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gvnm73
7 abonnés
184 critiques
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4,5
Publiée le 23 décembre 2013
Ce film fait partie des grands mythes du cinéma mondial, Godard, Bardot, Palance; que des légendes. Je ne l'avais jamais vu. J'ai eu la joie de le découvrir au cinéma, enfoncé dans mon fauteuil rouge. Que du bonheur. Godard observe un couple se briser sur des regards, des sous-entendus. Son analyse est personnelle et sensible, et Bardot porte se chef d’œuvre par sa beauté et sa présence unique à l'écran. Une nouvelle vague qui vous emporte.
Dis tu l'aimes mon générique super innovant ou au lieu de montrer par écrit les noms des gens ayant participés au film une voix off s'en occupe ?
Dis tu l'aimes la scène ou Brigitte Bardot demande si son compagne aime chacune des parties de son corps ?
Dis tu l'aimes ma musique a répétition qui parfois augmente d'un coup pour ne pas te faire entendre les dialogues ?
Et mon histoire qui ne raconte rien, tu l'aimes hein ?
Dis tu l'aimes mon film alors ?
Jean-Luc Godard ou l'art de filmer le néant et de savoir le combler avec ce qu'il y a de plus vide encore, sur une dose pseudo intellectuel a deux francs . La nouvelle vague du cinéma Français ou la chasse d'eau Godarienne .
D'un ennui mortel. Tout sonne faux dans ce film, rien n'est crédible. Seule la plastique dénudée de Brigitte Bardot m'a tenu en éveil. Et certains crient au génie, au chef d’œuvre ? Hallucinant.
Le mépris est un chef d'oeuvre car Godard structure le film comme un envers de décor en lui donnant une dimension temporelle et spatiale. Brigitte Bardot a là son rôle le plus abouti donnant tout en subtilité un registre inoui du rôle d'actrice. C'est un film qui est une vraie révolution dans le cinéma et l'on ne perçoit pas encore à quel point il a influencé les réalisateurs. Godard possède une maitrise de l'image et des arts qu'il distille avec brio dans des images tellement maitrisées; Film a revoir tant les détails sont importants, UN CHEF D'OEUVRE ABSOLU
Rejoignant par là l'avis de Severuss, ce film relève de la prétention exacerbée du pseudo-intellectuel Suisse Jean-cul Grodard dont les merdes cinématographiques creuses et absurdes font se pâmer des générations d'universitaires débiles depuis bien trop longtemps. Que les choses soient remises à leurs justes places: ce n'est pas en utilisant des références abstruses alambiquées issues de la littérature, de la peinture etc... que l'on peut réaliser de bons films; ainsi Cul-Jean Godasse croit être malin disant en gros à son public d'autiste élitiste (il ne doit y'en exister plus qu'un seul, à l'heure qu'il est): "regardez les gars comme vous êtes intelligents (moins que moi cela dit): avez-vous remarqué ma référence à Homère (33ème minute) et là, à Van gogh (42'32", quand le personnage saigne de l'oreille) ? Pas mal, non ?" Et l'ensemble de sa diarrhéique cinématographie de trahir une imposante concaténation gerbatoire d'absconseries débilitantes (quechua). Entre le populisme gluant gorgé jusqu'à plus soif de bien-pensance politiquement correcte déféqué continuellement par hollywood et ce genre de productions obscures élitistico-mondaines pour universitaires gogols méprisant le populo (l'universitaire n'aime pas qu'on lui rappelle qu'il fait caca comme l'ouvrier) et se croyant de facto au dessus des autres, il convient de trouver un juste milieu. Néanmoins, depuis pas mal d'années à présent; rares sont les "bons films". Et dire que j'ai dû me taper 5 fois "le mépris" pour passer mon bac (bac-poubelle) "cinéma" à cause d'un prof qui se pâmait devant le maître god !
Je n'aime pas mettre des notes aussi basses sans me justifier, après tout, qui suis-je pour critiquer un film ? Mais bon, à un moment donné, il faut dire les choses telles qu'elles sont, j'ai eu beaucoup de mal avec "Le Mépis". Je ne remets pas en doute le talent de Godard, mais je n'ai absolument pas accroché à l'histoire ni me suis attaché aux personnages. J'ai trouvé le tout très "superficiel", sans réel but. La musique de Geroges Delerue est excellente mais utilisée à tort et à travers fini par lasser. Je ne saurai quoi dire sur le jeu des acteurs, à partir du moment où les personnages sont tous aussi creux les uns que les autres, j'y arrive pas. Bien sûr, le film a des qualités esthétiques évidentes, mais ça suffit pas à faire un bon film. J'ai pris l'habitude de noter un film selon mon degré d'ennui et d'attention principalement (sans omettre le reste bien évidemment) et il faut dire que devant ce film, j'ai trouvé le temps très long.
