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21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Mais comment font Dominique Abel et Fiona Gordon pour parvenir à garder intacte leur humour poétique et léger tout en réinventant leur cinéma ? Dans "Paris pieds nus", comédie tendre, le duo arpente la capitale, elle en Canadienne perdue à la recherche de sa tante égarée, lui en SDF paumé tombant sous le charme dégingandé de la douce étrangère.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Figaro
par Marie-Sarah Bouleau
Le duo de réalisateurs et acteurs répand son humour délirant à travers la capitale.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un peu déconcertante pour le profane, cette fable regorge de gags savoureux. Difficile de ne pas éprouver de la sympathie pour la douce folie de ces clowns. Conviant Emmanuelle Riva et Pierre Richard, ils signent un film aussi tendre que créatif qui se déguste comme une madeleine de Proust.
Libération
par Marcos Uzal
(...) il est indéniable que le cinéma d’Abel et Gordon possède au moins une qualité primordiale. Parce qu’ils sont des burlesques, ils se concentrent constamment sur l’essentiel : la conscience du cadre, le rythme de chaque plan, les postures des corps. Et il est de plus en plus rare de voir des films qui tentent d’avoir au moins une idée par plan.
La critique complète est disponible sur le site Libération
VSD
par bernard achour
Du burlesque poétique façon Tati revisité.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le retour inattendu du duo irrésistible de L’iceberg et La Fée dans un Paris décalé, magnifié par le génie burlesque des cousins de Jacques Tati.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Bombarda
Concentrés sur leurs rôles, les réalisateurs-acteurs déclinent une palette de maladresses avec la conviction inébranlable que la gaucherie, la balourdise, la gaffe est le symptôme premier de l'être humain.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Gabrielle Adjerad
Malgré l’hommage esthétique réussi aux grandes œuvres du muet et un éloge charmant des pouvoirs du corps comique, le film ne parvient pas tout à fait à donner au burlesque toute sa force politique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Film contorsionniste, au propre et au figuré, cette nouvelle collaboration Gordon et Abel est bien dans la continuité créatrice de leurs pairs, Jacques Tati et Pierre Etaix.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
C’est toujours infiniment poétique et gentiment brinquebalant, avec une foule de gags superbes et gracieux. Le ton amusé, mais au fond grave, oscille entre Tati et Kaurismäki. Mais le film s’avère moins sobre et plus évident qu’à l’habitude à cause d’une utilisation souvent trop touristique du décor de Paris.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Une gourmandise où s’harmonisent subtilement le léger et le grave, le doux et l’acidulé.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
On les sent bien influencés par Aki Kaurismäki, même s’il leur manque ce je-ne-sais-quoi d’extrême précision dans le cadre et dans la mise en scène qui est patent chez le Finlandais génial.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Toujours aussi burlesque et déjanté.
Paris Match
par Yannick Vely
Quand le film semble manquer d'équilibre, quand les situations et les péripéties se répètent en mieux, c'est pour mieux retomber sur ses pieds (nus) et nous faire fondre le coeur et l'urne funéraire bio-dégradable.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Sans tenir sur la longueur, cette fable fourmille d'idées. Elle célèbre la liberté avec grâce, clamant son attachement pour les marginaux de tous poils.
Télérama
par Jérémie Couston
Au terme d'un festival de gags burlesques dans un crématorium, sur une péniche-restaurant et sur la tour Eiffel, le clochard céleste et la touriste déboussolée finiront-ils par s'aimer ? Un indice : "Les Lumières de la ville", de Chaplin, semble le modèle inavoué du duo belgo-canadien depuis ses débuts...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Une forme de narcissisme de la laideur devenu leur marque de fabrique renforce une impression de complaisance assez embarrassante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Qui a vu "L’Iceberg", "Rumba" et "La Fée" connaît la poésie « mélancomique » de ces artistes farfelus qui vénèrent Chaplin, Keaton, Tati et Langdon, ainsi qu’en témoigne la séquence de la Tour Eiffel. On s’irritera peut-être ici des gags autosatisfaits de sieur Abel et de l’absence manifeste d’un metteur en scène digne de ce nom.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
L’univers cocasse et original d’un duo qui cultive avec bonheur le saugrenu, le nonsens, le mime, l’errance, le désordre et la liberté, avec les bonheurs du moment que cela suscite et les inévitables scories qui vont avec.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les gags un peu appuyés, la langueur du rythme s’accommodent bien de ce parfum de vacances, un peu comme si l’on assistait à un spectacle monté par des amis pour des amis. Il manque à l’univers d’Abel et Gordon l’un des ingrédients essentiels des maîtres comiques du cinéma muet : la cruauté.
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Abel et Gordon sont de nouveau au meilleur quand ils s’abandonnent frénétiquement au burlesque, mais à la peine quand ils s’évertuent à raconter une histoire, ce qui contrarie le rythme des gags.
