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Votre avis sur Victoria ?
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Quelques scènes où le rôle-titre ne fume pas, et pas forcément celles en présence d'enfants. Donc merci à l'industrie du tabac, merci la marque à la pomme (tablettes, ordinateurs portables), merci à ce qu'on se met dans le nez, à l'alcool, au Lexomil, etc. Des invraisemblances, des grosses, des petites. Par exemple, je pense qu'une avocate professionnelle parlera de harcèlement, pas "d'harcèlement".
Virginie Efira incarne une avocate vivant seule avec ses deux filles et qui se questionne beaucoup sur sa vie, principalement sur ses rapports avec les hommes. Au moment où l'un de ses anciens clients lui propose de devenir son homme à tout faire, un ami lui demande de la défendre contre sa conjointe qui l'accuse d'agression.
J'ai trouvé que ce film dresse un portrait de femme qui semble juste avec un humour reposant sur la mise en scène sarcastique de situations banales dans l'ensemble. Les réactions du personnage de Virginie Efira sont souvent passives et il est facile de s'y identifier.
J'ai trouvé que ce film dresse un portrait de femme qui semble juste avec un humour reposant sur la mise en scène sarcastique de situations banales dans l'ensemble. Les réactions du personnage de Virginie Efira sont souvent passives et il est facile de s'y identifier.
Comédie réjouissante qui évite les lourdeurs des "Bridget Jones" avec un trio d'acteurs gagnant. Virginie Efira convainc, comme dans le délicieux « Caprice" d’Emmanuel Mouret. Le seul défaut de ce film est de porter le titre du chef d’œuvre de Sebastian Schipper.
Une jolie comédie dramatique qui offre un rôle intéressant à Virginie Efira. Recélant beaucoup de haut et de bas, ce long métrage alterne longueurs et répétitions, et scènes de haute volée
spoiler:
(cf : plaidoirie)
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comédie dotée d'un scénario original , un portrait de femme superbement bien tenu par Virginie E , une histoire un peu loufoque , drôle, souvent déjanté . bien filmé avec un montage rapide , on sourit très souvent a cette énorme blague réjouissante, une comédie qui fait du bien
Victoria est une séduisante avocate parisienne. Elle va devoir défendre un de ses amis, impliqué dans un drame passionnel assez tordu. Le scenario déroule l’histoire des faits jusqu’au procès. C’est très bien joué, Virginie Efira est une Victoria très convaincante (même si son métier d’animatrice télé reste prégnant. Quand on la voit, on se dit, « Tiens je la verrai bien présenter le 20h »). Mention spéciale pour Vincent Lacoste déjà repéré dans « Hippocrate » et même Melvil Poupaud (l’ami accusé) qui incarne parfaitement le côté obsédé sexuel déjanté de son personnage.
A part cela c’est le néant absolu, le film aurait pu se nommer avec à propos « La nausée » ou « On a touché le fond », voire « Les abysses du désir ». On baigne dans le sexe malsain du début à la fin : l’objet du procès et surtout Victoria. L’héroïne de ce film éponyme est effectivement paumée et broyée par sa vie affective. Séparée du père de ses deux filles, elle recrute sur internet des gigolos qui ont pour mission de lui rappeler qu’elle a un corps. Comme cela ne marche pas elle tente aussi de séduire les baby-sitter en frôlant le harcèlement sexuel...Peine perdue, consultations psy, voyance, burn-out et panique se succèdent… Le nombrilisme narcissique de Victoria, comme des autres personnages mène au chaos. Au milieu de cette confusion, ses deux filles livrées à elle même font n’importe quoi, accompagnées à chaque fois de l’adulte présent qui, déguisé de façon grotesque en rajoute dans la régression infantile et le comportement adulescent.
Ne croyez pas que Victoria soit un procès en creux de ce que je décris plus haut. A en croire les rires de certains spectateurs, on est dans le graveleux et on n’en sort pas.
