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Le feeling coup de cœur de la rentrée !!!
Une comédie d'auteur sous influence Blake Edwards et Woody Allen.
Un portrait de femme d'aujourd'hui, juste et beau, jubilatoire et enlevé, drôle mais aussi émouvant.
Un ton moderne, une écriture fine et ciselée qui permet de croire à ces personnages, qui cherchent tous à trouver leur place dans la vie, entre obligations professionnelles et/ou familiales et accomplissement personnel.
Virginie Efira y trouve son plus beau rôle, tout en nuances, avec un Vincent Lacoste qui apporte sa légèreté naturelle et son humour pince sans rire à un rôle adulte, qui se révèlera surprenant.
Que du bonheur !
Une comédie d'auteur sous influence Blake Edwards et Woody Allen.
Un portrait de femme d'aujourd'hui, juste et beau, jubilatoire et enlevé, drôle mais aussi émouvant.
Un ton moderne, une écriture fine et ciselée qui permet de croire à ces personnages, qui cherchent tous à trouver leur place dans la vie, entre obligations professionnelles et/ou familiales et accomplissement personnel.
Virginie Efira y trouve son plus beau rôle, tout en nuances, avec un Vincent Lacoste qui apporte sa légèreté naturelle et son humour pince sans rire à un rôle adulte, qui se révèlera surprenant.
Que du bonheur !
Un téléfilm qui ne fait pas rire et qui aligne des scènes sans intérêt.
Virginie Efira joue bien, mais si elle n'était pas une ex-présentatrice de la Nouvelle Star on ne s'en étonnerait pas plus que ça... Tout sent le fabriqué dans ce film, à commencer justement par le casting : et si on faisait un film indépendant avec des comédiens grand public pour faire des entrées ?... La lumière est clinquante, le format score pas justifié (aucune scène de cinéma là-dedans). Les scènes s'alignent et on reste en-dehors de la vie de ce personnage bobo parisien... Et surtout on ne rit pas... Quelle déception !
Virginie Efira joue bien, mais si elle n'était pas une ex-présentatrice de la Nouvelle Star on ne s'en étonnerait pas plus que ça... Tout sent le fabriqué dans ce film, à commencer justement par le casting : et si on faisait un film indépendant avec des comédiens grand public pour faire des entrées ?... La lumière est clinquante, le format score pas justifié (aucune scène de cinéma là-dedans). Les scènes s'alignent et on reste en-dehors de la vie de ce personnage bobo parisien... Et surtout on ne rit pas... Quelle déception !
Enfin une comedie populaire bien mise en Scene!
Ouverture plus que remarquée de la semaine de la critique, magnifiquement interprété , ce film réserve des surprises permanentes!
Ouverture plus que remarquée de la semaine de la critique, magnifiquement interprété , ce film réserve des surprises permanentes!
traversay1
Si La bataille de Solférino n'avait pas convaincu tout le monde, Victoria, le deuxième long-métrage de Justine Triet, devrait faire la quasi unanimité. Portrait vivant d'une avocate irrésolue et sans certitudes, le film réinvente la comédie romantique en lui injectant une bonne dose de burlesque et d'acidité la rendant proprement irrésistible. Sens du rythme et du timing, échappées loufoques, tendresse jamais niaise, Victoria bénéficie d'une écriture al dente, savoureuse et ironique, qui trouve son acmé dans quelques scènes jubilatoires. S'il y a un léger coup de mou à mi-distance, la réalisatrice reprend vite la main d'une manière délicieuse maîtrisant parfaitement son ouvrage. Au centre du film, Virginie Efira n'en finit pas de rayonner, actrice belge désormais reine incontestée de la comédie française, qu'elle soit dramatique, amère ou déjantée.
WutheringHeights
Une comédie romantique mélancolique qui dépoussière le genre et offre enfin à Virginie Efira un rôle à sa hauteur.