Il faudra que je me penche un peu plus sur la carrière de JLG pour pouvoir juger le cinéaste, mais pour une première incursion dans son cinéma, je dois dire que j'en ai gardé pour l'instant un goût amer. A voir toutefois, car tout film est bon à prendre, même ceux que l'on a pas aimé.
Est-ce ainsi que vous, hommes, nous percevez, nous les femmes ? Des milliers et des milliers de mystères qui s'entrechoquent? Si tel est le cas me voici profondément intriguée. Car c'est l'incompréhension qui vogue au sein de cette drôle de réalisation. L'impossibilité à communiquer. Le silence, les questions, sans réponses ou sans précisions. Personne ne se comprend ou ne cherche à se comprendre. Le genre de situation qui provoque très rapidement l'agacement. La stupidité du protagoniste masculin est égale à la pitié que le spectateur ressent pour lui dès les premiers plans. Il n'y a ni victimes, ni bourreaux. Les tords et les souffrances sont partagées, car rien n'est résolu, rien n'est expliqué. Sur un plan purement technique, Le Mépris est grand. L’ingéniosité des plans, l'assortiment de couleurs, la tonalité très marquée d'une époque, la mise en abîme et le parallèle scénaristique. Piccoli brillant, Bardot mutique. Les personnages se transposent et se reconnaissent au sein d'une histoire antique qu'ils s'empressent donc de réinterpréter. L'idée est intéressante mais le fouillis anti-communicatif m'a brouillé la vue. Je n'ai alors pas su prendre le film à sa juste valeur me concentrant bien trop sur l’absurdité des situations. Godard aime cette impossibilité à se comprendre, cette dichotomie constante au sein des rapports humains. Je comprends cette amour et cette attirance mais je ne l'applique pas et ne le vis donc pas. Mon avis est alors purement subjectif et révèle un état d'âme particulier durant le visionnage de l’œuvre. En essayant de m'en détacher je vois ailleurs une grande virtuosité. Je ne me prends donc pas au jeu mais je contemple sagement.
Il y a deux trucs qui agacent : le fatras de références culturelles et le mélange des langues. Sinon Godard accomplit l'exploit de nous intéresser à une histoire qui ne l'est pas. La réalisation est géniale (ah, ces plans d'appartement !), la photo est somptueuse, Bardot n'a jamais été aussi belle (ce qui ne l'empêche pas de jouer comme une patate) et dégage un érotisme qui ne laisse pas insensible, la musique est magnifique. Un film peut-être surcoté mais pas tant que ça.
J'aime beaucoup les chevilles, le derrière et la pointe des seins de Brigitte Bardot. J'ai bien aimé "le mépris", également, mais ce serait mentir que de crier au chef-d'oeuvre. Certes la musique est magnifique, les plans sont étudiés et Bardot nous montre ses fesses. Mais le tout sonne finalement un peu creux. A voir, quand même pour ce qu'il représente dans l'histoire du cinéma.
Le très original Jean-Luc Godard signe avec "Le Mépris", un drame sur la crise d'un couple et sur le tournage de "l'Odyssée", réalisé par un certain Fritz Lang. Le film est globalement intéressant, notamment dans sa façon de traiter les tensions du duo "Piccoli-Bardot". Cette atmosphère étouffante, qui règne entre ces deux personnages, est intelligemment montrée par une distance physique, plus que par des élévations de la voix ( même si celles-ci sont bien présentes). Il reste cependant dommage que Godard ne réussisse pas à explorer plus précisément cette idée, tout comme il peine à expliquer la nouveauté que doit apporter le cinéma. Il tente de le faire par des discussions très intello, voire lourdement élitistes, entre ses acteurs. Mais le souci de créer une mise en scène personnelle, et l'utilisation pertinente de la formidable musique de Georges Delerue, apportent une émotion non négligeable, et assurent la réussite de ce projet.
Godard film le rien,mais il arrive à le rendre intéressant voir captivant. C'est bien tout le propos de ce film le rien entre deux personnages,la banalité dans l'extraordinaire,et l’intérêt que porte l'autre à celui qu'il aime,même si ce n'est pas réciproque. Ce vide absolut est filmé et mise en scène avec un tel talent qu'il arrive à faire passer ce long ennui pour une œuvre envoutante.
Un film somptueux avec des acteurs et un thèmes simple mais drôlement bien retranscrit non voilà un réel monstre de la nouvelle vague ! on dit souvent que Godard évoque un cinéma prétentieux je pense plutôt que godard crée un cinéma intelligent ! Un film a voir absolument !!