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    Le Mépris
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    281 critiques spectateurs

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    Isaac L
    Isaac L

    8 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 février 2022
    J'ai trouvé ce film assez long et inintéressant malgré le bon jeu d'acteur et la réalisation soignée.
    stans007
    stans007

    23 abonnés 1 314 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2021
    Le meilleur Godard que j’ai vu avec une photo à couper le souffle surtout dans le somptueux décor final. A remarquer l’hommage aux anciens avec la participation de Fritz Lang, l’utilisation classique de Bardot (déculottée), et les défauts habituels du maître : dialogues prétentieux (relecture de l’Odyssée) et prise de son défectueuse.
    GéDéon
    GéDéon

    86 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 mars 2021
    Mais quel pouvait être l’objectif poursuivi par Jean-Luc Godard en réalisant ce long-métrage en 1963 ? Filmer la rondeur des fesses de Brigitte Bardot ? Faire écouter en boucle la musique du compositeur Georges Delerue ? Disserter laborieusement sur l’épopée grecque de l’Odyssée ? Plus sérieusement, le scénario évoque la déchirure d’un couple. Malheureusement, le film est tellement abstrait que cela en devient totalement inintéressant. Même Michel Piccoli ne parvient pas à transmettre des émotions. Bref, une œuvre trop conceptuelle.
    tisma
    tisma

    292 abonnés 1 968 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2021
    Malgré le passage d'une scène culte, le film ne reste pas sublime. Les décors sont jolis, le scénario bien tenu même s'il est un peu simple. Seul la mise en scène est plutôt belle et nous permet de profiter du film.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 568 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 février 2021
    Je sais que c'est censé être un film à plusieurs niveaux et d'une belle complexité mais c'est vraiment juste un gros ennui. L'histoire de Godard arrogante et sinueuse est répétitive, statique et débordante de dialogues stupides. Prenez, par exemple la célèbre conversation de trente minutes entre Bardot et son scénariste qui est un exercice d'ennui difficile à rivaliser dans le cinéma français (et c'est beaucoup dire). Dépourvu de chaleur humaine ou de caractérisations authentiques le film de Godard est peuplé de doublures en carton. Son histoire tirée en partie de L'Odyssée d'Homère est si lente qu'elle passe inaperçue et est parsemée de références agaçantes au cinéma classique d'Hollywood qui ne servent qu'à illustrer à quel point les compétences de Godard sont superficielles par rapport aux réalisateurs qu'il admire. Il est révélateur que les seuls moments divertissants du film proviennent du portrait de Jack Palance un producteur de cinéma peu cultivé à la recherche d'une nouvelle approche pour son projet qui est au point mort. C'est un excellent film pour les faux intellectuels et pour voir aussi a quel point Brigitte Bardot était belle en 1963 ce qui est d'ailleurs le seul intérêt de cette histoire...
    Serpiko77
    Serpiko77

    58 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2021
    Œuvre culte du cinéma Français, la plus populaire de Godart (même si je lui préfère Pierrot le fou). Pas beaucoup de défaut, la mise en scène est quasi-parfaite, la musique sublime et inoubliable de Delerue nous envoute du début à la fin (peut-être un poil trop présente d'ailleurs), la présence de Fritz Lang est une vraie curiosité.
    Le film aurait été encore plus grandiose avec une autre actrice que Bardot, certes magnifique physiquement, mais ici au jeu douteux.
    Bernard D.
    Bernard D.