LA SUITE :
LA SUITE :
La comédie de l'année ! C'est drôle, intelligent, fin, culotté, original, surprenant, contemporain, moderne, émouvant, romantique. Le Meilleur rôle d'Efira au cinéma, un Lacoste au top, et tous les autres rôles parfait. A voir, re-voir, re-revoir.
Vu le 13 juin il y a 3 mois. Mon impression d alors se confirme : on passe un très bon moment sur le moment, et on n y repense jamais plus de soi même.
Casting bon mais attendu. Effira et Lacoste tels qu on les déjà vu ailleurs. Heureusement les 10 dernières minutes de Lacoste sauvent de cette impression. Je n avais pas alors remarqué poupeau, cela faisait longtemps que je ne l avais plus plus vu,, j ai apprécié son personnage troublant par ses ambiguïtés (pervers narcissique, manipulateur, désemparé ?).
Quelques pensées remarquables mais que je n ai pas réussi à mémoriser durant le film, à retenir. Je doute que l envie de les retrouver m incite suffisamment pour retourner voir ce film.
Casting bon mais attendu. Effira et Lacoste tels qu on les déjà vu ailleurs. Heureusement les 10 dernières minutes de Lacoste sauvent de cette impression. Je n avais pas alors remarqué poupeau, cela faisait longtemps que je ne l avais plus plus vu,, j ai apprécié son personnage troublant par ses ambiguïtés (pervers narcissique, manipulateur, désemparé ?).
Quelques pensées remarquables mais que je n ai pas réussi à mémoriser durant le film, à retenir. Je doute que l envie de les retrouver m incite suffisamment pour retourner voir ce film.
velocio
Il y a 3 ans, la sélection ACID du Festival de Cannes avait permis de faire connaissance avec la réalisatrice Justine Triet au travers de "La Bataille de Solférino", son premier long métrage. Un film plein d’énergie et de fraîcheur, à la fois délirant et très maîtrisé, un film amalgamant intelligemment petite histoire et grande histoire. Cette année, son deuxième long métrage, "Victoria", était de nouveau à Cannes mais, cette fois, dans la sélection de la Semaine de la Critique, en tant que film d’ouverture. Le deuxième film, un cap important pour un ou une jeune cinéaste : confirmation ou déception ? Pour ce deuxième long métrage, Justine Triet a choisi de s’intéresser à la dépression qui peut frapper une femme proche de 40 ans s’étant trop investie dans son travail. On retrouve dans "Victoria" beaucoup de points communs avec "La Bataille de Solférino", bien que le contexte soit très différent. Toutefois, la réalisatrice a bénéficié cette fois ci de davantage de moyens et, malgré une bonne prestation de Virginie Efira, malheureusement, cela se voit : moins de fraîcheur, moins de spontanéité. Lorgnant vers la comédie américaine contemporaine, celle, par exemple, d’un Judd Apatow, Justine Triet n’a pas vraiment réussi à l’adapter au contexte de notre cinéma.
On scrute avec intérêt la vie de cette femme forte qui s'effondre et se relève tout au long des ses jours. Avocate et chef de famille (les enfants ne sont en "sous impression" dans le film) elle rame...
Virginie Effira est époustouflante dans ce rôle. Femme active, femme préoccupée, femme en perdition, femme en plaidoirie, femme vivante. La réalisatrice a su lui donner un rôle a sa mesure, et nous donne des images sans complaisance. Une courte scène un peu hard qui donne un souffle différent à cette vie tourbillonnante qui laisse présager un rythme de vie plus serein pour cette femme croqueuse d'homme (non, de sexe). Comédie pleine de rebondissements. Merci
Virginie Effira est époustouflante dans ce rôle. Femme active, femme préoccupée, femme en perdition, femme en plaidoirie, femme vivante. La réalisatrice a su lui donner un rôle a sa mesure, et nous donne des images sans complaisance. Une courte scène un peu hard qui donne un souffle différent à cette vie tourbillonnante qui laisse présager un rythme de vie plus serein pour cette femme croqueuse d'homme (non, de sexe). Comédie pleine de rebondissements. Merci
Victoria fait partie du haut du panier des comédies françaises vues ces dernières années, oscillant aisément entre comédie d'auteur et comédie populaire. C'est à la fois fin, drôle et non prise de tête, le tout emmené sur un rythme assez effréné. Si le début du film est un peu long à se mettre en place avec un premier quart d'heure qui m'a presque fait peur, la suite est vraiment croustillante, le spectateur s'attachant progressivement aux différents personnages et à leurs tourments.On est à la fois dans le quotidien et l'extraordinaire, dans une comédie sociale, dramatique, romantique... on ne sait plus trop, et c'est tant mieux. Il faut saluer la distribution du film avec en premier lieur Virginie Eifira qui arrive à apporter milles nuances à son personnage mais aussi Vincent Lacoste qui trouve là son meilleur rôle.