Pour la forme, le film s'articule en une suite de scènes inachevées montées les unes à là suites des autres, en utilisant des répétitions qui ne font pas avancer les spectateurs: Les rendez vous chez le psy, chez la voyante......l'intrigue elle même ne se renouvelle pas: En effet le nœud du départ est cette relation calamiteuse entre son ami accusé et sa partenaire. La encore le scénario n'évolue pas. Enfin, le plus marquant est qu'il y avait matière à une satire féroce et drolatique de la justice (un chien et un chimpanzé sont convoqués lors du procès!!) mais on passe à côté et l'ensemble du scénario reste figé sur le personnage de Victoria et ses errances....Dommage.
Bref, ilm à éviter ou à fuir…
A part cela c’est le néant absolu, le film aurait pu se nommer avec à propos « La nausée » ou « On a touché le fond », voire « Les abysses du désir ». On baigne dans le sexe malsain du début à la fin : l’objet du procès et surtout Victoria. L’héroïne de ce film éponyme est effectivement paumée et broyée par sa vie affective. Séparée du père de ses deux filles, elle recrute sur internet des gigolos qui ont pour mission de lui rappeler qu’elle a un corps. Comme cela ne marche pas elle tente aussi de séduire les baby-sitter en frôlant le harcèlement sexuel...Peine perdue, consultations psy, voyance, burn-out et panique se succèdent… Le nombrilisme narcissique de Victoria, comme des autres personnages mène au chaos. Au milieu de cette confusion, ses deux filles livrées à elle même font n’importe quoi, accompagnées à chaque fois de l’adulte présent qui, déguisé de façon grotesque en rajoute dans la régression infantile et le comportement adulescent.
Ne croyez pas que Victoria soit un procès en creux de ce que je décris plus haut. A en croire les rires de certains spectateurs, on est dans le graveleux et on n’en sort pas.
Pour la forme, le film s'articule en une suite de scènes inachevées montées les unes à là suites des autres, en utilisant des répétitions qui ne font pas avancer les spectateurs: Les rendez vous chez le psy, chez la voyante......l'intrigue elle même ne se renouvelle pas: En effet le nœud du départ est cette relation calamiteuse entre son ami accusé et sa partenaire. La encore le scénario n'évolue pas. Enfin, le plus marquant est qu'il y avait matière à une satire féroce et drolatique de la justice (un chien et un chimpanzé sont convoqués lors du procès!!) mais on passe à côté et l'ensemble du scénario reste figé sur le personnage de Victoria et ses errances....Dommage.
Bref, ilm à éviter ou à fuir…
On ne va pas cracher dans la soupe. Le plaisir devant cette comédie au scénario cousu de fils multicolores mais sauvé par son humour assez fin et son casting réussi est bien réel.
On est tout de même loin des comédies phares, des comédies où les acteurs s'incarnent dès la première minute et où l'identification avec le spectateur est immédiate. C'est ce qui manque ici, le personnage de Victoria, et de ses hommes semblent loin d'une réalité potentielle.
Pourtant la recherche d'excellence est perceptible à chaque plan et l'écriture est soignée jusqu'au bout.On sent que tout le monde a bossé dur pour produire une oeuvre relevée et de qualité.
Et le résultat est conforme aux attentes.
On est tout de même loin des comédies phares, des comédies où les acteurs s'incarnent dès la première minute et où l'identification avec le spectateur est immédiate. C'est ce qui manque ici, le personnage de Victoria, et de ses hommes semblent loin d'une réalité potentielle.
Pourtant la recherche d'excellence est perceptible à chaque plan et l'écriture est soignée jusqu'au bout.On sent que tout le monde a bossé dur pour produire une oeuvre relevée et de qualité.
Et le résultat est conforme aux attentes.
Une bonne comédie [française en plus] est un plaisir bien rare, alors ne boudons pas ce plaisir. Un scénario un peu burlesque, une héroïne magnifiquement interprétée par Virginie Efira, d'excellents 2nd rôles avec Vincent Lacoste et Melvil Poupaud. Une bonne bande-son pour emballer le tout !