    111 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 décembre 2020
    « Le mépris » de Jean-Luc Godard (1963) est un film qui me déconcerte, racontant la séparation de Brigitte Bardot (forcément nue mais dont le jeu est bien fade) et de Michel Piccoli (le chapeau toujours vissé sur la tête même dans son bain) à l’occasion d’un projet de film sur Ulysse produit par Prokosch (Jack Palance), un américain grognon et imbu de sa personne et de son Alfa Roméo rouge, et filmé par un certain Fritz Lang. Les dialogues sont d’un ennui mortel pour ne pas dire masturbatoires, et l’image bien pauvre malgré le site de Cinecitta et Capri. Quant à la scène de l'accident final, censée être bouleversante, elle en devient ridicule. De ce film on ne retient que 2 plaisirs : le thème musical de Georges Delerue et celui de voir le grand Fritz Lang avec son monocle !
    Mister_Ed
    Mister_Ed

    3 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 novembre 2020
    La première chose qui m'a déplu est la lumière, elle est horrible. Les plans, les décors, tout est très laid (design des années 60 pouah !). Brigitte Bardot ne sait pas jouer, dès qu'elle parle ça sonne faux. En ce qui me concerne son charme n'opère pas sur moi. On n'arrête pas de nous filmer ses fesses complètement plates. N'est pas Vénus callipyge qui veut ! Les dialogues sont d'une pédanterie crasse. Les acteurs déclament sans comprendre. Le thème musical est bien sur splendide, mais ce sera la seule musique du film, et il interviendra à tort et à travers et souvent hors de propos. Le seul point positif du film est la découverte de Jack Palance qui joue très juste et avec beaucoup de charisme. Après avoir visionné ce film je comprends d'où vient la légende des films français chiants et bavards.
    Roub E.
    Roub E.

    957 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2020
    Un film qui me laisse des sentiments très partagés. Film à la fois bavard, souvent vain, il semble par moment touché par une grâce incroyable. Entre une Bardot prise pour son physique qui rame avec un personnage pourtant hyper interessant et à l’inverser un Piccoli qui arrive à donner corps à son personnage falot qui tourne quasiment en boucle. Cette musique entêtante qui arrive à toucher et à exaspérer selon la scène. Des passages ou j’ai réellement accroché, d’autres qui m’ont paru d’une vacuité terrible. Un aspect nombriliste énervant, et par moment un sens du cadre merveilleux. Un des symboles mais pour le coup plutôt positif de la nouvelle vague.
    Maïssane N.
    Maïssane N.

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 août 2020
    Je vous conseille de prendre la côte d'agneau elle était vraiment exquise ! Le cadre est sublime, ceci dit l'accompagnement plutôt fade. Musique un peu forte, difficile de s'entendre au cours du repas.
    you talkin to me
    you talkin to me

    3 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mai 2020
    Il est incontestable que ce film subit ici un profond mépris. Il serait bon d'être humble face à une telle composition, d'une si grande richesse, d'essayer de comprendre pourquoi le film a autant marqué son temps et l'histoire du cinéma. C'est peut-être un film qu'il faut voir à un certain âge pour vraiment bien le saisir, quand on est déjà adulte, qu'on a déjà vu beaucoup de films et qu'on en revient un peu lassé, qu'on a besoin de se rafraîchir sur quelque chose de plus simple, de plus dépouillé. Mais je crois surtout que le procès que l'on fait ici à ce film, film "chiant", "ennuyeux"; ce film qui est supposé être un des plus accessibles de Godard (son plus grand succès public) avec A bout de souffle, c'est un procès que l'on fait à un certain cinéma. Un cinéma d'expérimentation, un cinéma qui ne sait pas toujours où il va, un cinéma qui se cherche, et qui nous ouvre à tout un monde extérieur à lui, de sensations, d'idées, comme un poème. Je pense que le procès qui est fait ici à ce film ("C'est exactement le genre de film que je n'aime pas" que j'ai lu dans les "critiques" comme s'il appartenait à un type, dont il était le représentant le plus net, dont on voulait montrer que c'est là le plus grand ennemi), c'est le procès d'une certaine idée du cinéma, d'un cinéma qui brise la linéarité de la narration, l'identification du personnage, pour tenter de nous ramener à une expérience sensorielle originale. Je pense que le procès qui est fait ici à ce film, c'est le procès de la poésie.
    John Henry
    John Henry

    105 abonnés 707 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mai 2020
    Il y a quelque chose d'agacant dans ce film, dans ce dialogue sans fin sur l'amour qui s'éteint et pourtant il y a une part de vérité, une part de nudité crue, de dévoilement de toutes les histoires d'amour qui s'effeuillent, lentement, à force de discussion, à force de tourner en rond à s'éviter, à se retrouver, à se parler sans jamais vraiment se conffronter et qui parvient au final à trouver une lumière, un joyau, une pureté dans la recherche du sentiment juste.
    Lionel A.
    Lionel A.