Une comédie sympathique et bien jouée. Pour ma part, je n'ai pas vu le temps passer, j'ai volontiers ri à certaines répliques. En somme, on se laisse captiver par l'histoire, mais sans pourtant la garder en mémoire après. Ce n'est pas un film marquant. Il est drôle mais pas hilarant.
Etude de moeurs sur une femme d'aujourd'hui, moderne et indépendante, qui craque. Victoria est avocate, elle habite dans un appartement avec ses 2 filles qu'elle élève seule depuis le divorce avec son mari, écrivain en herbe.
Confrontée à la difficile mission de réussir simultanément sa vie professionnelle et affective, elle laisse peu de place à l'imprévu, et utilise les outils modernes pour organiser son temps.
Tout pourrait donc aller pour le mieux sauf qu'elle ne se rend pas compte que le surmenage la guette.
L'auteur s'attache à décrire la non-compréhension de sa situation par une femme qui veut garder son indépendance. Le dogme de la réussite ne doit pas faire oublier notre nature originelle, un couple est plus fort qu'un individu.
Virginie Efira est parfaite dans ce rôle. Elle incarne une jeune femme qui ne profite plus des choses simples de la vie car elle n'a plus de temps disponible à y consacrer.
Son salut viendra du don d'un autre (charmante interprétation de Laurent Lacoste). La réalisatrice, Justine Triet, réussit son pari de montrer les difficultés rencontrées par les femmes actives en 2015, son film rappelle celui de "Elle court la banlieue", mais maintenant on prend le train pour aller de Paris à Nantes, et on y visitera un tribunal très coloré où les débats seront musclés.
Bonne direction d'acteurs.
Confrontée à la difficile mission de réussir simultanément sa vie professionnelle et affective, elle laisse peu de place à l'imprévu, et utilise les outils modernes pour organiser son temps.
Tout pourrait donc aller pour le mieux sauf qu'elle ne se rend pas compte que le surmenage la guette.
L'auteur s'attache à décrire la non-compréhension de sa situation par une femme qui veut garder son indépendance. Le dogme de la réussite ne doit pas faire oublier notre nature originelle, un couple est plus fort qu'un individu.
Virginie Efira est parfaite dans ce rôle. Elle incarne une jeune femme qui ne profite plus des choses simples de la vie car elle n'a plus de temps disponible à y consacrer.
Son salut viendra du don d'un autre (charmante interprétation de Laurent Lacoste). La réalisatrice, Justine Triet, réussit son pari de montrer les difficultés rencontrées par les femmes actives en 2015, son film rappelle celui de "Elle court la banlieue", mais maintenant on prend le train pour aller de Paris à Nantes, et on y visitera un tribunal très coloré où les débats seront musclés.
Bonne direction d'acteurs.