20 Minutes
Mais comment font Dominique Abel et Fiona Gordon pour parvenir à garder intacte leur humour poétique et léger tout en réinventant leur cinéma ? Dans "Paris pieds nus", comédie tendre, le duo arpente la capitale, elle en Canadienne perdue à la recherche de sa tante égarée, lui en SDF paumé tombant sous le charme dégingandé de la douce étrangère.
Le Figaro
Le duo de réalisateurs et acteurs répand son humour délirant à travers la capitale.
Le Journal du Dimanche
Un peu déconcertante pour le profane, cette fable regorge de gags savoureux. Difficile de ne pas éprouver de la sympathie pour la douce folie de ces clowns. Conviant Emmanuelle Riva et Pierre Richard, ils signent un film aussi tendre que créatif qui se déguste comme une madeleine de Proust.
Libération
(...) il est indéniable que le cinéma d’Abel et Gordon possède au moins une qualité primordiale. Parce qu’ils sont des burlesques, ils se concentrent constamment sur l’essentiel : la conscience du cadre, le rythme de chaque plan, les postures des corps. Et il est de plus en plus rare de voir des films qui tentent d’avoir au moins une idée par plan.
VSD
Du burlesque poétique façon Tati revisité.
aVoir-aLire.com
Le retour inattendu du duo irrésistible de L’iceberg et La Fée dans un Paris décalé, magnifié par le génie burlesque des cousins de Jacques Tati.
Bande à part
Concentrés sur leurs rôles, les réalisateurs-acteurs déclinent une palette de maladresses avec la conviction inébranlable que la gaucherie, la balourdise, la gaffe est le symptôme premier de l'être humain.
Critikat.com
Malgré l’hommage esthétique réussi aux grandes œuvres du muet et un éloge charmant des pouvoirs du corps comique, le film ne parvient pas tout à fait à donner au burlesque toute sa force politique.
Franceinfo Culture
Film contorsionniste, au propre et au figuré, cette nouvelle collaboration Gordon et Abel est bien dans la continuité créatrice de leurs pairs, Jacques Tati et Pierre Etaix.
L'Humanité
C’est toujours infiniment poétique et gentiment brinquebalant, avec une foule de gags superbes et gracieux. Le ton amusé, mais au fond grave, oscille entre Tati et Kaurismäki. Mais le film s’avère moins sobre et plus évident qu’à l’habitude à cause d’une utilisation souvent trop touristique du décor de Paris.
La Septième Obsession
Une gourmandise où s’harmonisent subtilement le léger et le grave, le doux et l’acidulé.
Les Inrockuptibles
On les sent bien influencés par Aki Kaurismäki, même s’il leur manque ce je-ne-sais-quoi d’extrême précision dans le cadre et dans la mise en scène qui est patent chez le Finlandais génial.
Ouest France
Toujours aussi burlesque et déjanté.
Paris Match
Quand le film semble manquer d'équilibre, quand les situations et les péripéties se répètent en mieux, c'est pour mieux retomber sur ses pieds (nus) et nous faire fondre le coeur et l'urne funéraire bio-dégradable.
Studio Ciné Live
Sans tenir sur la longueur, cette fable fourmille d'idées. Elle célèbre la liberté avec grâce, clamant son attachement pour les marginaux de tous poils.
Télérama
Au terme d'un festival de gags burlesques dans un crématorium, sur une péniche-restaurant et sur la tour Eiffel, le clochard céleste et la touriste déboussolée finiront-ils par s'aimer ? Un indice : "Les Lumières de la ville", de Chaplin, semble le modèle inavoué du duo belgo-canadien depuis ses débuts...
L'Obs
Une forme de narcissisme de la laideur devenu leur marque de fabrique renforce une impression de complaisance assez embarrassante.
La Voix du Nord
Qui a vu "L’Iceberg", "Rumba" et "La Fée" connaît la poésie « mélancomique » de ces artistes farfelus qui vénèrent Chaplin, Keaton, Tati et Langdon, ainsi qu’en témoigne la séquence de la Tour Eiffel. On s’irritera peut-être ici des gags autosatisfaits de sieur Abel et de l’absence manifeste d’un metteur en scène digne de ce nom.
Le Dauphiné Libéré
L’univers cocasse et original d’un duo qui cultive avec bonheur le saugrenu, le nonsens, le mime, l’errance, le désordre et la liberté, avec les bonheurs du moment que cela suscite et les inévitables scories qui vont avec.
Le Monde
Les gags un peu appuyés, la langueur du rythme s’accommodent bien de ce parfum de vacances, un peu comme si l’on assistait à un spectacle monté par des amis pour des amis. Il manque à l’univers d’Abel et Gordon l’un des ingrédients essentiels des maîtres comiques du cinéma muet : la cruauté.
Les Fiches du Cinéma
Abel et Gordon sont de nouveau au meilleur quand ils s’abandonnent frénétiquement au burlesque, mais à la peine quand ils s’évertuent à raconter une histoire, ce qui contrarie le rythme des gags.