juste la maison pendant que Victoria résous ses problèmes de vie. Quand à l'affaire que Victoria défend, je trouve idiot de mettre un chien dans l'affaire, mais cela reste un point sensé comique qui peut fonctionner. Sinon le film possède plusieurs faux raccords qui sont franchement corrigeable et un peu trop visibles à mon goût.
Le rôle joué par virginie Effira s'effondre petit à petit et le spectateur que je suis, s'effondre d'ennui très rapidement. Comédie hilarante ? J'ai du perdre mon rire quelque part. Les scènes se chevauchent sans beaucoup de compréhension et d'accord entre elles : psy, voyante , mariage, maison, sexe, tribunal et bavardage, bavardage, bavardage... Seule Virginie Effira, sublime, m'a fait tenir jusqu'au bout de ce film "chiant".
Les critiques de cinéma de l'intelligentsia bobo parisienne ont encore frappé. Au vu de la pluie d'étoiles qui est déversée dans la synthèse presse d'allociné et tous les éloges qui vont avec (" une comédie hilarante"- Telerama... Je me marre, mais pas de la même chose) on est en droit de se demander si on a vu le même film. Le scénario est nul et prétexte à une juxtaposition de scènes sans réels liens entre elles, on ne rit pas ( quelques sourires tout au plus), on ne se sent pas concerné par ces personnages qui gesticulent et parlent trop et ces scènes décalées (le dalmatien et le singe témoins dans un procès), les scènes avec le psy et celles avec ses rencontres d'un soir sont stupides... Les 2 gamines abandonnées à elles mêmes sont à moitié à poil, la scène d'amour trop longue en devient gênante et incongrue, Melvil Poupaud et Laurent Poitrenaud sont baffables à souhait... Points positifs: L'interprétation de Virginie Efira qui fait tout ce qu'elle peut dans cette galère, Vincent Lacoste toujours en mode lymphatique sympathique est bon mais reste dans le même jeu ( on dirait "Lolo"). Mention spéciale au maquillage de Virginie Efira pour les scènes de dépression et autres... Note d'humeur: 4/20. Salle plutôt affligée par une telle "romcom" qui n'en est pas une, en fait.
Virginie Efira a vraiment la carte auprès des critiques car même si elle n'est pas du tout mauvaise dans son rôle, rien ne justifie cet encensement de la presse pour ce film médiocre. Le premier film de Justine Triet, la bataille de Solférino, nous avait surpris par son côté original et drôle, Victoria n'a pas du tout les mêmes qualités. Cette histoire d'avocate déprimée est barbante, les dialogues sont mal écrits, les scènes au tribunal sont interminables, c'est très prétentieux, ça se veut branché et c'est finalement très banal.
Franchement mauvais, cette "comédie" n'est vraiment pas drôle ! Les acteurs ne croient d'ailleurs pas non plus à leur propre rôle.... l'histoire est idiote, sans intérêt.
Si vous aimez les comédies romantiques, passez votre chemin... Si vous avez aimé les comédies romantiques avec Virginie Efira, surtout, n'y allez pas. En revanche, si vous aimez regarder souffrir des personnages paumés qui enchaînent les mauvais choix, si vous aimez voir des enfants délaissés, privés de repère, de soutien et d'éducation pendant que tout le monde semble trouver ça normal, allez-y :) Qu'est-ce qui vaut à ce film un tel battage médiatique....? Personnellement, je n'en ai aucune idée, ni aucun des amis avec qui je suis allée voir ce film. Bref, grosse déception, vous l'aurez compris :)