BeatJunky
Excellente interprétation de Virginie Efira, parfaite pour ce rôle de femme d'aujourd'hui qui essaye de gérer au mieux sa vie à tous les niveaux: sentimental, prof, familial et relationnel etc... Une femme qui se cherche mais qui, comme tout le monde aujourd'hui ne trouve et ne prend pas le temps pour penser à elle , à ce qu'elle veut être et ce qu' elle veut tout court... Elle n a surtout pas le courage d'affronter ses peurs: peur de l' abandon, de l'échec, d'aimer et d'être aimé... Victoria c'est tout ça ! Un film qui parlera à tous puisqu'il y a tous ces moments touchants, émouvants et/ou drôles qui font que le film passe très vite... Il marquera forcement un peu les femmes qui pourront facilement s'identifier à un des aspects de sa personnalité et de sa vie.
tony-76
Victoria, film français de Justine Triet dans lequel on retrouve Virginie Efira en avocate qui doit défendre son ami Vincent accusé de tentative de meurtre lors d'un mariage... Elle rencontre aussi Sam, un ancien client. Des liens vont alors se créer quand elle engage Sam pour garder ses deux filles. Avant tout, Victoria est plus basée sur une comédie dramatique que sur une vraie comédie ! Un film particulier et très personnel en jouant sur des situations décalées et absurdes
spoiler:
- le seul témoin qui a vu le fait est le CHIEN -
le procès est un foutoir total. Il n'y a pratiquement que ça de drôle, le procès. car spoiler: le reste est plus sur la vie privée de Victoria avec Sam.
Le public s'attendait à plus rire finalement... Niveau mise en scène, elle se veut simple et parfois élégante avec un montage dynamique et une musique assez agréable à entendre. Cependant, certains moments sont trop faibles, lents à cause spoiler: d'une intrigue romantique ultra banale et prévisible.
On peut décrocher facilement mais le spectateur reste pour la charmante comédienne Virginie Efira qui évolue sans cesse. Elle est très convaincante (comme d'habitude)... Et Vincent Lacoste est dans son élément, débordant d'énergie naturelle. Ces apparitions dans ses films sont amusants comme Lolo, Astérix. Bref, Victoria est une comédie/drame acceptable, même si le manque de folie se voit. Les comédiens y sont pour quelque chose pour accrocher au film entièrement.
le procès est un foutoir total. Il n'y a pratiquement que ça de drôle, le procès. car spoiler: le reste est plus sur la vie privée de Victoria avec Sam.
Le public s'attendait à plus rire finalement... Niveau mise en scène, elle se veut simple et parfois élégante avec un montage dynamique et une musique assez agréable à entendre. Cependant, certains moments sont trop faibles, lents à cause spoiler: d'une intrigue romantique ultra banale et prévisible.
On peut décrocher facilement mais le spectateur reste pour la charmante comédienne Virginie Efira qui évolue sans cesse. Elle est très convaincante (comme d'habitude)... Et Vincent Lacoste est dans son élément, débordant d'énergie naturelle. Ces apparitions dans ses films sont amusants comme Lolo, Astérix. Bref, Victoria est une comédie/drame acceptable, même si le manque de folie se voit. Les comédiens y sont pour quelque chose pour accrocher au film entièrement.
Cinéphiles 44
Film d’ouverture de la Semaine de la Critique 2016, Victoria met en scène une Virginie Efira de plus en plus brillante. Son charisme naturel et sa spontanéité donne toujours une véritable sincérité à ses personnages. Elle incarne ici une avocate au bord de la crise de nerfs. Partagée entre son travail qui lui prend beaucoup de temps, ses deux filles à qui elle n’accorde pas forcément toute son attention et ses histoires de cœur et de sexe, Victoria doit prendre l’avis d’un psychologue, d’une voyante, d’une cliente et de son nouveau baby-sitter pour recentrer un peu ses idées. C’est Vincent Lacoste qui joue ce dernier et il se fait avec la fidélité qu’on lui connait. Enfin Melvil Poupaud s’invite en séducteur, destructeur et folie dans un procès qui prendra pour témoin un chien. Oui, à lire tout ça, on se demande quel est ce joyeux bazar. Pourtant Justine Triet réalise une œuvre très bien écrite où tout à sa place en toute crédibilité. Les dialogues sont surement le plus gros point fort de ce long-métrage. Chaque phrase ajoute humour et fragilité à cette histoire touchante et joyeuse. Bref, Victoria est une œuvre française humaine et sincère.
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
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