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mai 2020
    ... "A bout de souffle," "A bout de souffle," "A bout d..." : non ! Le Mépris. Générique de début audio (lu), Fritz Lang en Guest-Star, Bardot sublime, croisés sentimentaux méprisables, musique à tomber, fin imparable. On frôle le chef-d'oeuvre.
    Voilier F
    Voilier F

    13 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 avril 2020
    Voilà un film typiquement réservé aux initiés.
    Sinon, comment adhérer à ce projet ?
    Vous enlevez la superbe musique de Georges Delerue et toute l'émotion du film retombe !
    Au milieu du film, une scène tournée dans une grande salle de cinéma est habillée d'un son particulièrement insupportable!
    Reste le charme de Brigitte Bardot qui comme chacun sait n'appartient pas plus à Paul Javal (Michel Piccoli) qu'à aucun homme !
    Luca Brissonnet
    Luca Brissonnet

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 avril 2020
    Ce film est indéniablement culte. Godard nous livre ici une "odyssé" ( c'est le cas de le dire ) amoureuse. Mais ce n'est pas seulement la relation qui unit Paul et Camille qui est exposée dans "Le mépris", mais aussi celle de Godard avec le cinéma !
    Jean-Luc Godard est un cinéphile aguerri, doublé d'un cinéaste génial, et il est doté d'une sensibilité supérieur à la moyenne, ce qui fait que "Le mépris" est difficille à percer, à critiqué, car au premier abord, nous pédalons dans la semoule.
    Le film commence lentement, la mise en place est, je l'admet, ennuyeuse et inintéressante. Et puis le décor change,et nous nous retrouvons dans un appartement en construction avec le jeune couple, Pierre, scénariste, et Camille, sa femme.
    Et pendant les trente minutes suivantes, nous sommes confinés dans l'appartement. Toute cette scène me donnent l'impression d'être dans un jeu d'échec taille réelle, avec en guise de de case, les pièces de l'appartement, et en guise de roi et de reine, Paul et Camille. Bien sûr, bien que plus forte, la reine ne peux mettre le roi échec et mat toute seule... C'est une issue impossible. Les déplacements des personnages, le fait de tourner en rond, me fait penser à une phrase, d'ailleurs souvent répétée dans le film : "Tout est dit". Et en effet, tout est dit.
    Tout au long du "Mépris" la mise en scène de Godard est bouleversante, fabuleuse ! La scène de l'appartement est par exemple un long plan séquence, coupé en plusieurs morceaux. La musique aussi apporte une émotion considérable au film.
    Bien que parti d'une histoire banale, il regorge de beauté. Celle, nymphatique, de Brigitte Bardot, celle, ensoleillé, de la côte azuréenne et celle, indéniable, du film dans sa globalité.
    Alors oui, je suis conscient que le film est compliqué à décortiquer, mais "Le mépris" est un film à regardé sans se prendre la tête, et en se laissant emporté par la force du cinéma. Ce long-métrage est une preuve imagée que l'histoire n'est pas centrale au cinéma, qu'elle est même anecdotique, car d'un scénario banale, on arrive à un grand classique de la nouvelle vague française.
    Enfin, on peut considérer, la dernière scène comme une métaphore du cinéma. Quand l'humain, lui, est mortel et il qu'il a des limites, le cinéma ou l'art sont inarrêtables est immortels.
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