Un film bizarre, très bizarre, un peu déjanté sur les bords. Je comprends qu'on puisse détester ce film autant que l'adorer. Mention spéciale pour Vincent Lacoste qui apporte un brin de fraîcheur très appréciable à la comédie française.
Mais quel ennui ! On pourrait s'attendre à un portait d'avocate pénaliste aux prises avec les réalités du temps. On assiste à une enfilade de poncifs nombrilistes. Les personnages sonnent creux et ne tiennent pas la route. Ni du réel ni de l'aburde. Quelques véritables conneries dans les dialogues en plus, signes de cuistrerie et de paresse. Virginie s'ennuie. Et nous aussi.
Un film d'une incroyable justesse. L'héroïne, jouée par Virginie Efira, suscite une empathie rare et si les péripéties qu'elle traverse peuvent paraître incroyables, toute femme ayant vécu des moments durs comme ceux-ci peut se reconnaître dans cette spirales de déprimes, de solitude et d'incompréhensions. Si le film est ponctué de nombreux instants comiques, c'est surtout la sensibilité avec laquelle sont filmés les hauts et les bas de cette vie mouvementée qui marque et séduit durablement. Ma mère, venue voir VICTORIA avec moi, en est ressortie joyeuse et émue, déterminée à revenir le voir.
Pour le rire et la justesse: sourire, déprime, tendresse.
Pour le rire et la justesse: sourire, déprime, tendresse.
Que dire pas grand chose , je me suis profondément ennuyée , pour ma part sujet fou traque et très superficiel je n'y ai pas cru un seul instant. Si l.image que l.on veut donner de la femme active est telle que décrite dans le film eh bien je ne les envie pas du tout, vu le bazar dans lequel évolue ces deux gamines tout au long du film, il y a de quoi être très inquiet pour l'avenir de ces enfants. Je n'ai pas aimé ai je le droit de le dire ??????????
Un film juste et subtile, même si d'autres le disent prévisible.
Je ne croyais pas au duo Virginie Efira et Vincent Lacoste, je le voyais encore trop en "Lolo".
Victoria est une femme débordée par sa vie qui ne l'épargne à aucun moment. Une femme seule à la dérive qui cherche parfois à connaître son avenir et la rencontre avec Sam, un jeune qu'elle avait défendu en tant qu'avocate.
Dès le début, elle a confiance en Sam et accepte qu'il s'installe chez elle. Ils vont se soutenir l'un et l'autre. Victoria le découvrira réellement quand elle prendra du temps pour elle.
Je ne croyais pas au duo Virginie Efira et Vincent Lacoste, je le voyais encore trop en "Lolo".
Victoria est une femme débordée par sa vie qui ne l'épargne à aucun moment. Une femme seule à la dérive qui cherche parfois à connaître son avenir et la rencontre avec Sam, un jeune qu'elle avait défendu en tant qu'avocate.
Dès le début, elle a confiance en Sam et accepte qu'il s'installe chez elle. Ils vont se soutenir l'un et l'autre. Victoria le découvrira réellement quand elle prendra du temps pour elle.
Déprimant, avec un rythme somnolent et des personnages tous plus insignifiants les uns que les autres, Victoria est ma plus grande perte de temps de l'année.
Comédie romantique grinçante avec un duo qui fonctionne bien, mais parfaitement prévisible!
A la limite c'est pas grave...Mais trop de caricatures et de raccourcis scénaristiques!
des dialogues et du jeu très inégal.
Et quid de l'originalité? pourquoi toujours faire les mêmes produits industriels avec toujours les mêmes quatre axes scénaristiques? Parce que c'est ce que les gens veulent voir?
A la limite c'est pas grave...Mais trop de caricatures et de raccourcis scénaristiques!
des dialogues et du jeu très inégal.
Et quid de l'originalité? pourquoi toujours faire les mêmes produits industriels avec toujours les mêmes quatre axes scénaristiques? Parce que c'est ce que les gens veulent voir?
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