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Gfa Cro
55 abonnés
573 critiques
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1,0
Publiée le 29 décembre 2016
Vu il y a 8 jour
Les acteurs sont assez bien.
Le film pas très intéressant.
Je n ai pas cru/possible cet homme qui débarque et s insinue dans la vie de cette jeune femme. J étais plutôt bien disposé pour m intéresser a virginie, Raphaëlle, en poussant un peu a Cook. Mais je n'ai pas eu d affinité pour Rupert, pour la copine ou la collègue,
Peut être que j ai du choisir entre ce film et d autres, et que ce choix m a mis dans de mauvaises dispositions envers lui. Toujours est il que je suis passé à côté.
Sans grande originalité, Sex Doll suit une prostitué dans ce monde glauque où les hommes achètent davantage que la sexualité qu'ils n'ont pas su trouver ailleurs. Ils achètent aussi un pouvoir de domination. Le scénario est un peu tiré par les cheveux mais Hafsia Herzi et Ash Stymest sont magnifiques, et ils sont une raison suffisante d'aller voir Sex Doll.
Hafsia Herzi est une belle actrice. Jouer la "pute" pour montrer la vacuité de la prostitution, dénoncer la barbarie des consommateurs, qui parce qu'ils ont l'argent en demandent toujours plus, toujours plus jeunes, toujours plus violents. Son partenaire à l'accent anglais a aussi beaucoup de charme. Je ne peux pas dire que l'histoire m'ait transporté, ni surpris. Je m'impatientais parfois en attendant que cela se termine. Comme si l'histoire ne me nourrissait pas...
Voilà un film vide ennuyeux, scénario creux, mauvais jeu d'acteurs; une belle gueule, un beau p'ti cul, une belle lumière ne suffisent pas à faire un film, même le cadrage main devient fatiguant.. Une perte de temps!!
Sylvie Verheyde offre avec Sex Doll un rôle troublant à Hafsia Herzi. Un film sensible sur la prostitution et la quête de rédemption. Aux côtés de l’actrice française, une révélation nommée Ash Stymest.
On avait adoré la Sylvie Verheyde en mode chronique de l’adolescence version milieu ouvrier des années 70, on aime beaucoup moins la Sylvie Verheyde en mode chronique de la prostitution de luxe version londonienne. D’ailleurs le fait de situer l’action de son nouveau film à Londres plutôt qu’à Paris apparait comme un gadget de scénario à velléité purement exotique. Et sur un sujet aussi rebattu que celui-là, la réalisatrice n’apporte malheureusement aucune nouvelle pierre à l’édifice.
On suit donc le quotidien d’une jeune call-girl de luxe entre ses passes dans un milieu très aisé et sa rencontre avec un jeune homme mystérieux dont elle va forcément tomber amoureux. Un postulat banal pour un film naïf et pas assez écrit que de nombreuses longueurs et scènes inutiles viennent inutilement gonfler. On sombre même parfois dans les invraisemblances (la scène de la filature) et on a du mal à croire à ce qui arrive aux personnages, la faute à des rôles peu creusés et des interprètes inadaptés.
En effet, la jeune Hafsia Herzi, si elle n’est pas mauvaise, n’a cependant pas les épaules pour un tel rôle tandis qu’Ash Stymest n’a pas du tout la carrure pour incarner ce vengeur solitaire. Il fait cependant figure de découverte tant il possède une gueule de cinéma. Il lui suffira juste de trouver un rôle qui lui corresponde. Quant à Paul Hamy il en est réduit à un second rôle à la limite de la figuration. Seule Karole Rocher, la muse de la cinéaste, est parfaite dans un personnage de matonne qui lui va comme un gant, loin de tous clichés.
Les seuls moments réussis du film sont ceux où l’histoire d’amour prend le pas sur la chronique humaine. Des petits moments de grâce éphémères que la caméra parvient à capter et qui prouvent que « Sex Doll » est finalement bien plus probant sur le terrain des sentiments amoureux que sur celui du constat social ou du drame. De plus, la mise en scène hésite constamment entre le gros grain du réalisme et les plans plus travaillés destinés à rendre le film plus chic. Un film aussi bancal que son scénario, et surtout anodin et plutôt raté.
L'univers surprenant et dramatique de la prostitution en réseaux où évolue Malika, à la fois forte, déterminée mais aussi fragile. Un scénario original avec un dénouement inattendu, tranchant néanmoins avec le reste du film plutôt poussif et longuet.